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RDC : le Cardinal Ambongo nommé Coordonnateur du Fonds National de Solidarité contre le Covid-19

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C’est le Cardinal Fridolin Ambongo, qui va coordonner le Fonds national de Solidarité contre le coronavirus. Il sera secondé par le révérend André Bonkundoa de l’ECC.

Le président de la République Félix Tshisekedi les a nommé ce mercredi 22 avril 2020 dans une ordonnance lue sur la Radio Télévision Nationale Congolaise.

Voici par ailleurs la liste des autres membres du comité de gestion du Fonds de solidarité contre le Covid-19 :

– Le Cardinal Fridolin Ambongo ;

– Le Rev. André Bonkundoa ;

– Le Dr Jean-Jacques Muyembe ;

– Abdala Mangala ;

– Le pasteur Sony Kafuta ;

– Delphin Elebe ;

– Liliane Bakeyela ;

– Marie Madeleine Kalala ;

– Roger Kamba ;

– Patrick Ngulu ;

– Patient Bashombe et ;

– Yvon Tshizungu.

Il faut rappeler que dans une série d’ordonnances lues mardi 7 avril à la télévision nationale (RTNC), le Chef de l’État, Félix Tshisekedi, a créé le Fonds national de solidarité pour la lutte contre le Covid-19 (FNSCC). Cette structure a pour mission de rechercher et collecter les moyens financiers qui aideront à soutenir les malades et le personnel soignant.

Selon cette ordonnance, le FNSCC va fonctionner durant toute la période d’état d’urgence sanitaire décrétée par Félix Tshisekedi. L’état, les entreprises publiques ou privées et les bailleurs de fonds vont alimenter le Fonds.

Le FNSCC est créé pour financer les fournitures essentielles comme les équipements de protections individuelles à la population et aux agents de santé qui sont en première ligne sur l’étendue du territoire national.

Il va aussi soutenir financièrement le Comité multisectoriel de riposte au Covid-19 en lui donnant les moyens de suivre et détecter la maladie et en renforçant les capacités du laboratoire par la formation et la fourniture des matériels adéquats.

La gestion et l’organisation du FNSCC sont confiées à un Comité de gestion composé d’au moins 7 membres :

Un coordonnateur
Un coordonnateur adjoint
Un délégué de la société civile
Un délégué des mouvements associatifs des femmes
Un délégués des entreprises du secteur public
Un délégué des entreprises du secteur privé
Le secrétaire technique du Comité multisectoriel de riposte au Covid-19.

Tchèques Bukasa/CONGOPROFOND.NET


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Mort d’une étudiante à l’IBTP/Butembo :  Vive polémique sur les dérapages d’une bleusaille à l’université 

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L’étudiante Kyakikimwa Kandolani Suzanne, nouvellement inscrite en préparatoire à l’Institut de Bâtiment et des Travaux Publics (IBTP-Butembo), au Nord-Kivu, dans l’Est de la RD Congo, vient de mourir, dans la nuit du vendredi 14 à ce samedi 15 février 2025 dans une structure sanitaire suite à « une courte maladie », selon un communiqué nécrologique de la direction générale de cette institution, parvenue à la rédaction de CONGOPROFOND.NET.

Les informations recueillies auprès de son chef de promotion, de ses camarades, du comité estudiantin et de son médecin traitant, renseignent que la défunte Suzanne, naturellement de santé fragile, est morte à la suite d’une courte maladie, précise le communiqué nécrologique signé par la Directrice Générale de cette institution d’État, le professeur Riziki Lufungula Agnès.

Cette version semble corroborer avec celle du président du comité des étudiants de l’IBTP-Butembo qui témoigne des malaises que la défunte auraient connus. « Et d’ailleurs, elle suivait les soins ambulatoires dans une structure sanitaire locale. Ceux qui parlent des coups qu’elle a reçus de la part des autres étudiants, propagent des fausses rumeurs qui visent à ternir l’image de l’IBTP-Butembo », a déclaré Mayani Menga Victoire.

Une version balayée d’un revers de la main par le président de l’Association des étudiants et élèves ressortissants d’Oïcha et environs (AEROE), dont la fille était membre. Pour lui, la demoiselle aurait succombé suite aux blessures de bleusailles subies de la part des autres étudiants de cette institution.

Prince Musavuli indique que son membre était en bonne santé et elle n’a jamais été fragile. « Notre sœur aurait été tabassée à travers la pratique de bleusailles, selon les premières personnes qui ont été présentes. Nous connaissons notre sœur, nous vivons avec elle, sa santé n’a jamais été fragile comme c’est dit dans le communiqué de l’IBTP », a-t-il regretté.

Prince Musavuli condamne fermement cette mort et réclame qu’une enquête soit diligentée pour déterminer les vraies circonstances de la mort de l’étudiante Kyakimwa Kandolani Suzanne, afin que justice lui soit faite.

Il convient de noter que cette institution est mal réputée dans la contrée pour ses pratiques agressives de bleusailles, déjà interdites par le ministère de l’Enseignement supérieur et universitaire (ESU).

Pour rappel, il y a peu, l’IBTP-Butembo a réouvert ses portes après plusieurs mois de suspension des activités académiques par le ministère de tutelle. Le personnel administratif avait récusé certains membres du comité de gestion dont l’ancien Directeur général à l’époque. Il lui est reproché la mégestion.

Dalmond Ndungo/CONGOPROFOND.NET


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