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RDC/Élections: les candidats seront dotés de 25 policiers pour leur protection dès la semaine prochaine

Après la déclaration de 7 candidats présidents qui fustigeaient le traitement inégal des candidats, la police a rassuré que chaque candidat aura 25 policiers pour sa protection.
Selon une déclaration faite par le colonel Pierrot Muanamputu, porte parole de la PNC le jeudi 11 octobre 2017.
Cette mesure sera d’application dés la semaine prochaine.
Une application de la loi et non une pression
Selon le porte parole de la police, cette mesure est une disposition de la loi électorale en ce qui concerne la protection des candidats à la présidentielle.
« Et non une inclinaison suite à une pression quelconque, » a martelé le Colonel Muanamputu.
Il a également indiqué que d’autres éléments de la PNC sont formés pour protéger l’ensemble du processus électoral, précisant qu’ils seront déployés pour protéger les matériels électoraux, les sites qui accueillent ces matériels ainsi que les édifices et les lieux symboliques de la République.
Les élections sont prévues le 23 décembre prochain à travers l’ensemble du territoire national.
Selon le calendrier publié par la CENI, la campagne électorale sera lancée le 22 novembre 2018 et prendre fin 48 heures avant la date de l’organisation du scrutin.
21 candidats se bousculent au portillon pour succéder à Joseph Kabila.
TMB/ CONGOPROFOND.NET
Médias
Planification familiale/RDC : le RJSSR appelle le gouvernement à réaliser ses engagements

Le Réseau des Journalistes pour la Santé sexuelle et Reproductive (RJSSP) a réuni, ce mardi 15 juillet 2025, les chevaliers de la plume autour du thème « la planification familiale en République démocratique du Congo (RDC), entre engagements et réalités de l’offre ».
À travers un déjeuner de presse, ce réseau a rassemblé les décideurs, le gouvernement en l’occurrence qui prend des engagements au niveau international pour assurer la planification familiale ne semblent pas vraiment atteindre ces objectifs selon le timing que lui-même s’est fixé.
« Nous avons voulu échanger avec les décideurs qui étaient là, le gouvernement qui a été représenté, les journalistes, les communicateurs sur la santé sexuelle et reproductive qui ont été présents à cette activité, surtout pour permettre aux journalistes de s’intéresser à cette question », a fait savoir Chantal Kabasua, membre du RJSSP, rappelant « au gouvernement qu’il n’arrive pas à pouvoir répondre à ses engagements sur l’amélioration des soins de planification familiale, les services eux-mêmes qui deviennent de plus en plus quasi inexistants dans certains coins. »
Elle a exhorté les journalistes à pouvoir interroger aussi à leur niveau, les décideurs, chacun dans sa rédaction de pouvoir travailler, car, « nous voulons que ces services soient améliorés, que les objectifs que le gouvernement s’est assignés d’ici 2030 à pouvoir améliorer la qualité des soins sur la planification familiale soient atteints », a-t-elle souhaité.
Elle a déploré que les bras croisés des ministères de la Santé publique et de l’Éducation nationale ne facilitent pas aux femmes ou aux jeunes filles ou à tous ceux qui désirent recourir aux services de planification familiale de pouvoir se ressourcer comme il se doit. À l’en croire, mettre un focus particulier sur le planning familial pourrait permettre à ce que notre pays, la République démocratique du Congo (RDC) soit bien coté sur le plan international, voire national.
Exaucé Kaya/CONGOPROFOND.NET