À la Une
Victimes des violences sexuelles et réparation : Denise Nyakeru Tshisekedi chez Mboso pour l’accompagnement de la chambre basse
La Première Dame de la République, Denise Nyakeru Tshisekedi, a sollicité l’accompagnement de l’Assemblée nationale pour la matérialisation de l’avant-projet de loi portant réparation des victimes des violences sexuelles basées sur le genre, au cours d’un échange, vendredi au parlement avec le président de la chambre basse, Christophe Mboso Nkodia Pwanga.
La Première Dame Denise Nyakeru Tshisekedi a, à cette rencontre, souligné la nécessité dudit projet de loi, en vue des trouver des solutions durables au profit des victimes. Denise Nyakeru et la commission ad hoc ont, à cette occasion, expliqué l’idée, le cheminement et les perspectives du gouvernement jusqu’à l’étape actuelle dudit projet de loi.
Christophe Mboso a rassuré à l’unanimité que le souci de la Première Dame de la République est partagé par les parlementaires.
La rentrée parlementaire de la session de septembre, bien que budgétaire, pourrait panacher sur ce mécanisme juridique, pour son accélération, indique-t-on.
Tchèques Bukasa/CONGOPROFOND.NET
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À la Une
Marche pacifique des magistrats sans affectation (M24) dispersée par la police à Kinshasa
Une marche des magistrats recrutés à l’occasion du concours de 2022 a été dispersée par la police le lundi 16 septembre. En effet, les organisateurs de la manifestation avaient préalablement informé les autorités de la ville, d’après un document parvenu à notre rédaction.
Soulignons que ces collectifs de magistrats ont été brutalement dispersés par la police et que d’autres ont été conduits au camp Lufungula par arrestation arbitraire.
Il convient également de noter que M. Corneil, l’un des candidats magistrats, a été tabassé à l’agonie et conduit à l’hôpital général de Kinshasa pour avoir revendiqué son droit le plus légitime.
Pour rappel, ayant satisfait à un concours organisé en 2022, ces magistrats devraient être nommés par ordonnance présidentielle en avril 2024.
Ces futurs magistrats, appelés aussi M24, évoquent la notion de deux poids, deux mesures, car leurs anciens collègues, devenus aujourd’hui magistrats, n’ont rien fait de spécial pour arriver là où ils sont aujourd’hui. Pourtant, ils ont tous passé le même concours et réussi ensemble.
Ainsi, ces magistrats M24 demandent au président de la République, en sa qualité de magistrat suprême du pays, et au Conseil supérieur de la magistrature, de prendre leur dossier en main afin d’accélérer le processus de nomination.
Elyane Mukuna/Congoprofond.net
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