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DCMP : Charles Okoto traite Ayi Idambituo de virus…

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Comme leur slogan le dit : « Daring unis est imbattable », les Immaculés ne veulent plus débuter la nouvelle saison avec des zones d’ombres dans toutes les couches du clubs. Sur ce, une grande réunion a été tenue, le dimanche 12 juillet, loin de centre ville de Kinshasa, à Kinsuka Beach, chez l’un des l’administrateurs de l’équipe, Charles Okoto.

Il a été question de réunir tout le monde afin d’élaguer les zones d’ombres qui gangrènent l’équipe, mais aussi de combler les postes vacant dont : la section football. Aucune figure adulée du Daring n’a raté cette occasion qui a consisté également d’évaluer les projets du comité de direction que dirige Vidiye Tshimanga, et de mettre en place des stratégies efficaces de collecte de fonds, pour atteindre le budget évoqué lors de l’assemblée générale ordinaire. L’on rappelle le budget pour la saison 2020-2021 a été arrêté à 5.000.000 de dollars américains.

« Nous avons examiné les prévisions budgétaires, et le conseil d’administration du club l’a entériné, en tenant compte bien sûr de quelques remarques. Le conseil d’administration a également entendu l’exposé du président de coordination sur la gestion financière, avant de prendre acte. Le conseil d’administration a également mis en garde certaines personnes qui utilisent les réseaux sociaux ou d’autres médias pour vilipender le bon comportement du comité. Les sanctions suivront pour ceux-là », a expliqué , le secrétaire général de l’équipe, Me José Mandjeku

Le conseil d’administration a également souligné que désormais tout le monde doit contribuer mensuellement pour l’avancement de l’équipe, le temps de laisser la charge à la coordination est révolu, et chacun doit prendre conscience de sa participation à l’équipe, a martelé Charles Okoto, en soulignant aussi que le virus est parti puisque leur équipe a trouvé le vaccin, faisant allusion au départ d’Ayi Idambituo, l’ex président de la section football.

« Nous avions fait la restitution de la dernière réunion, nous avons critiqué, nous avons souligné que salir notre équipe à l’extérieur surtout dans les réseaux sociaux n’est pas bon. Ce qui fait que nous avons décidé, nous les administrateurs, de cotiser mensuellement. Mieux vaut avoir les gens qui sont bavards et qui contribuent pour l’équipe. Nous avons déjà trouvé le vaccin et le virus est parti. C’est enterré et c’est fini. Nous avons compris que c’était les gens qui n’aimaient pas Imana, ils venaient pour les intérêts propres. Cette fois-ci avec l’avènement du président Tshimanga, nous avons pris conscience avec les aînés pour que Imana aille de l’avant », a-t-il laissé entendre.

Au cours de cette réunion, une assemblée générale élective partielle a été annoncée dans les jours qui viennent, pour combler le vide, notamment au poste de président de la section football, laissé vacant depuis la démission d’Ayi Idambituo. Le colonel Eddy Mukuna s’est porté candidat, alors que Nanou Talangai sera candidate à la section volley-ball et Claudine Bema à la section football Junoir.

Notons que cette réunion a été convoquée surtout pour contrer les allégations faites par l’ex-président de la section football dans des médias locaux qui demandait ainsi l’audit financier de la saison 2019-2020. Ce dernier estimait qu’il y a des soucis dans la gestion de Vidiye Tshimanga, révélant qu’en 8 mois, avec 4 millions USD de budget, les joueurs font face à des arriérés de salaire.

Après avoir pris connaissance de la demande de son ex-collaborateur, Vidiye Tshimanga avait également répondu en ces termes :
« Par soucis de transparence, je souhaiterais que cet audit soit fait par une institution externe au DCMP afin qu il n’y ait pas de parti pris. J’invite donc cet énergumène en quête de notoriété ou tout Imanien qui le désire à engager le bureau d’audit international tel que PriceWaterhouse Coopers, Deloitte, EY ou encore KPMG. Les frais seront à la charge du demandeur bien entendu ».

Jolga Luvundisakio/CONGOPROFOND.NET

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Briser les tabous autour de la santé sexuelle : un défi pour la presse à Lubumbashi

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Plus d’une vingtaine de journalistes de Lubumbashi ont pris part, du mardi 4 au mercredi 5 novembre, à un atelier de formation axé sur les Droits à la santé sexuelle et reproductive (DSSR). Organisée à l’hôpital général Jason Sendwe par le Réseau des journalistes pour la santé sexuelle et reproductive (RJSSR), avec l’appui de l’organisation Marie Stopes International (MSI), cette session visait à renforcer les capacités des professionnels des médias dans la promotion d’une information juste et responsable sur les questions de santé sexuelle.

Pendant deux jours, les échanges ont porté sur les différentes formes de violences basées sur le genre (VBG), notamment la violence physique, psychologique, morale, le harcèlement et les agressions sexuelles. Des phénomènes encore fréquents dans les milieux professionnel, scolaire et communautaire, où les femmes demeurent particulièrement vulnérables.

Les discussions ont également mis en lumière la problématique des avortements clandestins, pratiqués dans des conditions précaires et souvent mortelles. Selon les organisateurs, informer correctement le public sur les méthodes d’avortement sûres et encadrées constitue une mesure essentielle pour réduire la mortalité maternelle. En ce sens, le Protocole de Maputo, ratifié par la RDC, autorise l’interruption volontaire de grossesse en cas de viol, d’agression sexuelle ou de danger pour la santé physique et mentale de la femme, à condition que son consentement éclairé soit respecté.

Les participants ont aussi été sensibilisés aux risques liés à certaines pratiques traditionnelles d’avortement, telles que la consommation de plantes ou le curetage artisanal, pouvant entraîner des complications graves, voire la stérilité ou la mort.

Autre thème central abordé : la masculinité positive, qui promeut l’implication des hommes dans la lutte pour l’égalité des sexes et le respect des droits des femmes. Les formateurs ont, en parallèle, dénoncé la masculinité dite « négative », source de domination et de discrimination.

Au terme de la formation, les journalistes ont été appelés à relayer, dans leurs productions médiatiques ( émissions, reportages ou articles ), les messages essentiels reçus. Une manière de contribuer, par la force de l’information, à bâtir une société plus équitable, où la santé sexuelle et reproductive devient un droit effectif pour toutes les femmes.

Patient Mubiayi MBY

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