Connect with us

Analyses et points de vue

Vital Kamerhe : Pacificateur et Prophète de la nation

Published

on

Dans les murmures d’une Assemblée nationale résonne une voix paisible, celle de Vital Kamerhe, surnommé le « Pacificateur » et « Prophète de la Nation », pour ses paroles inspirantes : « Quelle que soit la durée de la guerre, la victoire appartient à la paix. » Sa présence lors de la rentrée parlementaire en mars 2025 a marqué un tournant symbolique dans la quête incessante pour la paix en RDC.

La phrase de l’Honorable Président de l’Assemblée nationale « Mwalimu » Kamerhe, également Président de l’UNC, n’est pas une simple déclaration politique; elle retentit comme un appel spirituel à la conscience collective. Elle évoque la sagesse antique intemporelle, rappelant que la véritable victoire est celle qui transcende les batailles sanglantes pour rétablir l’harmonie entre les peuples.

Vital Kamerhe, avec sa vision constante – rappelez-vous de la caravane de la paix- pour la résolution des conflits dans l’Est, a su cultiver l’essence même de la paix en tant qu’objectif ultime et non un simple moyen. Dans un contexte où les tensions dans l’Est du Congo semblent insurmontables, Vital Kamerhe a prouvé une longueur d’avance sur ses contemporains politiques.

Son engagement à un dialogue inclusif s’est révélé prophétique à l’approche des négociations directes prévues pour le 18 mars 2025, sous l’égide de la présidence angolaise. Le processus de Luanda, initiative de médiation entre Kinshasa et les forces terroristes du RDF/M23, réaffirme la prophétie de Vital Kamerhe, ancrée dans la conviction que seul le dialogue peut dénouer les fils complexes de l’inimitié.

Dans son parcours, Vital Kamerhe a toujours été un leader dont l’esprit est nourri par l’histoire, à l’opposé des faucons belliqueux du régime, reconnaissant la généalogie des souffrances et des espoirs de son peuple. En tant que Pacificateur et aujourd’hui Prophète de la nation, il incarne une voix dédiée à la réhabilitation sociale et culturelle de la RDC, foisonnant d’un héritage riche mais troublé.

Son alchimie politique mêle d’anciennes philosophies et des aspirations humaines universelles transmises par nos aïeux et qui transcendent les frontières et les époques. La reconnaissance envers Vital Kamerhe doit être plus qu’un hommage à sa constance, mais aussi un appel à la société congolaise et à la communauté internationale pour embrasser ses principes de paix et de réconciliation durable.

Sa prophétie pour la nation Congolaise se réalise lentement mais sûrement, comme une lumière qui perfore les ténèbres de l’histoire récente dominée par la violence et la division. Dans cette trajectoire historique complexe, l’Honorable Président de l’Assemblée nationale Vital Kamerhe guide le chemin pour une RDC où paix et progrès cohabitent, inspirant des générations à venir.

Ses efforts pour la paix doivent être applaudis, encensés, et adoptés comme une philosophie de vie, une spiritualité qui rachète, libère, délivre et répare les âmes brisées par les ravages de la guerre. L’œuvre du Prophète de la Nation est inscrite dans la roche de l’histoire comme un testament de persévérance et de croyance indéfectible en la puissance régénératrice de la paix.

Ainsi, l’honorable Président de l’Assemblée nationale Vital Kamerhe en tant que « Mwalimu » nous enseigne que la voie vers la paix est un sentier long et sinueux, mais inéluctable. Et où que nous soyons, son message demeure : la paix est une victoire qui ne connaît jamais de défaite. Là où les armes échouent à unir, la paix triomphante rassemble les cœurs.

TEDDY MFITU
Polymathe, chercheur et écrivain / Consultant senior cabinet CICPAR

Spread the love

Analyses et points de vue

Le Grand Chef Constant Lungagbe Mbatanadu : un sacerdose silencieux au service du Haut-Uélé

Published

on

Dans une région où les promesses politiques et les discours creux dominent trop souvent le paysage socio-économique, Sa Majesté Constant Lungagbe Mbatanadu se distingue comme une exception rafraîchissante. C’est un homme d’action dans un monde de paroles. Alors que d’autres se contentent de vociférer dans les micros ou de multiplier les déclarations creuses, lui, agit.

Le Grand Chef Constant Lungagbe agit silencieusement, efficacement, sans tambour ni trompette. La preuve la plus récente ? L’érection d’un édifice de trois salles de classe à l’école primaire Mangbi de la CECA-20 Eti, dans le Haut-Uélé. Un geste concret qui soulage des centaines d’enfants condamnés, jusqu’ici, à étudier dans des conditions précaires. Mais ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres.

Comparons, pour mieux comprendre l’ampleur de son engagement. Sa Majesté Constant Lungagbe est un bâtisseur sur fonds propres et un anti-modèle des bavards inutiles. Combien de « leaders » locaux peuvent se targuer d’avoir construit ne serait-ce qu’une salle de classe sur leurs propres deniers ? Combien ont préféré attendre les subsides étatiques – souvent détournés – plutôt que de mettre la main à la poche ?

Combien ont sacrifié leur confort personnel pour celui de leur communauté ? Le Chef Constant Lungagbe Mbatanadu, lui, n’a pas attendu. Il agit là où l’État est absent, là où les politiciens promettent sans jamais tenir. Son credo ? « Le développement ne se décrète pas, il se construit. » Il a un parcours marqué par le sacrifice. Retour sur quelques réalisations phares. Dans l’éducation, il y a eu :

Construction de salles de classe (dont celles de Mangbi), dons de fournitures scolaires à plusieurs établissements, parrainage d’élèves démunis. Dans la santé, il y a eu soutien logistique à des centres de santé locaux et achat de médicaments pour des dispensaires en rupture de stock. Dans les infrastructures, il y a eu réhabilitation de pistes rurales et électrification partielle de villages via des solutions solaires.

Tout cela, sans publicité tapageuse, sans campagne médiatique. Il est le contre-exemple qui dérange. Dans le Haut-Uélé, certains ont fait de la politique un métier lucratif. Ils parlent, critiquent, promettent… mais qu’ont-ils vraiment accompli ? Où sont leurs réalisations concrètes ? Pourquoi les populations doivent-elles toujours attendre « l’aide extérieure » alors que des hommes comme Mbatanadu prouvent que l’auto-développement est possible ?

La réponse est simple : le vrai leadership ne se mesure pas en décibels, mais en actes. Il est un modèle à suivre. Le Grand Chef Constant Lungagbe Mbatanadu incarne une nouvelle génération de leaders africains : pragmatiques (ils agissent au lieu de discourir), altruistes (ils investissent dans leur communauté plutôt que dans leur compte en banque) et visionnaires (ils comprennent que le développement local est la clé de l’avenir).

Le Haut-Uélé gagnerait à avoir davantage d’hommes de sa trempe et moins de « ministres de la parole ». Il est urgent de reconnaître ces héros discrets. Il est temps de célébrer ceux qui œuvrent dans l’ombre plutôt que de glorifier les faiseurs de discours. Constant Lungagbe Mbatanadu n’est pas juste un chef traditionnel – c’est un bâtisseur, un philanthrope, un exemple.

Puissent son humilité et son efficacité inspirer une nouvelle ère de leadership en RDC : une ère où les actes vaudront toujours plus que les mots. Sa Majesté Constant Lungagbe préfère l’efficacité au folklore. Il propose un nouveau standard pour juger les dirigeants : non pas leurs mots, mais leurs réalisations. Rendons lui un hommage mérité. Ce sera un électrochoc nécessaire.

TEDDY MFITU
Polymathe, chercheur et écrivain / Consultant senior cabinet CICPAR

Spread the love
Continue Reading