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Tshikapa : JUPDH déplore les dures conditions nées de l’effondrement du pont Kasaï

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Devant la presse le mardi 3 novembre 2020, Clementus Lusamba, secrétaire général ai. de la JUPDH, une structure de protection et de défense de Droits de l’Homme en général, et des journalistes en particulier, a déploré les conditions financières imposées aux journalistes et enseignants de Tshikapa à la traversée de la rivière Kasaï.

Depuis l’effondrement du pont Kasaï, a-t-il indiqué, marchands, journalistes, enseignants, élèves ainsi que fonctionnaires qui font transaction entre les communes de la ville de Tshikapa en passant par le centre ville de Kanzala empruntent les pirogues pour regagner leurs domiciles. Et cela, moyennant des colossales sommes d’argent exigées par les piroguiers.

Rivière Kasaï

“La situation d’écroulement du Pont jetté sur la rivière Kasaï reste un non-événement aussi bien pour le gouvernement provincial que national. Les élèves, enseignants ainsi que journalistes qui utilisent cette voie sont sommés de payer à chaque traversée. Où serait parti la pirogue mise à la disposition des enseignants et élèves qui utilisent cette voie risquée par le gouvernement provincial ?”, s’est interrogé.

Pour lui, les dispositions prises par le gouvernement provincial en faveur des élèves et étudiants des institutions situées dans différentes communes de Tshikapa sur l’autre rive de la rivière Kasaï sont inadéquates. Pendant ce temps, d’autres écoliers sont obligés de payer pour la traversée.

Lusamba Mbombo a sollicité l’implication du gouvernement central afin de trouver une solution en faveur des citoyens kasaiens frappés par cet incident.

 

CONGOPROFOND.NET


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RDC : Le Service National à la première loge de la construction et modernisation de la Maternité de Kintambo

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Le président Félix Tshisekedi a procédé, ce mercredi 24 avril, à la pose de la première pierre des travaux de modernisation de la maternité de Kintambo, en présence de plusieurs parties prenantes, dont des médecins, des infirmiers administratifs, des “Bâtisseurs”, des autorités du pays, parmi lesquels ceux du Service National. Il s’agit donc de réhabiliter les bâtiments vétustes construits en 1952 et de construire un immeuble additionnel.

Ces travaux de construction et de modernisation de cette institution hospitalière seront exécutés par les « Bâtisseurs de la nation », des ex-délinquants (Kuluna) réhabilités et formés par le Service National. « Ils sont fiers de contribuer au développement du pays », a affirmé le général-major Jean-Pierre Kasongo Kabwik, commandant du Service national.

Notons que le Service National, maître d’ouvrage de ces travaux, estime le coût de cette construction à un prêt de 7 millions de dollars et la durée à 24 mois.

À son tour, le président de la République a salué le changement, la réinsertion et la resocialisation de ces ex-jeunes délinquants.

« Je suis très joyeux de voir comment vous avez été transformés. Vous êtes des nouvelles personnes. Continuez comme ça, le pays met son espoir en vous. Nous construirons ce pays avec vous, le Bâtisseurs !”, a lancé le magistrat suprême.

Il sied de rappeler que cette initiative de travaux de construction et de modernisation de la maternité de Kintambo s’inscrit dans la matérialisation de la maternité gratuite, via la Couverture santé universelle, et celle de faire du Service National un élément essentiel dans la mise en œuvre de cette politique.

Monica Bubanji/CongoProfond.net


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