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Frais de fonctionnement : l’Epst/Kin pour la reconduction du montant payé l’année passée

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Plus de 1000 participants à la 22ème Commission provinciale de l’Enseignement primaire, secondaire et technique/Kinshasa tenue mardi 13 octobre 2020 à l’Institut Mokengeli (commune de Lemba) sont pour le maintien des frais de fonctionnement payés l’année scolaire 2019-2020. Dans certaines rubriques, ces frais sont même revus à la baisse.

Ils ont exprimé ce vœu au terme des travaux en atelier, à travers une déclaration finale lue à l’intention du ministre provincial du secteur, Charles Mbutamuntu Lwanga.

Ce membre de l’exécutif provincial a promis de présenter ce rapport au gouverneur de la ville de Kinshasa, Gentiny Ngobila Mbaka, qui devra prendre un arrêté dans ce sens.

Présents dans la salle, des représentants du Comité des parents ont manifesté leur satisfaction car “cela soulage tous les parents qui vivent encore des effets économiques et financiers difficiles du Coronavirus.

Quant aux syndicats des enseignants, ils ont salué ces résolutions qui prennent en compte la situation de ” Nouvelles Unités “, impayés depuis plusieurs années.

De leur côté, les directeurs des cinq provinces éducationnelles de Kinshasa se sont dits déterminés à appliquer, à la lettre, ces résolutions, une fois que le gouverneur prend l’arrêté. Pour eux, toutes ces recommandations observent l’esprit de la gratuité de l’enseignement, consacré dans la Constitution.

LM/CONGOPROFOND.NET


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À la Une

Restitution des travaux sur l’examen décennal de la Déclaration d’Addis-Abeba sur la Population et le Développement en RDC : Un appel à une synergie pour le développement du pays

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La République démocratique du Congo a participé à l’examen décennal de la Déclaration d’Addis-Abeba sur la population et le développement (AADPD + 10), qui s’est tenu à Lusaka, en Zambie, du 7 au 10 novembre 2023. Cet événement fait suite à la Conférence régionale sur la population et le développement qui s’est tenue en 2013, dans le but d’examiner la mise en œuvre du Programme d’action de la Conférence internationale sur la population et le développement (CIPD), adopté au Caire, en Égypte, en 1994.

Dans ce contexte, la restitution des travaux de Lusaka aux parties prenantes impliquées dans la mise en œuvre de la Déclaration d’Addis-Abeba a été organisée le mardi 9 avril 2024 au siège du PNUD à Kinshasa. Les échanges ont réuni plusieurs parties prenantes, notamment le gouvernement à travers le ministère du Plan, la société civile et les partenaires. Ils ont été informés des revues continentales et nationales relatives à cette question, ainsi que des progrès réalisés, des défis persistants et des opportunités pour promouvoir les droits humains, l’éducation et la santé sexuelle et reproductive pour tous, en vue de favoriser le développement du pays.

À l’issue de ces discussions, plusieurs recommandations ont été formulées. Elles portent notamment sur les mécanismes visant à maintenir les filles dans le système scolaire, la prise en charge des femmes vulnérables dans le processus de planification du développement, le renforcement et le financement du système statistique, l’organisation rapide d’un recensement général pour permettre au pays d’élaborer un plan de développement adapté à ses réalités, ainsi que le renforcement du partenariat tant au niveau mondial que national pour une approche intersectorielle. Il a également été souligné l’importance de garantir la participation et l’implication des jeunes dans la mise en œuvre de la Déclaration d’Addis-Abeba sur la population et le développement, ainsi que la mise en place d’une éducation sexuelle complète dans la planification.

La représentante du ministère du Plan a salué des échanges enrichissants, soulignant qu’il est impossible d’atteindre le développement sans une synergie entre toutes les parties prenantes, à savoir le gouvernement, la société civile et les partenaires. Elle a déclaré : “Il s’agissait d’échanges enrichissants concernant les six piliers de la Déclaration d’Addis-Abeba”.

Par ailleurs, la représentante du Fonds des Nations Unies pour la Population (UNFPA) a rappelé que la RDC avait élaboré son rapport d’évaluation en août 2023 avec le soutien de son agence. Elle a déclaré : “Comme d’autres pays africains, avec le soutien du Fonds des Nations Unies pour la Population (UNFPA), la République démocratique du Congo a élaboré en août 2023 son rapport d’évaluation de la Déclaration d’Addis-Abeba sur la population et le développement. Lors de cette session d’aujourd’hui, nous aurons l’occasion de présenter le rapport national d’évaluation de la Déclaration d’Addis-Abeba, dix ans après, en RDC, et également d’échanger des idées, de partager des expériences et d’identifier les actions prioritaires à entreprendre pour progresser vers la réalisation des objectifs de la Déclaration d’Addis-Abeba en RDC”.

Il convient de noter qu’en Afrique, la CIPD s’est appuyée sur l’examen décennal de la mise en œuvre de la Déclaration d’Addis-Abeba sur la population et le développement (DAAPD), qui comprend le Programme d’Action de la CIPD pour le continent.

Ben Kapajika/ Congoprofond.net


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