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Actualité

RDC : clôture du séminaire de réflexion sur le développement de l’athlétisme

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La direction technique nationale de la Fédération d’athlétisme du Congo (Feaco) que dirige Bienvenu Matenda, avait lancé, le samedi 03 octobre 2020 à Kinshasa, un séminaire de réflexion sur le développement et comment accroître le nombre des pratiquants de ce sport à travers la fédéral. Deux jours étaient suffisants pour cette session de formation qui s’est clôturée le dimanche 04 octobre. Notons que la formation avait en première lieu concerné seulement la ville de Kinshasa, et elle s’est déroulée dans l’enceinte de l’école Saint Théophile de la commune de Lemba, en présence de Bienvenu Matenda accompagné et des membres du comité fédéral.

« Au niveau de la Fédération d’athlétisme, c’est toujours des innovations, imaginations et initiatives. A la direction technique, on a pensé qu’il était temps de préparer les grands événements qui vont arriver, à l’exemple des Jeux de la Francophonie. Pour ce faire, il faut préparer des plans stratégiques pour faire en sorte que les médailles restent au pays. Nous sommes convaincus qu’en 2022, il n’y a aura pas moins de 50 médailles dans toutes les épreuves possibles, raison pour laquelle, sous la houlette de la directrice technique nationale Marie Ekula, on a pensé organiser une sorte de séminaire pour le relever le niveau et préparer les clubs et les coachs afin de réussir ce paris en 2022 », a expliqué Bienvenu Matenda

« Nous sommes là pour réfléchir sur le développement de notre discipline, comme vous le savez, l’athlétisme est une discipline naturelle, nous sommes entrain de voir comment nous n’avons pas au Congo un nombre élevé d’athlètes, et en plus, nous essayons de voir comment mettre des stratégies afin d’être bien représenté dans des grandes compétitions qui arrivent et décrocher des médailles. L’objectif est de monter au poduim », a ajouté Marie Ekula.

Notons que la Feaco prévoit d’étendre cette série de séminaires dans les provinces, entre autres, le Haut-Katanga, le Kongo central, le Sud-Kivu, et autres. Il sied par ailleurs de rappeler que la fédération se prépare aussi à organiser les championnats nationaux en ce mois d’octobre à Kinshasa.

Jolga Luvundisakio/Congoprofond.net


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Politique

Insécurité grandissante à Beni : L’opposition tacle le régime en place et exige la fin de l’état de siège

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Les forces politiques de l’opposition de la ville de Beni, réunies en assemblée extraordinaire, ont exprimé leur inquiétude face à la crise sécuritaire, constitutionnelle et sociale qui frappe la province du Nord-Kivu. Elles pointent du doigt l’avancée des rebelles du M23 et l’impact négatif de cette situation sur la stabilité de la région.

Madame Hélène Kibangu, porte-parole de l’opposition, a déclaré que le régime actuel semble minimiser la menace posée par les ADF (Allied Democratic Forces), qui massacrent, pillent et appauvrissent davantage le Grand Nord-Kivu.

Elle a également dénoncé l’inaction des autorités, laissant entendre une possible complicité du gouvernement face à cette situation dramatique.

Selon l’opposition, le M23, qui avait été repoussé hors du territoire congolais, a été réintroduit par le régime de Félix Tshisekedi, ce qui conduit à la perte de villages et groupements, et constitue désormais une menace réelle pour la ville de Goma et la province du Sud-Kivu, avec notamment la prise stratégique de Minova.

Les partis politiques de l’opposition critiquent également la volonté de Félix Tshisekedi de prolonger son mandat, évoquant des projets de balkanisation du pays déjà amorcés, notamment avec l’organisation d’élections chaotiques en 2023 et son intention de changer la Constitution.

« Nous disons non à la persistance de l’insécurité orchestrée par les terroristes ADF, M23 et MTM », ont-ils insisté.

Tout en dénonçant la gestion actuelle, les membres de l’opposition de Beni ont formulé plusieurs recommandations : le gouvernement doit œuvrer pour la pacification de l’Est de la RDC en fournissant aux forces armées les moyens nécessaires pour combattre l’ennemi.

Ils exigent également la libération sans conditions des prisonniers politiques, parmi lesquels Jean-Paul Ngaghangondi, Alain Siwako, Jean-Marc Kabunda, Mukebayi, Decat Idengo, Fiston Isambiro, et d’autres détenus politiques.

Les forces politiques de l’opposition ont également réclamé la fin de l’état de siège, qu’elles estiment largement inefficace, tout en appelant la population à soutenir les FARDC et les Wazalendo qui se battent contre les agresseurs.

Cette déclaration a été signée par cinq partis politiques : Ensemble pour la République, PPRD, ECIDE, LGD et COFEDEC, regroupés au sein de la plateforme des forces politiques de l’opposition.

Rédaction


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