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Société

RDC: Danny Singoma pour la cohésion et l’unité de la Société civile congolaise

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Rétabli dans ses droits le vendredi 22 janvier 2021 par le ministère de la Justice et Garde des Sceaux sur notification de la 2ème Direction chargée des Cultes, Associations et Eup qui a actualisé le numéro F.92/22.413 du Cadre de Concertation National de la société civile Rdc en y remplaçant le nom de l’ancien coordonateur national, Patient Bashombe par celui de Monsieur Singoma Kabahambe Danny Boss comme nouveau Coordonateur National seul habilité à engager le Ccnsc-Rdc vis à vis de l’État congolais et tiers, l’activiste Danny Singoma appelle à la cohésion et à l’unité de la Société Civile congolaise.

Le nouveau patron du Ccnsc- RDC qui a un parcours éloquent , affirme sa détermination à engager sa structure dans une vision de la Refondation de l’État congolais, prônée par le président de la République Félix Antoine TSHISEKEDI, tout en demeurant une Force sociale neutre et apolitique qui veille sur les intérêts de la population.

Avec sa tête bien faite, Danny Singoma s’est engagé à oeuvrer pour faire du Bureau de la Ccnsc-Rdc, un véritable espace commun d’échange et de renforcement des organisations de la société civile.

Dans l’optique d’en faire un outil transparent de Dialogue avec les institutions publiques et partenaires techniques et financiers pour le bien de la population congolaise.

Ceci dans un seul objectif de redorer le blason de la Société civile congolaise apolitique que certains cherchent d’étouffer le combat pour des positions égoïstes et personnelles.

Un plan d’action du Cadre de Concertation National de la Société Civile Rdc est proposé par le Bureau Singoma pour une validation en Assemblée générale prévue en mars ou avril 2021.

Dans ce Plan d’action, le Bureau Singoma propose :

-La Redynamisation du Dialogue multiPartite  » Gouvernement – Bailleurs – Société Civile » ;

-La Redéfinition des Groupes Thématiques de Travail de la Société Civile ;

-Ouverture du Dialogue permanent avec le gouvernement sur la fiscalité des organisations de la Société civile.

Cette vision sommaire du Bureau Singoma est possible avec le soutien traditionnel des partenaires.

L’expérience du nouveau Coordonateur national sera bénéfique pour le Gouvernement- Bailleurs – la Société Civile.

Danny Singoma est l’ingénieur BTP, détenteur d’un diplôme Master en Sciences Politiques et Relations Internationales. Il a consacré sa jeunesse au service de la Justice sociale.

En 2001, il devient animateur et mobilisateur communautaire sur le dialogue intercongolais de Sun City. Ce qui lui a permis de co-animer un Projet qui a mis en place le Comité Droits de l’Homme et Développement « Codhod », en 2003.

Compte tenu de son savoir faire , Danny Singoma va participer en 2005, au Forum Social Mondial de Porto Allègre où il avait rencontré Hugo Chavez qui s’affirme comme Altermondialiste, encré dans la doctrine de Che Guevara et de Paolo Freire.

Deux ans après, soit en 2007, il est organisateur principal du Forum Social Congolais avec le Principal Soutien de ses pairs : Éphrem Balemba, Jean Jacques Luamba, Père John Patrick Ngoy, Désiré Nkoy, Martin Lofete, Baudouin Hamuli, Mafolo, Kambanza, Nkinzo, Victor Nzuzi, Père Minani, Anne Marie Mukwayanzo, Élise Muhimuzi, Gérard Bisambu, Joséphine Ngalula pour ne citer que ceux-là.

En 2008, il devient Secrétaire Permanent du Réseau Proddes (Promotion de la Démocratie et des Droits Économiques et Sociaux).

Danny Singoma initie l’Organisation du Carrefour Paysan en 2011 qui va donner naissance à la Confédération Nationales des Organisations des Producteurs Agricoles du Congo.

En 2013, il réintègre le Cenadep sur concours comme Directeur Général. En cette année, il initie les programmes Corap et Forum Social Africain à Kinshasa.

En 2014, il est co-fondateur de la plateforme des Organisations Promotrices des Mutuelles de la Santé et initie l’Observatoire de la Société Civile du Suivi du Dialogue.

Élu président du CA de la Maison de la Laïcité de Kinshasa en 2018, Danny Singoma initie, en 2019, l’Observatoire Citoyen de la Gouvernance et des Droits Sociaux.

En 2019, élu deuxième Coordonateur National du 2ème Forum National de la société civile de Novembre 2019, Consacrant la Gestion du Cadre de Concertation National de la Société Civile par 4 Comités devant se Succéder Annuellement.
Il faut noter que Danny Singoma est aussi :- Membre du Conseil du Forum Social Africain ;
– Point Focal de l’Observatoire des Osc des Pays moins Avancés ;
– Membre de la Coalition Internationale pour l’Agriculture Familiale Minka ;
– Observateur du Conseil International du Forum Social Mondial ;
Président du CA du Catsr  » Comité d’appui au travail social de la rue;
– Initiateur du Festival des Solidarités ;
– Initiateur de la Dynamique Citoyenne Covid 19.

Rien de faire une Apologie du Nouveau Coordonateur National du Ccnsc-Rdc , Danny Singoma ,le fait démonter qu’à la tête de ce Cadre de Concertation National de la société civile ,il y a Qoui de se frotter les mains.
Danny Singoma privilegie le Dialogue et reste un Homme de Pacifique et de Paix.

Expert en images et communication.
Abconews
+243816685439

Société

Bandalungwa : 2 mois dans le noir, la SNEL et les autorités locales accusées d’abandon

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Voilà maintenant deux mois que le quartier Lubudi, dans la commune de Bandalungwa, vit plongé dans une obscurité totale. Depuis le 5 septembre 2025, le courant électrique n’a plus refait surface dans les foyers, laissant la population dans un désarroi profond.

Ce qui choque davantage, selon les habitants, c’est le silence assourdissant de la Société nationale d’électricité (SNEL).

« Aucune communication, aucune descente, aucun technicien sur le terrain. Rien ! », déplorent les résidents.

Pourtant, Bandalungwa n’est pas un quartier périphérique ou enclavé. Située non loin du centre-ville de Kinshasa, cette commune fait partie des plus connues et des plus actives de la capitale.
Chaque soir, dès 18h, le quartier Lubudi est plongé dans un noir complet, une situation que les habitants qualifient de « villageoise », tant elle paraît inconcevable au cœur de Kinshasa.

Historiquement, la zone était alimentée par la ligne dite des “5 chantiers”, héritée du précédent régime. Si cette ligne offrait jadis un courant relativement stable, le temps et le manque d’entretien ont fini par la rendre quasi inutilisable.
La population s’était alors rabattue sur une autre source d’alimentation : la ligne de « camp militaires », du côté séparant Bandal de la zone Jamaïque. Cette solution parallèle, bien que fragile, avait permis à plusieurs ménages de respirer un temps.

Mais là encore, la panne est survenue. Et depuis septembre, plus aucune ligne ne fonctionne.

« Toutes les lignes sont abîmées. Nous sommes totalement abandonnés », déplore un habitant.

Au-delà de la SNEL, les habitants pointent aussi la passivité des autorités municipales. Ni le bourgmestre de Bandalungwa, ni les élus provinciaux, ni les services communaux n’auraient effectué la moindre descente de terrain pour constater la situation.

« Ces gens sont censés être proches de la population, connaître les réalités de leur commune. Mais depuis deux mois, personne n’est venu voir ce que nous vivons », s’indigne un riverain.

L’absence prolongée d’électricité a aussi favorisé une montée de l’insécurité.
Les « kulunas » et autres délinquants profitent du noir pour multiplier les vols, agressions et cambriolages. Les habitants redoutent la tombée de la nuit et demandent au gouvernement de réagir avant qu’un drame ne survienne.

Les habitants du quartier Lubudi lancent un SOS pressant à la SNEL et aux autorités provinciales de Kinshasa.
Ils réclament la réhabilitation urgente des lignes électriques et l’extension du système de courant prépayé, qu’ils espèrent plus fiable et transparent.

« Nous ne demandons pas la lune. Nous voulons juste la lumière. Deux mois dans le noir, c’est trop », conclut un résident.

Dorcas Mwavita

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