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Économie : City bank nouvelle  » Conseillère bancaire » de la RDC en matière de notation financière

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Business law, le droit des affaires par excellence pour renforcer la sécurité juridique des investisseurs, la notation financière de la République Démocratique du Congo et surtout la stabilité du franc Congolais contre des instabilités de ses taux de change qui étaient entre les mains des mafieux libanais, indiens, pakistanais etc, prochent des dirigeants du régime criminel de l’afdl au Congo devenu FCC :

SEM Félix Antoine Tshisekedi embauche la 1ère Banque d’affaires américaine, la City Bank placée 12ème entreprises mondiales en terme de capitalisation qui est désormais le Conseiller en matière de notation financière du gouvernement de la République Démocratique du Congo.

En effet, Citigroup Inc est la maison mère de la CityBank opérant sous le nom Citi,  c’est une entreprise financière majeure basée à New York, issue de la fusion de Citicorp avec Travelers Group le 7 avril 1998.

La City Bank est, d’après le Forbes Global 2000 de 2017, la douzième entreprise mondiale. Le total de ses actifs s’élève à 1795,1 milliards de US $.

La City Bank emploie 219 000 personnes dans le monde entier, et possède environ 200 millions de clients dans plus de 100 pays différents.

Elle fait partie du Dow Jones Industrial Average depuis le 17 mars 1997. Depuis novembre 2007, son actionnaire principal, avec 4,9 % du capital est l’Abu Dhabi Investment Authority suivi (avec environ 4,6 % du capital) de la Kingdom Holding Company du prince Al-Walid Al Saoud.

Qu’est-ce qu’une notation financière internationale ?

La notation financière externe ou notation de la dette ou rating (dans le monde anglo-saxon) est l’appréciation, par une agence de notation financière, du risque de solvabilité financière que représente une institution, une entreprise, un État (« notation souveraine ») ou une autre collectivité publique, nationale ou locale,
en ce qui concerne une opération d’emprunt, emprunt obligataire, opération de financement structurée, titrisation, etc.,

L’attribution d’une note financière permet de fixer les perspectives d’avenir en terme de remboursement de ses engagements envers ses créanciers, ses fournisseurs, ses banquieres, ses détenteurs d’obligations, etc.

La notation financière constitue, pour les investisseurs, un critère clé dans l’estimation du risque qu’un investissement comporte, particulièrement dans le cadre de marchés financiers de plus en plus globaux qui rendent difficile la maîtrise de l’information et donc de tous les paramètres de risque.

C’est même un des critères obligatoires pour les emprunteurs institutionnels (fonds de pension, collectivités territoriales, etc.) dont les statuts précisent un niveau de notation minimal pour leurs investissements.

Il est essentiel de faire la distinction entre la notation financière et l’évaluation des risques-clients, qui peuvent avoir les mêmes objectifs (faire face au risque de contrepartie) mais n’utilise pas les mêmes ressources (le premier fait appel à un véritable audit comptable et financier et l’autre fait appel à un système expert – automatique).

Surtout, la notation est sollicitée et externalisée (souvent par les grandes entreprises cotées) alors que l’évaluation est systématique et réalisée intrinsèquement sur l’ensemble des entreprises.

L’analyse financière nécessaire et l’attribution de notes sont confiées à des agences de notation financière.

On reproche de fois à ces attributions par les plus grosses agences de notation financière de refléter l’équilibre des pouvoirs économiques et politiques dans le monde.

Les trois principales agences denotations internationales sont donc : Moody’s, Standard and Poor’s, Fitch Ratings et elles sont toutes les 3 américaines, couvrant 95 % de la demande, à laquelle vient s’ajouter depuis 1994 la principale agence chinoise, Dagong Global Credit Rating, ainsi que d’autres agences syndiquées.

À côté de ces notations externes, il existe aussi des systèmes de notation internes, réalisés par les banques pour leur propre usage, et s’appuyant sur les données statistiques en leur possession.

En conclusion :

Durant les 18 années du règne tout puissant du régime criminel de l’afdl au Congo la République Démocratique du Congo était devenue un nid infecte des mafieux libanais, indiens, pakistanais etc.

Le fait que des grandes banques d’affaires comme la City Bank soit embauchée comme Conseiller bancaire de la République Démocratique du Congo en matière de notation financière est un coup de maître de SEM Félix Antoine Tshisekedi qui va rassurer les investisseurs et les investissements directs étrangers notamment américains et occidentaux.

Il est à parier qu’avec le Conseil financier et bancaire de la City Bank, le franc Congolais ne sera plus exposé aux manipulations mafieuses des officines libanaises, indiennes et pakistanaises proches des dirigeants du régime criminel de l’afdl au Congo !

Dont acte
Maître Beylard David PhD
Attorney at law

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RDC–Rwanda : Patrick Muyaya recadre Kigali sur la réouverture de l’aéroport de Goma

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Le gouvernement congolais ne transigera pas sur sa souveraineté. Réagissant au refus du Rwanda de voir rouvrir l’aéroport de Goma, annoncé par le président Emmanuel Macron lors de la Conférence humanitaire sur la région des Grands Lacs, le ministre de la Communication et Médias, Patrick Muyaya, a tenu à remettre les pendules à l’heure, ce même 30 octobre 2025.

« La réouverture de l’aéroport de Goma se fera uniquement sur autorisation des autorités congolaises et uniquement pour des vols humanitaires qui seront effectués en journée », a affirmé le porte-parole du gouvernement.

Une mise au point claire, en réponse à la prétention de Kigali de se prononcer sur une question qui ne relève que de la souveraineté de la République démocratique du Congo. Muyaya dénonce ainsi « l’agitation du père, le Rwanda, encore moins celle du fils, le M23 », qui ne saurait remettre en cause la décision des autorités légitimes de Kinshasa.

Le ministre a rappelé que la Conférence de Paris, présidée par Emmanuel Macron et coparrainée par le président togolais Faure Gnassingbé, s’est tenue dans un esprit de solidarité et d’urgence humanitaire, pour venir en aide à des millions de femmes et d’enfants congolais victimes de la guerre d’agression menée par le Rwanda et ses supplétifs du M23.

« Vouloir marchander ou s’opposer à une intervention humanitaire urgente en faveur de nos compatriotes est non seulement un déni, mais aussi une autre preuve de la barbarie et du cynisme de ceux qui gouvernent par crimes », a ajouté Muyaya, dans une déclaration ferme.

Le ministre a également indiqué que les déplacés congolais réfugiés au Burundi pourront recevoir de l’aide humanitaire via l’aéroport de Bujumbura, preuve de la coordination régionale en cours pour répondre à l’urgence humanitaire.

« À Paris comme à Bruxelles, notre voix a été clairement portée et surtout entendue. Une voix qui demande la vérité, la justice et la paix, une paix durable », a conclu Patrick Muyaya, réaffirmant la détermination du gouvernement congolais à défendre la souveraineté nationale et à protéger les populations du Kivu, victimes d’une guerre imposée.

Tchèques Bukasa/CONGOPROFOND.NET

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