Connect with us

À la Une

Attentat de Beni : Ngudji Abdallah, le sujet ougandais identifié comme Kamikaze !

Published

on

Les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) informent que Ngudji Abdallah, un sujet d’origine ougandaise, a été identifié comme le Kamikaze qui s’est fait exploser dans l’attentat terroriste commis, dimanche 27 juin dans la soirée, au rond-point Malu Malu à Beni, dans la province du Nord-Kivu.

Ce membre d’ADF/MTM très actif au côté de son chef, le sinistre terroriste Amigo, selon les sources sécuritaires, et chargé de la formation des recrues et de l’escorte de nouveaux terroristes vers Madina pour leur endoctrinement, avant le déploiement à Mwalika, est décédé sur le champ.

La haute hiérarchie des FARDC qui déplore l’acte ignoble posé par ces poseurs de bombes à la paroisse Emmanuel de Butsili, comme au rond-point Malu Malu informe, dans le même communiqué, de la prise en charge médicale immédiate à Beni d’Alpha Masumbuko et Fabrice Talia Pango, les deux femmes blessées lors de l’attentat à l’église.

Par ailleurs, poursuit-on, des mesures sécuritaires urgentes et d’application immédiate ont été prises en vue de protéger la population, à savoir la fermeture des endroits publics et des écoles pour une durée de 48 heures, le bouclage et l’installation des check point sur toute l’étendue de la ville des patrouilles diurnes et nocturnes pédestres et motorisées ainsi que des patrouilles diurnes, nocturnes, pédestres et motorisées.

Les forces de sécurité demandent à la population de la ville de Béni en plein état de siège « de dénoncer tout mouvement suspect, de se désolidariser des groupes armés et de se ranger derrière elles pour l’imposition de la paix et la restauration de l’autorité de l’Etat », conclut le communiqué.

Bishop Mfundu/CONGOPROFOND.NET


There is no ads to display, Please add some

À la Une

Affaire « Juge Ndonda » : Le magistrat n’est pas employé, mais jurisconsulte ( Précisions de l’avocat de la société IREC)

Published

on

By

 

 

 

Ce qu’il faut retenir est que ce dernier n’est nullement conseiller juridique de la société IREC comme il s’est répandu dans plusieurs publications, mais il donne ses avis juridiques en tant que consultant quand la société sus rappelée le sollicite.

 

La raison même de sa présence (visiteur) dans les locaux de la société IREC où il attendait son Manager Général dans le cadre d’un dossier qu’il fallait émettre un avis.

 

Malheureusement, pendant ce temps que les deux APJ de la Gombe se sont présentés comme les partenaires pour rencontrer le DG qui était dans son bureau, en repos après avoir connu un malaise de santé depuis le matin comme son médecin traitant l’a exigé.

 

Reçus par le secrétariat de la société IREC, ce dernier leur a demandé de patienter ou de repasser dans les après-midi en attendant que son DG retrouve la force et sa forme physique.

 

Les APJ revêtus d’autorité et du pouvoir d’agir décideront plutôt de casser la porte du bureau de DG pour le faire sortir de force, au cas contraire partir avec toute personne (employés comme visiteurs) présente dans les locaux de ladite société à ces instants mêmes, sous les bruits et lesquels étaient accompagnés de brutalité contre les personnels de l’entreprise qui ne partageaient pas cette option. Raisons : Obstruction à la justice pour avoir caché le DG.

 

10 autres agents du parquet de la Gombe se sont se joints à eux pour faire sortir toute personne se trouvant sur les lieux.

 

En sa qualité de Magistrat et ancien substitut du Procureur de la République, le Juge NDONDA a fait appel aux APJ, brandissant même sa qualité de Magistrat/Juge, aux fins de leur expliquer la procédure dans le cas d’espèce où le DG était enfermé pour raison de santé ce, pour ne pas rendre mal leur exécution. Ne voulant pas écouter, ils se sont attaqués au Juge NDONDA comme quoi c’est l’ordre du Procureur de partir avec le DG de la société IREC et lui n’a aucun mot à leur adresser quand bien même ils n’avaient aucun mandat de perquisition et personne d’entre eux n’était revêtu de la qualité d’OPJ. C’est en ce moment précis que l’APJ WALELAKA s’est attaqué à ce juge au point de déchirer même sa veste, le menottant au niveau des poignets de mains et l’étranglant par sa cravatte enroulée au cou pendant plusieurs minutes. Il a été ainsi humilié dans la rue jusqu’au niveau de l’agence SONAS/Boulevard où ils ont trouvé un taxi, ensemble avec ses collègues comme les vidéos le témoignent, jusqu’au PG/Gombe où ils ont été entendus sur le PV par le AG BOS, qui après audition les a tous relaxés.

 

Un agent du parquet ne peut pas se permettre de toucher un Magistrat, de surcroît Juge d’instance dans le corps et l’humilier comme c’était fait pour le Juge NDONDA.

 

Nous condamnons cette pratique de déviation comportement de la part des exécutants de mandat de justice qui, sur terrain, se croient être forts et puissants en se permettant d’aller au-delà de la mission qui leur est confié.

 

Nous demandons justice pour ce Juge qui a toujours fait montre ses qualités, compétence et charisme depuis son recrutement en 2010 dans ce corps des magistrats comme le signale toujours sa cotation après inspection par sa hiérarchie.

 

Me Ngoma Aymar Fabrice, avocat/IREC


There is no ads to display, Please add some
Continue Reading

K-WA Advertising