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RDC : Willy Ngoopos, la pointure des Infrastrucutres congolaises !

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Depuis sa prise des arcanes du pouvoir au sommet des infrastructures congolaises le lundi 09 septembre 2019, après l’investiture du Premier Gouvernement de coalition FCC-CACH intervenue le vendredi 6 septembre de la même année, Willy Ngoopos Sunzhel continue à faire preuve de son savoir-faire par ses prouesses. Mettant l’homme congolais au centre de ses actions, Willy Ngoopos, Vice-premier Ministre en charge des Infrastructures et Travaux Publics, travaille bec et ongle afin de lier l’utile à l’agréable. Prise de contacts avec les acteurs engagés dans le secteur des infrastructures ; priorité du Gouvernement, chantiers en suspens, projets en cours d’exécution, programme d’urgence de cent premiers jours du Chef de l’Etat, relance du Programme d’Entretien Routier (PER)… tels constituent notamment le canevas tracé et attaqué, d’entrée de jeu, par le Patron des infrastructures en RDC.

Action

Bien des détails démontrent à ce jour l’apport de Willy Ngoopos dans l’amélioration et évolution du secteur des infrastructures. Ce membre du Gouvernement que dirige Sylvestre Ilunga Ilunkamba a fait appel à l’expertise des ingénieurs des Bâtiments et Travaux Publics pour les travaux des routes, ponts et rails en vue de surveiller et contrôler la réalisation de toutes les activités de construction des infrastructures. Dans la capitale de la mère patrie, la réhabilitation de quelques voiries a été ainsi priorisée et exécutée en toute urgence. Il s’agit notamment des avenues Bokasa, Commerce et Saïo qui sont devenues praticables à la grande satisfaction de la population. Aussi, l’avenue de Libération dans son tronçon Parking Moulaert et Selembao, est-elle en train de subir sa cure de jouvence.

Sauts-de-mouton


Etant l’une des actions phares du Programme de cent premiers jours du Président de la République Félix Tshisekedi, les chantiers de construction de sauts-de-mouton ont reçu plus d’une fois les visites d’inspection et de contrôle du Vice-premier Ministre, Ministre des Infrastructures et Travaux publics, Willy Ngoopos. Et, même si la RDC, comme plusieurs pays du monde, vit, actuellement, les effets nocifs du coronavirus, le Vice-premier ministre en charge des Infrastructures et Travaux Publics, n’a cessé d’être derrière ses troupes pour s’imprégner de l’évolution des travaux de ces viaducs qui vont encore mettre en valeur le dénommé Kinshasa ‘’La belle’’ tant convoité par tous. Alors que les travaux de ces ouvrages semblaient s’enliser et que la frustration de la population kinoise montait d’un cran, Willy Ngoopos a, dans ses habitudes, pris les choses en main en effectuant des inspections ; lesquelles ont valu d’un coup de pouce dans ce secteur.
Commençant par le saut-de-mouton de Pompage qui était fin prêt, le numéro Un des infrastructures congolaises a profité pour inspecter l’avenue Révolution, une voie secondaire menant vers Don Bosco ; question de voir comment réhabiliter ce tronçon ainsi que les deux ponts reliant les quartiers environnants. Bravant la boue et l’état de délabrement de la route, l’homme de terrain a palpé du doigt la réalité. Sur place, les instructions fermes ont été données à Franck Kalumba, Directeur Général a.i. de l’OVD, afin que les travaux soient lancés dans un bref délai pour éviter l’engorgement une fois que le saut-de-mouton sera opérationnel. D’un site à un autre, cette fois-là, il a visité, tour à tour, les chantiers de Socimat et de Mandela, sur le Boulevard du 30 juin. Là, Willy Ngoopos a insisté sur le respect d’engagement qu’ont signé les maitres d’ouvrages délégués et les exécutants desdits travaux dont notamment l’Office des voiries et drainage (OVD), Safricas. Dans les trois sauts-de-mouton de Debonhomme, Bitabe et Pascal, dans le district de la Tshangu, le même exercice d’inspection a été aussi réalisé par ce membre du gouvernement qui au final a exprimé son satisfécit quant au déroulement des travaux. Une satisfaction non pas vide ni vaine car, à ce jour, la ville de Kinshasa s’illumine déjà de la beauté de quelques viaducs qui n’attendent qu’inauguration.

Cap vers…


Dans la province du Kongo-Central, la Route Nationale numéro 16 a connu une touche de rénovation. Près de 100 kilomètres de cet axe routier Kisantu-Ngidinga a, par le biais de l’Office des Routes, été bitumé et ce, à l’instar du pont Mfidi qui a été également réhabilité. Dans la même lignée, le Vice-premier Ministre, Ministre des ITP a parcouru la route Matadi-Boma pour se rendre compte également de l’état de cette artère après sa réhabilitation par l’Agence Congolaise des Grands Travaux. Ayant constaté par ailleurs le délabrement de la RN12, au niveau de Manterne, Willy Ngoopos a donné des instructions claires pour une intervention urgente. Même son de cloche sur la RN15 axe Songololo-Lufu. En outre, plusieurs descentes sur terrain ont conduit le VPM des infrastructures dans les sites érosifs après les dégâts causés par les pluies diluviennes à Kinshasa. Des instructions du Vice-premier Ministre ont été données à l’entreprise Crec7 pour l’exécution des travaux aux sites érosifs de Dumenz, école Motema Ngolu, école Libota Lisantu dans la commune de Mont-Ngafula. Les inondations rendant impraticables certaines infrastructures routières, l’écroulement du pont Bondwe dans la province du Haut-Lomami, la dégradation de la route d’Idiofa dans la province du Kwilu, sont entre autres les catastrophes naturelles qui ont aussi connu un suivi méticuleux de Ngoopos Sunzhel. A cela s’ajoute le lancement des travaux de réhabilitation de la voirie secondaire menant au saut-de-mouton de Pompage jusqu’aux quartiers Kimbwala et Don Bosco, dans la commune de Mont-Ngafula. Par ailleurs, le Patron des ITP a signé un contrat avec la BAD, concernant respectivement la réhabilitation de la RN1 tronçon Kinshasa-Kikwit-Batshamba; et la construction d’une route moderne de plus de 170 km partant de Kasomeno en RDC jusqu’à Mwenda en Zambie, et aussi d’un pont de 350m sur la rivière Luapula dans le Haut-Katanga.

Soif étanchée


Puisque dans ce domaine aussi pratique des infrastructures, les actes doivent parler plus que les mots, Willy Ngoopos a été si convaincant lors de ses passages à la Chambre basse du Parlement pour expliquer la situation liée à l’évolution des routes, de la voirie urbaine de différentes villes du pays, des routes de dessertes agricoles, des ponts et d’autres infrastructures du pays. Dans la même optique, il a su par concrètement éclairer la lanterne des sénateurs concernant cette même question des infrastructures.

Relance


Soucieux de l’entretien des routes dont le Gouvernement ne cesse de décaisser des sommes importantes pour leur construction, Willy Ngoopos Sunzhel a dû relancer le Programme d’Entretien Routier-PER- ou le Programme d’Entretien Routier Annuel (PERA) dont sa mise en application tardait depuis 2017. Grace à cette action, quelques provinces sont d’ores et déjà bénéficiaires. Signalons que le PER travaille avec les trois gestionnaires de réseaux routiers dont chacun a son entité approprié. L’Office des Routes (OR) s’occupe des routes d’intérêt général ; il s’agit des routes nationales, provinciales prioritaires et secondaires. Quant à l’Office des Voiries et Drainages (OVD), la gestion lui revient sur les voiries urbaines. Enfin, l’Office des Voies de Dessertes Agricoles (OVDA) étant sous la gestion du Ministère du développement rural gère des routes d’intérêt local comme celles de dessertes agricoles. Il sied de signaler que les dix mois passés à la tête de ce gigantesque ministère ont permis au Vice-premier Ministre, Ministre des Infrastructures et Travaux Publics Willy Ngoopos de se faire une idée sur des défis à relever dans ce vaste secteur. Et, si le financement de différents projets ne posait guère problèmes, le grand Congo serait revêtu de sa plus belle robe.

Cellule de communication/VPM ITP


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Kasaï Central : La 1ère école construite par des ex Kulunas présentée au général Kasongo Kabwik 

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Le premier bataillon des « Bâtisseurs » formés à Kanyama Kasese vient de construire une école dans la commune de Nganza, ville de Kananga, dans le Kasaï Central. Cette école de dix-huit salles de classes est équipée de bancs et de tables. 

A en croire les superviseurs des travaux, il reste quelques finitions à effectuer mais l’établissement peut déjà accueillir ses premier écoliers.  » Les écoles, comme celle-ci, Kananga en comptera trois. Deux autres sont en pleine construction dans le village de Kanioka et à Saint Martin dans la commune de Katoka« , a-t-on annoncé.

Il faut signaler que plusieurs autres territoires du Kasaï Central sont également touchés par cette vague de construction. Il s’agit notamment de Dibaya ( Cité Tshimbulu), Ndemba et Kazumba. Le numéro 1 du Service national, le général Kasongo Kabwik, qui a visité quelques chantiers, a fait le constat que les travaux sont en cours.

A Luisa ainsi qu’à Dibenlenge, seront lancés incessamment des établissements scolaires de ce type, œuvre du Service national.

Puis, promet-il, une école sera construite par territoire et ce à travers tout le pays .

Il convient de noter, par ailleurs, que ces ouvrages n’ont rien à voir avec le Programme de développement Local   145 territoires, même si l’un des buts poursuivis reste celui d’améliorer les conditions d’études des enfants congolais.

Fidèle à sa mission première de former des jeunes qui vont contribuer à l’indépendance alimentaire de la RDC, le Service national continue de booster la production locale de maïs.  Il a même démarré sa première campagne agricole toujours dans le Kasaï Central où la première récolte de cette denrée a été effectuée. « C’est un premier pas vers l’autosuffisance alimentaire et la réduction de la dépendance en termes de maïs du Kasaï Central vers le Katanga. Lorsqu’il y a pénurie au Katanga, le Kasaï peut venir à sa rescousse comme nous le voyons d’ailleurs ces derniers temps. Le maïs venu du Kasaï exporté vers le Katanga… », a expliqué le général.

Puis de conclure :  » Le Congo est béni partout. Nous avons un bon sol, nous avons une bonne pluviométrie. Entre la construction des écoles et la production agricole, le Service national est en train de remplir pleinement sa mission: celle d’être au service de la nation et devient de plus en plus l’un des bras séculiers de la matérialisation de la vision de chef de l’État ». 

Tchèques Bukasa/CONGOPROFOND.NET


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