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Politique

Le vice-président du Sénat Eddy Mundela à Mbuji-Mayi

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Le premier Vice-Président du Sénat, Eddy Mundela, est arrivé ce jeudi 23 décembre à Mbujimayi. Il a été accueilli au bas de la passerelle par le Président de l’Assemblée provinciale Athanase Kabongo Kalala Malebongo et les membres du bureau de l’organe délibérant.

Première visite dans son Kasaï natal, Eddy Mundela a reçu un bouquet de fleurs de la part des jeunes filles, avant de saluer les différentes délégations qui se sont déplacées pour l’accueillir. Les agents et cadres de l’Assemblée provinciale, les jeunes de l’UDPS son parti, etc.

Le VP de la chambre haute du parlement vient accueillir le Chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, dont l’arrivée est imminente. Il fait partie de plusieurs officiels qui arrivent depuis une semaine à Mbujimayi, en prélude du séjour du Président de la République.

Eddy Mundela a été élu le samedi 12 juin, Premier Vice-Président du Sénat. Il a remplacé à ce poste, Samy Badibanga qui avait démissionné le vendredi 5 mars pour des raisons de convenance personnelle.

Tchèques Bukasa/CONGOPROFOND.NET

À la Une

Assemblée nationale : Le bureau écarte Christelle Vuanga et Gracien Iracan, Moïse Katumbi sauve la face !

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Le bureau de l’Assemblée nationale a mis fin à plusieurs jours d’incertitude politique au sein du parti Ensemble pour la République. Après examen des candidatures, il n’a retenu que celle de Clotilde Mutita au poste de rapporteur adjoint, écartant ainsi Christelle Vuanga et Gracien Iracan.

Derrière cette décision, c’est une crise de leadership interne qui vient d’être arbitrée. En choisissant Mutita, le bureau acte de facto la légitimité de la ligne officielle du parti de Moïse Katumbi, tout en sanctionnant la démarche solitaire de Christelle Vuanga, perçue comme une tentative de rapprochement tactique avec certains membres de l’Union sacrée.
Ce rappel à l’ordre institutionnel réaffirme la discipline attendue des formations politiques dans un contexte où les ambitions individuelles se heurtent à la logique des blocs majoritaires.

Du côté du pouvoir, la manœuvre s’inscrit dans une stratégie plus large : celle de verrouiller l’appareil parlementaire. La validation sans encombre de la candidature unique d’Aimé Boji Sangara à la présidence de l’Assemblée nationale illustre la mainmise progressive de la coalition au pouvoir sur les postes stratégiques de l’hémicycle.
L’équilibre politique qui en découle confirme la marginalisation des voix dissidentes et consacre la prééminence de l’Union sacrée dans le jeu institutionnel congolais.

Pour Moïse Katumbi, cette issue a une double portée : elle lui permet de préserver la cohésion d’Ensemble pour la République, fragilisée par des tensions internes, tout en évitant un affrontement direct avec la majorité présidentielle, qui contrôle désormais la quasi-totalité des leviers parlementaires.

Tchèques Bukasa

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