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Linafoot : VClub arrache un nul face un Maniema Union dominant

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Maniema Union domine, mais ne gagne pas face à l’AS V.Club, ce samedi 24 avril au Stade des Martyrs, pour le compte de la poursuite du championnat national division 1. Un match soldé sur le score de parité de zéro but partout.

Statistiquement parlant, l’AS Maniema Union a enregistré son premier nul face à l’AS VCLUB sur 5 matchs joués depuis quelques années déjà (4 victoires pour Vita).

Une rencontre dominée par les hommes de Dauda Lupemba qui ont donné du fil à retordre aux « Moscovites ». Mais une domination stérile qui n’a rien changé dans le marquoir.

Mercey Ngimbi a bouffé la feuille du match en rattant le penalty provoqué par Mpia Nzengeli Maxi devant l’international Camerounais Simon Omossola au grand jour. Ce dernier a repoussé le ballon en corner à la 5eme minutes de jeu. 0-0 était le score à la pause.

Après les citrons, Maniema Union ne désarme pas et met la pression dans les camps des « Bana mbongo ». Mercey Ngimbi, dans son grand jour, lance une frappe à la 48′ qui sera détournée par la défense VClubieniene corner. 53′ Jérémy Mbuyi stoppé par la défense. 55′ Lilepo tire un coup franc Jackson Lunanga l’arrête. 59′ Pepito Bahoso marque pour Maniema Union mais l’arbitre annule le but faut d’une faute de main. 78′ Ngimbi à la finition mais sa frappe touche le montant. 86′ Steven Ebuele quittera le terrain par un carton rouge et Maniema Union finira la rencontre en infériorité numérique.

Un match qui laisse les Unionistes avec un goût d’inachevé.

Malgré ce match nul, Maniema Union garde la première place du championnat avec 50 points et VCLUB 2ieme avec 49 points.

Désiré Rex Owamba/Congoprofond.net

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Enfants soldats à l’Est de la RDC : le CEPEF alerte sur des violations graves et plaide pour une action urgente

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La Convention internationale des droits de l’enfant ainsi que la Loi portant protection de l’enfant interdisent formellement le recrutement d’enfants par les groupes et forces armés. Pourtant, dans l’Est de la République démocratique du Congo, des enfants sont encore enrôlés, de gré ou de force, par des groupes armés, souvent en raison du manque de combattants adultes.

Le 4 octobre 2012, le gouvernement congolais a adopté un Plan d’action visant à lutter contre le recrutement et l’utilisation d’enfants ainsi que contre d’autres violations graves de leurs droits. Ce plan figure dans les engagements de l’Accord-cadre d’Addis-Abeba.

Le Cercle d’études pour la protection de l’enfant et de la famille (CEPEF), une structure initiée par des chercheurs universitaires et des experts en travail social œuvrant pour la promotion des droits de l’enfant, la protection des familles et la réinsertion socio-économique des enfants et jeunes en situation de rue, dénonce aujourd’hui les violations graves dont sont victimes les enfants dans le conflit armé opposant le M23, soutenu par le Rwanda, aux forces gouvernementales.

Fort de l’arsenal juridique existant, le CEPEF plaide auprès des autorités compétentes pour l’actualisation du Plan d’action pour le retrait des enfants associés aux forces et groupes armés, ainsi que pour la mise en place de mécanismes rigoureux d’évaluation de leur âge.

Dans cette perspective, les assistants sociaux, les experts de terrain, les responsables militaires et civils des services concernés doivent se réunir — avec l’appui technique du CEPEF — afin de réfléchir à un programme de Démilitarisation, Démobilisation et Réinsertion (DDR) des enfants soldats.

La paix, dit-on, se prépare. Mais quelles seront les conséquences psychosociales pour ces enfants dont les droits ont été bafoués ? Alors que l’on évoque la fin de la guerre, il est plus que jamais urgent d’agir pour eux.

Osée MUKOKO ZANGA

 

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