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Société

Médias : Précieux Mangonzoy élu président du tout 1er syndicat d’Antenne A TV

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Ce vendredi 28 juillet, une journée très spéciale et une date indélébile dans l’histoire de la fille ainée des télévisions privées de la RDC, Antenne A TV. Cadres et agents ont procédé à l’élection de leur toute première délégation syndicale depuis l’existence de cette entreprise.

En effet, en marge de l’assemblée générale de cette entreprise de presse qui s’est tenue en son siège situé sur l’avenue du Livre à Gombe, les agents ont élu, à la majorité écrasante, Précieux Mangonzoy en qualité du président de la délégation syndicale. Ce dernier est désormais le porte-voix des agents auprès de l’employeur.

Cameraman professionnel depuis près de 20 ans, Précieux Mangonzoy est un ancien chef cameraman au sein de la même chaîne. Directeur de production ai, ancien président de l’association des cameramen de 2009 à 2021, conseiller en communication du ministre du Budget honoraire, François MUAMBA TSHISHIMBI. Ancien attaché de presse du coordonnateur du Mécanisme national de suivi de l’accord cadre d’Addis abeba, il est aussi consultant en communication dans plusieurs agences conseil en communication.

Passionné des sports, Précieux Mangonzoy est entraîneur de judo et porte-parole de l’Union nationale des cameramen du Congo (UNCC).

Ce scrutin, convient-il de rappeler, a connu la participation de tous les services que compte cette entreprise de presse.

Parmi les heureux promus, il y a notamment Zozimo (vice-président),
Robert Batubiabia (secrétaire), Gauthier Bamolona et Belinda Monongesa (membres de la délégation syndicale).

Tchèques Bukasa/CONGOPROFOND.NET

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À la Une

Enfants soldats à l’Est de la RDC : le CEPEF alerte sur des violations graves et plaide pour une action urgente

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La Convention internationale des droits de l’enfant ainsi que la Loi portant protection de l’enfant interdisent formellement le recrutement d’enfants par les groupes et forces armés. Pourtant, dans l’Est de la République démocratique du Congo, des enfants sont encore enrôlés, de gré ou de force, par des groupes armés, souvent en raison du manque de combattants adultes.

Le 4 octobre 2012, le gouvernement congolais a adopté un Plan d’action visant à lutter contre le recrutement et l’utilisation d’enfants ainsi que contre d’autres violations graves de leurs droits. Ce plan figure dans les engagements de l’Accord-cadre d’Addis-Abeba.

Le Cercle d’études pour la protection de l’enfant et de la famille (CEPEF), une structure initiée par des chercheurs universitaires et des experts en travail social œuvrant pour la promotion des droits de l’enfant, la protection des familles et la réinsertion socio-économique des enfants et jeunes en situation de rue, dénonce aujourd’hui les violations graves dont sont victimes les enfants dans le conflit armé opposant le M23, soutenu par le Rwanda, aux forces gouvernementales.

Fort de l’arsenal juridique existant, le CEPEF plaide auprès des autorités compétentes pour l’actualisation du Plan d’action pour le retrait des enfants associés aux forces et groupes armés, ainsi que pour la mise en place de mécanismes rigoureux d’évaluation de leur âge.

Dans cette perspective, les assistants sociaux, les experts de terrain, les responsables militaires et civils des services concernés doivent se réunir — avec l’appui technique du CEPEF — afin de réfléchir à un programme de Démilitarisation, Démobilisation et Réinsertion (DDR) des enfants soldats.

La paix, dit-on, se prépare. Mais quelles seront les conséquences psychosociales pour ces enfants dont les droits ont été bafoués ? Alors que l’on évoque la fin de la guerre, il est plus que jamais urgent d’agir pour eux.

Osée MUKOKO ZANGA

 

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