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Francophonie : La conférence de presse de clôture des 9èmes Jeux se termine en queue de poisson !

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C’est en fin d’après-midi de ce dimanche 6 août que la conférence de presse de clôture des 9ème jeux de la francophonie a commencé. C’était au Centre International des Media ,au palais du peuple. Les orateurs ; le ministre de la communication et des Médias, Patrick Muyaya; le Directeur national du Comité d’organisation Isidore Kwandja, ainsi que Zeina Mina Directrice du Comité Internationale de la Francophonie ont rehaussé de leur présence pour la circonstance.

La Directrice Zeina Mina a pris en premier la parole en remerciant tout les participants pour le déroulement des Jeux. Et de poursuivre :  » … Avec plus de 3.500 participants sportifs, 389 artistes, ces jeux ont été une véritable célébration de l’unité… ». Elle a félicité la participation des journalistes pour leur implication.

Zeina Mina a ténu à rendre un vibrant hommage à tous les pays qui ont été présents à cette édition. Mais plus particulièrement le Maroc qui est de très loin en tête du classement avec plus d’une cinquantaine de médailles d’or.

Par ailleurs la Directrice du Comité international des 9ème jeux de la Francophonie a été éblouie par le public de Kinshasa pour ses encouragements. Et ce, durant toute la durée des Jeux, même quand les équipes de la RDC n’étaient plus dans la compétition.

Coup de théâtre ! 6 minutes depuis la prise de parole de Zeina Mina, une coupure du courant électrique. Après une demie heure d’attente, les orateurs ont quitté la salle… C’est au-delà de 1h30′ que l’électricité a été rétablie. La raison de ladite coupure n’a pas été élucider.

Franck Ambangito et Hana Kel

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Enfants soldats à l’Est de la RDC : le CEPEF alerte sur des violations graves et plaide pour une action urgente

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La Convention internationale des droits de l’enfant ainsi que la Loi portant protection de l’enfant interdisent formellement le recrutement d’enfants par les groupes et forces armés. Pourtant, dans l’Est de la République démocratique du Congo, des enfants sont encore enrôlés, de gré ou de force, par des groupes armés, souvent en raison du manque de combattants adultes.

Le 4 octobre 2012, le gouvernement congolais a adopté un Plan d’action visant à lutter contre le recrutement et l’utilisation d’enfants ainsi que contre d’autres violations graves de leurs droits. Ce plan figure dans les engagements de l’Accord-cadre d’Addis-Abeba.

Le Cercle d’études pour la protection de l’enfant et de la famille (CEPEF), une structure initiée par des chercheurs universitaires et des experts en travail social œuvrant pour la promotion des droits de l’enfant, la protection des familles et la réinsertion socio-économique des enfants et jeunes en situation de rue, dénonce aujourd’hui les violations graves dont sont victimes les enfants dans le conflit armé opposant le M23, soutenu par le Rwanda, aux forces gouvernementales.

Fort de l’arsenal juridique existant, le CEPEF plaide auprès des autorités compétentes pour l’actualisation du Plan d’action pour le retrait des enfants associés aux forces et groupes armés, ainsi que pour la mise en place de mécanismes rigoureux d’évaluation de leur âge.

Dans cette perspective, les assistants sociaux, les experts de terrain, les responsables militaires et civils des services concernés doivent se réunir — avec l’appui technique du CEPEF — afin de réfléchir à un programme de Démilitarisation, Démobilisation et Réinsertion (DDR) des enfants soldats.

La paix, dit-on, se prépare. Mais quelles seront les conséquences psychosociales pour ces enfants dont les droits ont été bafoués ? Alors que l’on évoque la fin de la guerre, il est plus que jamais urgent d’agir pour eux.

Osée MUKOKO ZANGA

 

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