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Les députés nationaux du Haut-Katanga à la SNCC pour échanger sur les difficultés de cette entreprise 

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Les députés nationaux du Haut-Katanga sont descendus, ce jeudi 20 février 2020 en début d’après-midi, à la direction générale de la Société Nationale des Chemins de fer du Congo (SNCC) à Lubumbashi, rapporte échos du Congo.

 

C’était sur l’initiative du député national KAHOZI BIN MALISAWA de la circonscription de Lubumbashi dans le cadre des vacances parlementaires.

 

 

Reçus par le Directeur général ad intérim de cette entreprise, KASHOTA MUTOMBO, et les chefs de départements qui constituent la gestion de la SNCC, leur entretien a tourné principalement autour des problèmes que connaît cette entreprise.

 

“Nous avons échangé sur les problèmes lies au fonctionnement de cette entreprise et des pistes de solutions pour que la SNCC ayant le monopole de la voie ferroviaire en République Démocratique du Congo et qui traverse des provinces et des provinces puisse reprendre son rendement normal”, a déclaré le député national MPANGA WA LUKALABA, sur ÉCHOS DU CONGO, au sortir de la rencontre.

 

Pour ce député, la reprise de la production souhaitée pour la SNCC sera un motif de joie pour toute la population vivant en République démocratique du Congo.

 

Ces députés ont promis d’amener les desiderata de cette entreprise à qui de droit. Et ce, en vue du redressement de la SNCC, un des fleurons de la RDC.

 

Ces députés attendent, par cette visite, manifester la dextérité de leurs actions en tant que mandatés du peuple et surtout de leur disponibilité en vue d’accomplir le pourquoi ils ont été élus.

 

Hormis le député KAHOZI BIN MALISAWA, voici les députés qui ont fait partie de cette délégation: Floribert KONZI LUVUNGU, Émile MWAMBA MUKENGE, Diane KAYUMBA et MPANGA WA LUKALABA.

 

Bishop Mfundu/CONGOPROFOND.NET


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Restitution des travaux sur l’examen décennal de la Déclaration d’Addis-Abeba sur la Population et le Développement en RDC : Un appel à une synergie pour le développement du pays

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La République démocratique du Congo a participé à l’examen décennal de la Déclaration d’Addis-Abeba sur la population et le développement (AADPD + 10), qui s’est tenu à Lusaka, en Zambie, du 7 au 10 novembre 2023. Cet événement fait suite à la Conférence régionale sur la population et le développement qui s’est tenue en 2013, dans le but d’examiner la mise en œuvre du Programme d’action de la Conférence internationale sur la population et le développement (CIPD), adopté au Caire, en Égypte, en 1994.

Dans ce contexte, la restitution des travaux de Lusaka aux parties prenantes impliquées dans la mise en œuvre de la Déclaration d’Addis-Abeba a été organisée le mardi 9 avril 2024 au siège du PNUD à Kinshasa. Les échanges ont réuni plusieurs parties prenantes, notamment le gouvernement à travers le ministère du Plan, la société civile et les partenaires. Ils ont été informés des revues continentales et nationales relatives à cette question, ainsi que des progrès réalisés, des défis persistants et des opportunités pour promouvoir les droits humains, l’éducation et la santé sexuelle et reproductive pour tous, en vue de favoriser le développement du pays.

À l’issue de ces discussions, plusieurs recommandations ont été formulées. Elles portent notamment sur les mécanismes visant à maintenir les filles dans le système scolaire, la prise en charge des femmes vulnérables dans le processus de planification du développement, le renforcement et le financement du système statistique, l’organisation rapide d’un recensement général pour permettre au pays d’élaborer un plan de développement adapté à ses réalités, ainsi que le renforcement du partenariat tant au niveau mondial que national pour une approche intersectorielle. Il a également été souligné l’importance de garantir la participation et l’implication des jeunes dans la mise en œuvre de la Déclaration d’Addis-Abeba sur la population et le développement, ainsi que la mise en place d’une éducation sexuelle complète dans la planification.

La représentante du ministère du Plan a salué des échanges enrichissants, soulignant qu’il est impossible d’atteindre le développement sans une synergie entre toutes les parties prenantes, à savoir le gouvernement, la société civile et les partenaires. Elle a déclaré : “Il s’agissait d’échanges enrichissants concernant les six piliers de la Déclaration d’Addis-Abeba”.

Par ailleurs, la représentante du Fonds des Nations Unies pour la Population (UNFPA) a rappelé que la RDC avait élaboré son rapport d’évaluation en août 2023 avec le soutien de son agence. Elle a déclaré : “Comme d’autres pays africains, avec le soutien du Fonds des Nations Unies pour la Population (UNFPA), la République démocratique du Congo a élaboré en août 2023 son rapport d’évaluation de la Déclaration d’Addis-Abeba sur la population et le développement. Lors de cette session d’aujourd’hui, nous aurons l’occasion de présenter le rapport national d’évaluation de la Déclaration d’Addis-Abeba, dix ans après, en RDC, et également d’échanger des idées, de partager des expériences et d’identifier les actions prioritaires à entreprendre pour progresser vers la réalisation des objectifs de la Déclaration d’Addis-Abeba en RDC”.

Il convient de noter qu’en Afrique, la CIPD s’est appuyée sur l’examen décennal de la mise en œuvre de la Déclaration d’Addis-Abeba sur la population et le développement (DAAPD), qui comprend le Programme d’Action de la CIPD pour le continent.

Ben Kapajika/ Congoprofond.net


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