Société
Michel Moto Muhima : Un député au service de son peuple et des valeurs éthiques

Dans un monde où la politique est souvent synonyme de promesses non tenues et d’intérêts personnels, Michel Moto Muhima, député élu de Walikake, émerge comme une figure emblématique, incarnant l’exemplarité et l’engagement envers son peuple. En plein cœur de Goma, pendant ses vacances parlementaires, il a ouvert les portes de son bureau à la délégation intersyndicale d’ABM, la société minière qui opère dans son territoire.
Cet acte n’est pas qu’une simple rencontre ; c’est une déclaration d’intention, un symbole de l’alliance entre la législation et les acteurs économiques locaux. Michel Moto Muhima ne se contente pas de siéger à l’Assemblée nationale. Sa démarche proactive reflète une volonté sincère d’écouter et de comprendre les préoccupations de ses concitoyens.
La rencontre avec ABM représente une opportunité pour lui d’analyser les enjeux liés à l’exploitation minière, un secteur crucial pour l’économie de Walikake, mais également pour le bien-être de ses habitants. En se rendant disponible pour dialoguer avec les syndicats, il démontre une rare capacité à rassembler les voix, à construire des ponts entre les différentes parties prenantes.
L’exploitation des ressources naturelles, bien qu’indispensable au développement économique, soulève souvent des questions éthiques et environnementales. Michel Moto Muhima, conscient de ces enjeux, s’affirme comme un visionnaire. En soutenant des pratiques minières responsables et durables, il met en avant l’idée que le développement économique ne doit pas se faire au détriment de l’environnement ou des droits des travailleurs.
Sa position, loin d’être iconoclaste, est un appel à la responsabilité collective et à la durabilité. Dans un contexte où la corruption et les abus de pouvoir gangrènent souvent les institutions, la transparence et l’intégrité de Michel Moto Muhima sont à saluer. Sa volonté de dialoguer avec ABM dans un cadre ouvert et constructif montre qu’il est possible d’œuvrer pour le développement tout en respectant les valeurs éthiques.
Il incarne une nouvelle génération de leaders qui refusent de se plier aux normes dégradantes de la politique traditionnelle. L’audience accordée à la délégation intersyndicale d’ABM est également un message puissant à la jeunesse de Walikake et au-delà. Elle démontre que la politique peut être un outil de changement positif.
Michel Moto Muhima inspire les jeunes à s’engager dans la vie publique, à défendre leurs droits et à participer activement à la construction d’un avenir meilleur. Il prouve que chaque voix compte et que chaque acte, aussi petit soit-il, peut avoir un impact significatif. Michel Moto Muhima, par son engagement et son approche inclusive, réaffirme que le rôle d’un député dépasse largement le cadre législatif.
Il s’agit d’être au service de son peuple, de défendre ses intérêts et d’œuvrer pour un développement harmonieux et durable. Dans un monde en quête de leaders authentiques, Michel Moto Muhima se distingue comme un phare d’espoir et d’intégrité. Sa rencontre avec la délégation intersyndicale d’ABM n’est pas qu’un événement ; c’est le début d’une ère où le dialogue et le respect deviennent les fondements du progrès.
TEDDY MFITU
Polymathe, chercheur et écrivain / Consultant senior cabinet CICPAR
Actualité
Matadi : Les motards en colère contre les taxes imposées par la DGRKC

À Matadi, la grogne monte chez les conducteurs de motos-taxis, plus connus sous le nom de « wewa ». Ce mercredi 21 mai 2025, une manifestation spontanée a éclaté pour dénoncer la pression fiscale jugée excessive de la Direction générale des recettes du Kongo Central (DGRKC).
En cause : des taxes journalières de stationnement et de numérotation imposées à tous les motards. Chaque conducteur de moto à deux roues doit verser 1000 francs congolais par jour, tandis que ceux qui roulent sur des engins à trois pneus ou plus doivent s’acquitter de 1500 francs.
Asphyxiés par ces charges quotidiennes, les motards dénoncent une taxation qu’ils jugent abusive et inadaptée à leur réalité économique. Refusant désormais de s’y soumettre, ils ont exprimé leur ras-le-bol dans les rues de la capitale provinciale.
Mfumu Diasilua/Congoprofond.net