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1ère édition de l’African Football League : TP Mazembe engagé dans la compétition qui s’ouvre le 20 octobre prochain

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La CAF, en collaboration avec la FIFA, a créé une compétition entre huit des meilleures équipes africaines. Elle se déroulera sur quatre semaines à partir du 20 octobre et doit précéder une autre, plus importante, qui sera ouverte à 24 clubs la saison prochaine.

La Confédération africaine de football a officialisé mardi la première édition de l’African Football League, organisée en partenariat avec la FIFA. Cette compétition, qui concernera huit clubs et se déroulera pendant quatre semaines à partir du 20 octobre, devrait servir de ballon d’essai avant la mise en place d’une autre, plus conséquente, qui devrait comprendre 24 participants dès la saison prochaine.

Les dirigeants africains, à travers cette épreuve, veulent attirer des sponsors qui manquent cruellement à une organisation en mal de financement. La CAF doit tenter de trouver des sources de revenus autres que celles émanant de la CAN, sorte de vache à lait du foot continental.

Cette première mettra aux prises des équipes issues de trois blocs régionaux, la région Nord, la région Centre-Ouest et la région Sud-Est, dans un savant dosage géographique. Les clubs choisis sont : Al-Ahly du Caire (Égypte), l’Espérance de Tunis (Tunisie), le Wydad Casablanca (Maroc) pour la région Nord ; Enyimba (Nigeria), TP Mazembe (RDC) pour la région Centre-Ouest ; Mamelodi Sundowns (Afrique du Sud), l’Atletico Petroleos de Luanda (Angola), Simba Sports (Tanzanie).

L’African Football League débutera par des quarts de finale disputés en aller-retour dont le tirage au sort aura lieu le 2 septembre. L’AFL se déroulera sur quatre semaines entre le 20 octobre – avec un match inaugural à Dar es Salaam, en Tanzanie – et le 11 novembre, date de la finale retour (aller le 5). Il sera intéressant de voir si le public et les sponsors répondent présents. Patrice Motsepe, le président de la CAF, croit beaucoup dans ce nouveau bébé.

L’Equipe/CONGOPROFOND.NET 


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Kinshasa : Les travaux sur l’avenue Nguma causent un casse-tête à ses usagers

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L’avenue Nguma a été fermée à la circulation toute la journée de ce lundi 29 avril pour des travaux de réhabilitation qui s’y effectuent sous l’égide de l’Hôtel de Ville de Kinshasa. Cette situation provoque un véritable casse-tête pour les usagers de cette voie principale qui relie non seulement Kintambo à l’UPN, mais aussi la Ville-province de Kinshasa à la province du Kongo-central.

À défaut de pouvoir emprunter la voie de “Quatre-vingt jours”, qui connaît aussi des travaux de réfection, les chauffeurs sont obligés de contourner par “Barré”, une situation qui y exacerbe des embouteillages.

La grogne est perceptible dans l’opinion. « Fatshi asilikeli bino, yango bozo sala na lombango » (Fatshi s’est fâché contre vous, et c’est pourquoi vous vous empressez maintenant), s’écrie un piéton de passage. « Vous nous imposez une marche de santé », ajoute une dame trentenaire.

Mais le technicien accroché à son travail s’est montré bien compréhensif, et estime que les responsables auraient dû prévoir une bonne gestion de la circulation au lieu d’arrêter totalement la circulation.

À la question de savoir combien de temps cette situation va durer, le technicien nous a répondu qu’au moins jusqu’à vendredi prochain, les travaux ne permettront pas d’ouvrir l’avenue Nguma à ses usagers. « En plus, comme c’est du béton que nous faisons, il faudrait même attendre encore au moins deux semaines après, car cette avenue est aussi une voie principale pour des gros camions en provenance de Matadi », a-t-il précisé.

« Je ne sais plus relier l’UPN et Kintambo », s’exclame un motard, qui ajoute aussitôt : « Je fais maintenant mes courses entre l’UPN et Delveaux. Ainsi, beaucoup de taxis-motos font des « démi-terrains » (une manière de désigner des courses réduites à de courts tronçons), de l’UPN à Delveaux, de Delveaux à Saint Luc, ou encore de Kintambo à Érosion, juste après l’École militaire de logistique (pour les habitués de ce tronçon). On l’aura bien compris, le prix de la course a grimpé. Pour la moto, le coût va de cinq à dix mille francs, selon qu’on y va seul ou avec un autre passager.

Pour rappel, il faut noter que le Président de la République a effectué, mercredi 24 avril, une visite sur l’avenue Nguma pour se rendre compte de l’état d’avancement des travaux qui ont trop duré.

Aristide Kataliko (stagiaire UCC)/CONGOPROFOND.NET


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