À la Une
Affaire « Bukanga Lonzo »: Aucune faveur n’a été accordée à Patrice Kitebi au nom d’une adhesion à l’Union Sacrée ( Mise au point avocat)

Depuis hier à 22 heures, un groupe de journalistes, entre autres, Messieurs Peter TIANI, Louis France KUZIKESA et Patrick LOKALA, aux alentours de 22 heures 55’ pour le premier, 22 heures 50’ pour le deuxième et 23 heures 26’ pour le dernier, se sont évertués, à travers leurs comptes Twitter, à diffuser des mensonges concoctés dans un laboratoire obscur lesquels messages sont tous identiques, car renfermant le même style et stigmatisant des propos diffamatoires contre Monsieur Patrice KITEBI KIBOL M’VUL, qui serait retiré du dossier BUKANGA LONZO, suite à son adhésion à l’Union Sacrée de la Nation.
Monsieur Patrice KITEBI tient à fixer l’opinion tant nationale qu’internationale en ces termes :
Primo : Il n’a jamais bénéficié d’une quelconque faveur venant de qui que ce soit pour être retiré de ce dossier.
Secundo : Son retrait dans le dossier BUKANGA LONZO l’a été par le fait d’une défense bien structurée, disciplinée de ses Avocats Conseils et au regard des preuves bancaires versées au dossier après confrontation avec Monsieur Christo GROBLER (le Sud-africain et prestataire du Parc Agro-industriel de BUKANGA LONZO), ce dernier a reconnu avoir perçu tous les Fonds ordonnés par Monsieur Patrice KITEBI.
Tercio : Monsieur Patrice KITEBI n’a jamais été complice de qui que ce soit dans ce dossier, à moins qu’il y ait quelqu’un qui veuille plaider coupable et qui pense que Patrice KITEBI était pour quelque chose dans la réalisation de son forfait, il reste disponible à faire face à ses preuves.
Quarto : Le dossier BUKANGA LONZO a été classé sans suite pour faits non établis pour Patrice KITEBI au regard des preuves matérielles et irréfutables qui sont au dossier jusqu’à ce jour. Aucune faveur ne lui a été accordée au nom d’une quelconque adhésion dans un parti politique ou regroupement politique.
Pour le reste, Monsieur Patrice KITEBI n’a jamais été complice de personne, car partout où il est passé, les témoignages sont éloquents.
Fait à Kinshasa, ce 16/10/2023
Pour Monsieur Patrice KITEBI
Son conseil
Maître Carlos NGWAPTISHI NGWAMASHI
Avocat
À la Une
Haut-Uélé : Des Chinois arrêtés pour exploitation illégale sur le site de Kibali Gold Mine, Louis Watum réaffirme la souveraineté minière de la RDC

En mission d’itinérance dans la province du Haut-Uélé, le ministre national des Mines, Louis Watum Kabamba, a fait, ce lundi 6 octobre, une découverte pour le moins troublante sur le périmètre d’exploitation de Kibali Gold Mine, la plus grande entreprise aurifère opérant légalement en République démocratique du Congo.
Sur ce site, des ressortissants chinois, dépourvus de tout titre ou autorisation officielle, exploitaient frauduleusement l’or congolais, en violation flagrante des lois nationales et sous le regard impuissant de certaines autorités locales.
Le ministre n’a pas tardé à réagir. Sur place, il a ordonné l’arrestation immédiate des contrevenants et la saisie de leurs engins, soulignant la volonté ferme du gouvernement de mettre fin à l’exploitation illicite des ressources naturelles.
Cette opération coup de poing s’est déroulée en présence du gouverneur de province Jean Bakomito, de plusieurs députés provinciaux ainsi que du Directeur général de Kibali Gold Mine, Cyrille Mutombo Cibanda.
« La force reste à la loi », a déclaré Louis Watum, avant de rappeler que la souveraineté minière constitue un pilier fondamental de la souveraineté nationale.
« Les ressources du sous-sol congolais doivent profiter d’abord au peuple congolais, dans la transparence et le respect des règles », a-t-il insisté.
Une question de souveraineté et de dignité nationale
Au-delà du simple acte de répression, cette intervention du ministre s’inscrit dans un combat plus large pour la souveraineté économique de la RDC, longtemps fragilisée par des pratiques d’exploitation illégale menées par certains opérateurs étrangers, parfois avec la complicité interne.
La présence d’acteurs non autorisés sur un site stratégique comme Kibali Gold Mine met en lumière les défis persistants liés à la sécurisation des zones minières, mais aussi à la maîtrise des circuits d’exportation de l’or congolais, souvent détourné au détriment du Trésor public.
En réaffirmant l’autorité de l’État sur le secteur, Louis Watum envoie un signal fort : la RDC n’entend plus être spectatrice de la prédation de ses ressources.
Cette opération marque un tournant symbolique dans la reconquête de la souveraineté minière, un enjeu majeur pour le développement durable et la dignité du peuple congolais.
Tchèques Bukasa/CONGOPROFOND.NET