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Kasumbalesa : Isaac Tshiswaka et ses adeptes de la  » Base Bilanga » de nouveau dans le viseur de la Justice !

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La libération provisoire de Tshiswaka Isaac, leader de la  » Base Bilanga », est désormais menacée ! L’homme fort de cette organisation a repris, avec sa bande, des actes de vandalisme et la destruction méchante à Kasumbalesa. Un comportement qui plonge la ville dans une insécurité sans nom.

Sans aucune autorisation ni mandat, le prénommé se permet de poser des actes au nom de l’Udps à Kasumbalesa. Pire, Isaac Tshiswaka va en guerre contre la Fédération de l’Union pour la démocratie et le progrès social de Kasumbalesa. La semaine en cours était très agitée en évènements tristes au siège du parti au pouvoir.

A en croire des sources proches du parti, des attaques punitives ont été organisée au siège de la fédération par des partisans de la Base Bilanga suite à la radiation du président ai de l’UDPS, Jean Marc Kabund. Pour les détracteurs du président Tshimanga, fédéral de ce part, toutes les décisions prises par Kabund devraient aussi tomber. Dans leur élan de colère, ces « Combattants » ont saccagé et pillé le siège de la fédération de l’Udps. Dans la même semaine, suite à un affrontement au marché Kabulo, ceux-ci ont détruit la permanence de cette cellule. D’autres cellules de l’Udps ont été mises à sac. Bilan: 5 blessés.

Face à cette situation, les autorités ont vigoureusement réagi ce vendredi 11 février en assiégeant le quartier général de Tshiswaka. L’homme et ses adeptes en fuite sont recherchés.

Joint au téléphone une source sécuritaire qui a requis l’anonymat confirme l’information et précise que la justice est à la recherche de la bande de Tshiswaka pour les actes de vandalisme. « Nous avons reçu, monsieur le journaliste, l’ordre de la hiérarchie de traquer encore Tshiswaka et sa bande pour plusieurs faits infractionnels.  il a été libéré provisoirement par les autorités avec interdiction des actes qu’il pose aujourd’hui. Nous déplorons encore la destruction méchante qui constitue une infraction. L’image du parti cher au chef de l’Etat doit être sauvée. Il sera bientôt arrêté et réduit au néant », déclare cette source sécuritaire.

Joseph Malaba/CONGOPROFOND.NET

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Thérèse Kayikwamba Wagner brise le silence : “Je refuse que ma vie privée devienne un champ de bataille”

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Au cœur d’une vive polémique alimentée depuis plusieurs jours sur les réseaux sociaux au sujet de sa grossesse, la ministre d’État, ministre des Affaires étrangères, Thérèse Kayikwamba Wagner, est sortie de son silence. Dans une déclaration personnelle publiée ce vendredi, la cheffe de la diplomatie congolaise dénonce des “attaques diffamatoires” et des “propos mensongers” attentatoires à sa dignité et à celle de sa famille.

Des accusations en ligne et une riposte judiciaire annoncée

Depuis quelques jours, plusieurs vidéos et publications relayées sur les réseaux sociaux ont mis en cause la vie privée de la ministre, donnant lieu à une série de commentaires virulents, souvent teintés de misogynie et de sexisme.
Face à cette campagne de dénigrement, Thérèse Kayikwamba Wagner a annoncé avoir saisi le cabinet juridique ALTIUS, basé à Bruxelles, pour engager des poursuites judiciaires pour diffamation et atteinte à la vie privée.

Les premières actions cibleront, selon sa déclaration, Péro Luwara, responsable de la chaîne CPL TV opérant depuis la Belgique, Emmanuel Banzunzi de la chaîne Bishop National basée en Suède, ainsi que le site CongoIntelligence.com.
Elle indique par ailleurs que des démarches sont en cours auprès des plateformes numériques afin de faire supprimer les contenus mensongers et identifier les auteurs de leur diffusion et monétisation.

“Protéger ma famille et poursuivre mes fonctions en toute sérénité”

La ministre d’État affirme assumer “pleinement sa responsabilité de protéger son enfant” et de poursuivre son travail “avec sérénité et concentration”, soulignant que ces attaques ont tenté de “souiller un moment d’intimité et de joie familiale” et d’affaiblir sa voix dans l’exercice de ses fonctions diplomatiques.

Au-delà de ma personne, cette action s’inscrit dans le combat de toutes les femmes contre les violences – qu’elles soient physiques ou verbales et contre le dénigrement sexiste encore présent dans nos sociétés”, a-t-elle déclaré, appelant à une prise de conscience collective sur le respect de la vie privée des femmes publiques.

Une mise au point dans un contexte délicat

Cette sortie intervient dans un contexte politique et sécuritaire tendu, alors que la République démocratique du Congo fait face à la persistance des violences dans l’Est du pays et à des enjeux diplomatiques majeurs.
Thérèse Kayikwamba Wagner rappelle qu’elle entend se concentrer sur “la défense de la souveraineté nationale, la protection des populations et la recherche de la paix”, laissant à son équipe juridique “le soin de mener à terme le travail engagé” sur le plan judiciaire.

Une parole rare, un signal fort

Connue pour sa réserve médiatique, la ministre a voulu cette fois marquer un coup d’arrêt à ce qu’elle qualifie de “banalisation du mensonge”. Son message se veut à la fois personnel et symbolique : aucune femme, publique ou non, ne devrait voir sa vie privée transformée en champ de bataille.

Tchèques Bukasa

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