Société
Jean Thierry Monsenepwo félicite le nouveau président du CNJ et annonce des opportunités de stages pour la jeunesse congolaise
Le président du Conseil national de la jeunesse congolaise (CNJ), Claude Mbuyi, a été reçu ce lundi par le président du Front d’Éveil Patriotique Congolais (FPC), Jean Thierry Monsenepwo, à la suite de son audience avec le Chef de l’État et du ministre de la Jeunesse et de l’Éveil patriotique.
Lors de cet entretien, Jean Thierry Monsenepwo a adressé ses félicitations les plus sincères au nouveau président du CNJ pour son élection, tout en l’encourageant à poursuivre avec détermination sa mission au service de la jeunesse congolaise.
Le président du Conseil d’administration de COBIL SA a salué le leadership du Président de la République en faveur de la jeunesse et a rendu hommage à la ministre Grâce Kutino pour son implication dans la mise en place du nouveau bureau du CNJ.
En sa qualité d’Ambassadeur du changement de mentalité, Jean Thierry Monsenepwo a réaffirmé sa volonté de collaborer étroitement avec le Chef de l’État et le CNJ afin de promouvoir le patriotisme, la responsabilité citoyenne et le changement de mentalité au sein de la jeunesse.
Par ailleurs, il a annoncé l’ouverture de nouvelles opportunités de stages professionnels au sein de COBIL SA, dans le but de faciliter l’insertion socio-professionnelle des jeunes Congolais.
De son côté, Claude Mbuyi s’est réjoui de cette rencontre jugée fructueuse et prometteuse, marquant le début d’une coopération dynamique entre le CNJ et le Front d’Éveil Patriotique Congolais. Il a exprimé son engagement à œuvrer main dans la main avec Jean Thierry Monsenepwo pour le bien-être et l’épanouissement de la jeunesse de la République démocratique du Congo.
Dorcas Mwavita
Société
Un artiste congolais emprisonné injustement en Zambie : l’appel au secours de Djo Ngeleka Kazadi
Un vent d’inquiétude souffle sur le monde culturel congolais. L’artiste Djo Ngeleka Kazadi a été arrêté ce jeudi 2 octobre par les services d’immigration zambiens, alors qu’il tentait de regagner Lubumbashi après un séjour en Tanzanie.
Le comédien et metteur en scène, visiblement pris au dépourvu, a lancé un véritable cri d’alarme sur Facebook, informant ses proches et ses fans qu’il avait été interpellé et transféré à la prison de Mansa, en Zambie, sans comprendre clairement les raisons de cette arrestation. Dans son message bref mais poignant, il supplie les autorités et ses compatriotes de lui venir en aide.
Le témoignage de son épouse : un imbroglio administratif
Contactée par la rédaction de Congoprofond.net, l’épouse de l’artiste a donné des précisions sur cette affaire :
« Il revenait de Tanzanie et transitait par la Zambie avec un visa double entrée apposé sur son ancien passeport. À la frontière, les agents de l’immigration ont refusé d’apposer le cachet de sortie dans ce passeport au motif qu’il ne restait plus de pages libres. Ils ont également refusé de le faire sur son nouveau passeport, car celui-ci ne portait pas le visa. Depuis ce matin, il est détenu à la prison de Mansa. »
Cette situation, qui relève manifestement d’un quiproquo administratif, plonge l’artiste et sa famille dans l’angoisse.
Mobilisation et appel aux autorités
Dans le milieu culturel congolais, l’arrestation de Djo Ngeleka suscite indignation et solidarité. De nombreux artistes et acteurs culturels lancent un appel pressant au ministère congolais de la Culture et des Arts, ainsi qu’au gouvernement provincial du Haut-Katanga, afin qu’ils interviennent rapidement pour obtenir la libération de ce fils du pays.
Cette affaire rappelle, une fois de plus, la nécessité d’une assistance consulaire efficace pour protéger les citoyens congolais confrontés à des difficultés à l’étranger.
Benjamin Kapajika