K-WA Advertising

Connect with us

News

Élections à Masi-manimba : Le rapporteur adjoint, Paul Muhindo lance la formation des Chefs des Centres de Vote (CCV), des Présidents Formateurs (PF) et des Techniciens Informatiques des Centres de Vote (TICV)

Published

on

Le Rapporteur Adjoint de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), Paul MUHINDO a présidé la cérémonie d’ouverture de la formation des Chefs Centres de Vote (CCV), des Présidents Formateurs (PF) et des Techniciens Informatiques des Centres de Vote (TICV), recrutés pour prester principalement durant les opérations de vote prévues le 15 décembre 2024.

L’Administrateur du territoire, M. Emery KANGUMA et les membres de sécurité locale, ont également pris part à cette cérémonie qui s’est tenue dans la grande salle de la coordination de l’eglise catholique.

Pendant sept jours, 756 participants, dont 244 CCV, 244 PF et 268 TICV seront outillés sur les bonnes pratiques électorales ainsi que l’utilisation des outils technologiques de vote pour travailler de façon professionnelle le jour du scrutin.

Dans son allocation, le Rapporteur Adjoint de la CENI a attiré l’attention des participants sur le sens élevé de responsabilité :
« La formation que je lance aujourd’hui durera 7 jours dont 3 jours de partie théorique et 4 jours consacrés à la pratiques. Elle est à la fois une opportunité et un danger pour les participants. Ceux qui vont bien travailler le jour du scrutin, intégrerons la base des données de la CENI comme expert électoral. Mais, ceux qui seront impliqués dans la fraude électorales, feront l’objet de poursuites judiciaires et risqueront de perdre aussi leur travail d’enseignant »,  a indiqué Paul MUHINDO.

Dans le même esprit, Paul MUHINDO a exhorté les participants à corriger les erreurs du passé afin de renforcer la confiance des citoyens dans le processus électoral :
« Les élections du 15 décembre 2024 sont irréversibles dans cette circonscription électorale. Raison pour laquelle, j’appelle chaque participant a être un messager pour la paix en vue de favoriser la réorganisation des élections transparentes et apaisées à Masi-manimba ».

Et de conclure : « A la fin de cette formation, les participants seront soumis à une évaluation de façon systématique et rigoureuse car l’objectif global est de vous rendre professionnel pour vous permettre d’être à la hauteur de la tache qui vous entend le jour de vote ».

En tant que superviseur managérial de la formation, M. Paul Muhindo a dispensé lui-même les deux premier modules de la formation notamment sur l’éthique et la déontologie ainsi que les points forts et les faiblesses des élections du 20 décembre 2023. C’est à la fin de ces modules que les participants ont confessé tout haut le serment d’ethique et déontologie de la CENI.

Le Coordonnateur des opérations, M. Gilbert MUKENDI, a au cours de son mot de circonstance, affirmé que la CENI a déjà délivré plus de 100000 duplicatas des cartes d’électeurs sur tout le territoire et cette opération se poursuivra jusqu’au 14 décembre 2024, pour une forte participation de la population à ce scrutin.

De son côté, le point focal Chef d’Antenne, Aimé MAKOSSO, a remercié le management de la CENI pour l’organisation effective de cette formation qui vient baliser la voie des élections crédibles et transparentes à Masi-manimba.

En rappel, c’est le samedi 23 novembre 2024 que le Rapporteur Adjoint de la CENI est arrivé à Masi-manimba. immédiatement, il est allé avec sa délégation présenter les civilités à l’administrateur du territoire, M. Emery KANGUMA où ils ont échangé sur les enjeux de la reprise des élections à Masi-manimba.
Il s’est dirigé par la suite à la coordination des opérations de la CENI pour s’informer de l’état d’avancement des préparatifs des élections prévues le 15 décembre 2024.

CELLCOMM/CENI


There is no ads to display, Please add some
Spread the love

News

Affaire « Raphaël Diamasumbu » : Un inspecteur de l’IGF malade séquestré à Kinshasa !

Published

on

La famille Diamasumbu lance un appel pressant à la justice congolaise pour intervenir dans le dossier de Raphaël Diamasumbu Mukanga, Inspecteur général des Finances, qui serait victime de séquestration par son épouse dénommé Renée Tabu Lassy.

Selon Cornelie Diamasumbu, sœur de Raphaël, l’Inspecteur souffre de troubles neurologiques depuis 2022. Malgré l’aggravation de son état de santé, son épouse refuse qu’il soit évacué à l’étranger pour bénéficier des soins spécialisés en neurologie. Elle empêcherait également la famille d’accéder à un rapport médical indispensable à sa prise en charge par l’Inspection Générale des Finances ( IGF).

Un autre fait dénoncé par la famille est d’autant plus grave : Renée Tabu Lassy aurait enfermé son mari dans une chambre 24h/24, interdisant tout accès à ses proches. La famille affirme qu’il leur est impossible de le voir ou de vérifier son état de santé.

La situation s’est compliquée avec des allégations de manipulation judiciaire.

En effet, Mme Cornelie affirme que malgré deux convocations au parquet de Limete, Renée Tabu Lassy ne s’est jamais présentée. Un mandat d’amener a été émis ce mardi, mais des manœuvres dilatoires auraient suivi : l’épouse aurait récusé un magistrat qu’elle n’a jamais rencontré, obtenant que le dossier soit confié à un magistrat de son choix.

Cornelie Diamasumbu relate également un incident troublant : « A une occasion, Raphaël aurait quitté son bureau pour se retrouver, contre son gré, à Mbakana, une localité proche de Bandundu. Il aurait repris conscience sur place, loin de son domicile habituel ».

Depuis 2023, la famille demande son évacuation pour la Belgique pour consulter un spécialiste, mais l’épouse continue de s’y opposer, provoquant une détérioration progressive de son état de santé.

La famille Diamasumbu exige une intervention rapide de la justice pour garantir les droits et la santé de Raphaël Diumasumbu Mukanga. Elle déplore un système judiciaire qui semble être défié par des manipulations et des intérêts personnels.

« L’état de santé de notre frère se dégrade de jour en jour. Cette situation est inhumaine. Comment peut-on enfermer un malade dans une chambre, le coupant de tout contact avec sa famille et défiant ainsi la justice ? », s’interroge Cornelie.

Tous les efforts entrepris par CONGPROFOND.NET pour avoir le son de cloche de la partie indexée, se sont avérés infructueux. Dossier à suivre.

Dorcas Mwavita/CONGOPROFOND.NET


There is no ads to display, Please add some
Spread the love
Continue Reading

Bientôt le magazine CONGO PROFOND dans les kiosques à journaux : Simplicité, Pertinence et Découverte