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V.Club : Diomi Ndongala, 1er candidat pour succéder au général Amisi « Tango Four »

Après le départ de Gabriel Amisi Kumba dit « Tango Four », la semaine dernière, le média proche de la team vert et noir, « VClub Télévision » annonce, ce jeudi 04 juin, la première candidature au poste du président de coordination de cette grande équipe de la capitale. Il s’agit de Diomi Ndongala, homme politique congolais (58 ans).
Ancien parlementaire et vice-ministre de l’Économie et des Finances en 1994 et en 1996 dans le dernier gouvernement de salut public du président Mobutu Sese Seko.
De 2004 à 2006, il fut président contesté de l’AS Vita Club, club de foot congolais. Il est le président du Front pour la Survie de la Démocratie au Congo/Démocratie Chrétienne. Il fut candidat à l’élection présidentielle de 2006. En août 2009, Diomi devenait agent match de la FIFA.
La course au poste de président de coordination de l’AS VClub est donc lancée. Les « anciens » de cette équipe qui ont reçu la candidature de Diomi Ndongala vont certainement en recevoir d’autres avant de fixer un calendrier électoral.
Jolga Luvundisakio/CONGOPROFOND.NET
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Affaire « Mwangachuchu » : La synergie « Union fait la Force » appelle F. Tshisekedi à y réserver un œil particulier

La Synergie de mouvements citoyens,ONG et associations des Droits de l’homme a dénoncé les conditions inhumaines de détention du député national Édouard Mwangachuchu au cours d’une conférence de presse tenue ce lundi 20 mars à Kinshasa.
Ces organisations citoyens déplorent la violation grave des droits et libertés fondamentaux de cet élu du peuple,
le vice de procédure, la manipulation, l’instrumentalisation et la politisation dudit dossier.
A en croire, Hilaire Ngedi, coordonnateur national de ce collectif dénommé « Union fait la force », le député Édouard Mwangachuchu a été arrêté à son domicile situé dans la commune de la Gombe et déféré à la prison centrale de Makala dans la nuit du 01er mars. Le septuagénaire est interpellé pour complicité avec des groupes terroristes dans l’est de la RDC.
Suite à ces accusations, poursuit-il, plusieurs autres personnes ont été interpellées et sont portées disparues. Il s’agit, entre autres, du bâtonnier Samane Chico Joseph, Faustin Karongire (Gardien), Justin Ngiruwonsanga (Sécurité),
Jean Mukunzi (Garde), Roger
Rwabaneza Rudacogora (Surveillant D2) et Justin Nsabimana (Hygiène).
Pour le collectif, l’affaire devrait être gérée tout d’abord par les renseignements avant une précipitation sur son arrestation. » La justice s’est basée sur des rumeurs des réseaux sociaux pour procéder à l’arrestation de l’élu du Nord-Kivu alors qu’il bénéficie de la présomption d’innocence et de ses immunités parlementaires », martèle le coordonnateur de cette structure.
Puis de s’interroger : » Comment peut-on l’arrêter tard la nuit à 01 heure et faire une perquisition le matin à 10h36 ? Nous vivons la violation des droits de l’homme et le sabotage de l’Etat de droit prôné par le chef de l’État… »
Pour lui, Mwangachuchu est un homme honnête ayant prouvé, à travers l’histoire de sa carrière politique, les valeurs républicaines et patriotiques en nitiatiant des actions contre le M23.
Tout en pointant un doigt accusateur sur l’actuel responsable des services de renseignements du Nord-Kivu, Sylvain Sakaji Tshikomba, ce collectif demande au Chef de l’État de réserver un œil particulier à ce dossier au nom de la cohésion nationale qu’il a toujours prônée.
MD
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