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Analyses et points de vue

Tribune : “Denise Dusauchoy Mukendi” vue par Kudura Kasongo (Essayiste- Editorialiste- Journaliste)

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Denise Mukendi est souvent débordante d’énergie pour s’affirmer. Elle est généralement ” expansive” voir excessive. Par endroit fo…folle…

Elle te dit par excellence ” je vais chez Muyej chercher un carré minier ”
Ça c’est Denise.

Elle est difficilement maitrisable parce qu’en elle, couve en permanence le feu dévorant la dévorant entier, prêt à tout consumer y comprit les matières ignifuges !!!

Au Cabinet, où je fus Dircab, elle voulait balancer ses trucs avant mon quitus ou avant celui du Ministre Jolino, en attente du “go” du Premier Ministre Ilukamba, lui-même se reférent au Président de la République, Félix Antoine.

Ça c’est Denise.

Elle n’est pas restée longtemps au cabinet, pas plus que je ne le devais le temps d’accompagner Jolino Makelele, et migrer vers d’autres responsabilités selon le “deal”avec le Président VK, Dircab de Félix Antoine, mon Président.

Soudain ! Il eut des ennuis judiciaires. Tout fit un flop. Le “deal” fit long feu.

Denise disparut. Le cabinet à ses yeux, n’était pas la caverne d’Ali Baba.

Elle s’en alla vers d’autres cieux plus enchanteurs que cléments.

La revoilà sur Tik Tok proférant des injures aux femmes de l’Est, les enjoignant non seulement de fermer leur geule, et même de se faire violer davantage ! Stupeur ! Indignation !

Le Kivu au féminin s’indigne.
Les plaintes ici et là, sont déposées.

Femme elle-même, mère d’une petite fille née d’un belge, comment Denise peut-elle déraper à ce point !

Comme si ça ne suffisait pas, elle hurle de ses lèvres pulpeuses à la petite Barbie, frêle…” Baswahili, taisez vous ordonne-t-elle, le pouvoir est Luba ! ”

Au moins c’est clair, ça le mérite d’être dit, personne de Fatshisphère ne s’en indigne, ni ne s’en offusque. A ce jour.

Elle prospère puisque plus rien ne l’arrête, elle révendique la responsabilité intellectuelle de traitement dégradant contre l’ opposant Jacky Ndala dans les geôles de Service comme si ça ne suffisait, insulte copieusement la mère de ce dernier.

Pourtant un fils du terroir, là-bas au Kasaī.

A sa gauche, elle demande de fonds d’intervention à l’ANR, à la DEMIAP pour leur livrer pieds joints un autre Luba incontrôlable, journaliste celui-ci ancien de Digital Congo avec Seraphin Bamani perturbant le sommeil du Roi Soleil telle la mouche se posant dans le verre de lait que celui-ci s’apprête à savourer portant le toast !

L’arrestation non élucidée à Brazzaville de Denise Mukendi Dusauchoy n’a pas encore livré tous ses secrets et contours et tour que l’actrice de Tik tok peut nous jouer, toute la Belgique congolaise s’enflamme, prête à en découdre avec la folle du Roi, la bouffonne de la Cour.

Wazir Kudura Kasongo ML
Critique Politique
Critique Littéraire
Essayiste- Editorialiste- Journaliste

Homme Libre et Insoumis.


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Analyses et points de vue

La RDC et la CPI : Quand la colère du gouvernement se heurte à l’indifférence internationale

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Dans un contexte international où les droits de l’homme et la justice pénale sont au cœur des préoccupations, la RDC se trouve à un carrefour critique. Le Vice-Ministre de la Justice chargé du Contentieux international, Samuel MBEMBA KABUYA, a récemment rencontré le Procureur général adjoint pour exprimer la frustration grandissante du peuple congolais envers la Cour Pénale Internationale (CPI).

Cette rencontre souligne une réalité troublante : malgré les atrocités documentées et les appels répétés de la RDC, la CPI semble rester muette face à la souffrance d’un peuple. La CPI, créée par le traité de Rome, a pour mission de juger les crimes les plus graves, tels que le génocide, les crimes de guerre et les crimes contre l’humanité.

Selon l’article 15 du traité, la Cour peut s’autosaisir lorsque des crimes relevant de sa compétence sont commis. Pourtant, la RDC a saisi la CPI à plusieurs reprises, lui transmettant des preuves accablantes des violences qui ravagent son territoire. Malgré cela, la réponse de la Cour a été désespérément lente, voire inexistante, laissant les victimes dans l’oubli.

Les conséquences de cette indifférence sont alarmantes. Les populations congolaises, déjà éprouvées par des décennies de conflits armés, d’exploitation et de violations des droits humains, se sentent trahies par une institution censée défendre la justice. La colère exprimée par Samuel Mbemba Kabuya n’est pas seulement celle d’un ministre.

Mais elle résonne comme l’écho des millions de voix silencieuses qui souffrent en raison de l’inaction internationale. La RDC, riche en ressources naturelles, a longtemps été le théâtre d’intérêts géopolitiques complexes. Les atrocités commises sur son sol sont souvent minimisées, voire ignorées, par une communauté internationale préoccupée par d’autres enjeux.

La colère du peuple congolais, portée par des représentants comme Kabuya, réclame une justice qui semble hors de portée. L’absence de réaction de la CPI face aux demandes répétées de la RDC soulève des questions sur l’efficacité et l’impartialité de cette institution. La situation en RDC met en lumière une problématique plus large : celle de la responsabilité des acteurs internationaux face aux injustices.

Si les États ne peuvent pas compter sur la CPI pour répondre aux crimes commis sur leur territoire, quelle confiance peuvent-ils avoir dans le système de justice internationale ? La RDC appelle à une réévaluation du rôle de la CPI et à une réponse plus prompte et efficace aux violations des droits humains. La colère du peuple congolais face à l’inaction de la CPI est un cri de désespoir et d’appel à la justice.

Samuel Mbemba Kabuya, à travers ses déclarations, incarne cette lutte pour la reconnaissance et la réparation des atrocités subies. Il est temps que la communauté internationale prenne conscience de la responsabilité qui lui incombe et agisse pour que les promesses de justice ne soient pas de vains mots, mais se traduisent en actions concrètes. La RDC mérite d’être entendue, et son peuple a le droit de voir ses souffrances reconnues et réparées.

TEDDY MFITU
Polymathe, chercheur et écrivain / Consultant senior cabinet CICPAR


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