Actualité
Strong2Kin Moov : du néant au sommet !
Il y a 4 ans, Strong2Kin Moov n’existait pas. A ce 22 janvier 2022, nous fêtons nos 4 ans d’existence dans le paysage médiatique congolais. Hier méconnu de tout le monde, aujourd’hui connu de tous, nous sommes un média purplayer couvrant la culture, la musique, le sport et les événements en RDC.
Dans les lignes qui suivent, nous allons revenir sur la genèse de notre boîte (pour les lecteurs qui ne le savent pas), l’évolution de notre média depuis notre dernier anniversaire, les chiffres générés durant les 12 derniers mois et les perspectives d’avenir.
Genèse
Bah ! Nous allons remonter le temps. Notre média a lancé ses travaux un 22 janvier 2018. Dans une sphère médiatique inondée des médias, Strong2Kin Moov a réussi de tirer son épingle du jeu.
Pour un début, l’idée était de mettre en lumière les artistes du ghetto. Le média s’est décidé de se concentrer sur la musique urbaine, consommée par les jeunes. Avec une équipe réduite, Strong2Kin Moov s’est focalisé sur Facebook avec des visuels personnalisés pour informer le public autrement.
« Je n’avais pas un bureau. J’ai courais derrière un ami graphiste qui avait un bureau. J’ai passé plus de quatre fois par semaine dans ses locaux pour profiter du confort et les dompter pour la conception des visuels et en temps réel », relate Jérémie Kabamba, CEO de Strong2Kin Moov. Et de renchérir : « Comme chez moi en famille il avait les coupures d’électricité en répétition, j’ai passé aussi plusieurs heures dans des restaurants pour profiter de la charge ».
A l’époque, Jérémie n’était pas au courant qu’il avait mis en place un portail numérique qui sera une vitrine de la RDC.
Évolution et Innovations
A la base (2018), Strong2Kin Moov n’avait qu’une page Facebook. Puisqu’à l’époque le coût à internet était élevé en RDC, et les internautes n’avaient que Facebook pour communiquer avec leurs proches et les médias se trouver une cible pour informer ce public varié dans plusieurs secteurs de la vie quotidienne.
Quelques mois plus tard, le média s’est élargi avec la création d’une page sur Instagram, l’autre branche de Facebook. Et, la même année et la même période, l’équipe a lancé sa chaine Youtube et a mis en place un compte professionnel sur Twitter afin d’élargir sa communauté.
Avec cette diversité de canaux de diffusion, Strong2Kin Moov s’est classé comme l’un des médias congolais qui contribuent à la promotion de la culture congolaise. Sur les pages sociales du média, c’est un contenu varié qui répond aux attentes des internautes et des annonceurs, qui ont pour cible : les jeunes.
S’est limité sur les réseaux sociaux, c’est bien. Mais avoir un site web qui propose des contenus originaux, c’est mieux. C’est dans cette optique qu’un site web a été officiellement lancé. « L’idée était de créer une identité originale en offrant à notre public des contenus de haut niveau : les dossiers, les portraits, les interviews, les reportages. Nous avons renforcé le côté éditorial avec une équipe qui comprend des rédacteurs aptes et qui ont une connaissance musicale, sportive, événementielle,…Strong2kinmoov.com, est un site web purement jeune », confie Jérémie.
En mars 2020, suite à la pandémie à covid-19, le média a lancé une page TikTok afin de poster quelques vidéos gags qui pourront égayer les internautes durant cette période qui a bouleversé le monde.
En août 2020, le média a eu un autre tournant sur sa chaine Youtube. En un trimestre, Strong2Kin Moov a produit plusieurs contenus vidéo qui mettent en avant les jeunes artistes congolais. Dans le souci de produire un contenu original qui n’avait rien à voir avec la musique dite profane, Strong2Kin Moov a lancé une branche Made in Jésus consacré aux activités gospel : Strong2Kin Gospel. Qui évolue très bien !
Durant les 12 derniers mois, Strong2Kin Moov s’est aussi le lancement de Strong Music LTD. Cette nouvelle branche qui a ouverte ses portes en juillet 2021 est devenue un propulseur de ma carrière des jeunes artistes. Jusque-là, 2 artistes sont signés à l’occurrence de K2 Shab’s et Exauss Feeling ainsi que Le Petit Fally avec lequel, la firme a collaboré pour un single.
« Les médias naissent du jour le jour. Nous essayons de faire de notre mieux pour se démarquer, garder le cap ainsi que notre originalité. Il y a aussi de concurrence loyale qui est dans le paysage médiatique. Du coup, nous devons innovés du jour le jour », explique Jérémie à propos de la motivation derrière toutes ses innovations.
Chiffres
Depuis notre dernier point bilan, Strong2Kin Moov a engrangé des chiffres remarquables.
Sur notre site web, nous comptons plus de 160.000 visiteurs fidèles qui consultent plus de 210.000 pages régulièrement. C’est des chiffres à encourager pour un média jeune.
Sur Instagram Strong2Kin Moov a dépassé le cap de plus de 230.000 abonnés, soit plus de 90.000 abonnés de plus gagnés durant les 12 derniers mois avec un cumul de 112,26 K de likes (la taille de l’audience est estimée entre 4,1 M – 4,9 M).
Sur TikTok, le média a engrangés plus de 94.000 abonnés et dépassé la barre symbolique de plus de 380.000 likes. Bien que le compte Twitter de la boîte soit en plein développement, une communauté de plus de 3.742 followers est derrière les tweets.
Contrairement à l’année dernière, la chaine YouTube de Strong2Kin Moov n’a pas vraiment tournée. C’était suite à un problème technique. Active depuis le 9 mars 2018, notre chaîne cumule plus de 25.000 abonnés et plus de 2.420. 145 de vues.
« Pour être honnête, je suis très surpris, mais je me dis toujours que c’est ne pas assez et qu’il y a du travail à faire, donc on s’y met. Et le meilleur reste à venir… », lâche Jérémie au sujet des chiffres générés par Strong2Kin Moov et la relation que le média entretien aujourd’hui avec les artistes.
Perspectives
Cette année, ce média des jeunes a plusieurs ambitions. Son responsable qui préfère mettre sa langue dans sa poche a tout de même déclaré : « Le média projette de faire de son mieux pour continuer à divertir les internautes grâce à une série des contenus exclusifs et innovants. Restez connecté sur nos réseaux sociaux, l’équipe technique et la rédaction est dans la cuisine et il y’a plusieurs annonces qui vont tomber très prochainement… ».
Cette année s’annonce encore très chaude et productive au sein de Strong2kinmoov.com ainsi que son environnement numérique.
Jolga Luvundisakio/CONGOPROFOND.NET
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Sports
Clôture de la CAN handball féminin à Kinshasa : Largement satisfait, Isidore Kwandja croit en l’organisation de la CAN football en RDC
La République Démocratique du Congo a organisé la 26 ème édition de la coupe d’Afrique des Nations de handball féminin senior à Kinshasa. Il s’agit de la première CAN toutes disciplines confondues, organisée au pays de Félix Tshisekedi.
Un acteur sociopolitique de la République Démocratique du Congo estime que l’organisation des 9 èmes jeux de la Francophonie constitue, cependant, un chemin balisé pour vivre ici, au Congo, la coupe d’Afrique des Nations de football.
« Aujourd’hui nous sommes très heureux d’avoir assisté à la cérémonie de clôture de la 26e édition de la Coupe d’Afrique des nations de handball féminin senior à Kinshasa. C’est une première CAN, toutes disciplines confondues, organisée en RDC. Avec l’organisation des Jeux de la Francophonie à Kinshasa, sous le leadership du Président Félix Tshisekedi, notre pays s’est doté des infrastructures sportives des standards internationaux. Cela a permis justement de déblayer le terrain en vue d’accueillir des compétitions sportives continentales, telles que la Coupe d’Afrique des nations de Handball féminin qui vient de s’achever sans encombre, avec une belle victoire de l’Angola face au Sénégal.
Nous espérons fermement que notre pays va accueillir la Coupe d’Afrique des nations de football, comme l’avait souhaité le Président de la République, pendant la campagne présidentielle de 2023 », a estimé Isidore Kwandja Ngembo.
Il a, en d’autre version, traduit sa gratitude aux organisateurs et tous ceux qui étaient impliqués.
« Nos très sincères félicitations au Président de Fédération nationale de handball féminin congolais, Amos Mbayo Kitenge, et au Président de la Confédération Africaine de Handball (CAHB), Dr Mansourou Arèmou, pour cette belle organisation de la 26e CAN Handball à Kinshasa.
Quant à moi, j’ai été très honoré de remettre une médaille à une athlète de la 26e CAN handball féminin de Kinshasa 2024 », a-t-il dit.
La 26ᵉ édition du Championnat d’Afrique des Nations de handball féminin s’est joué du 27 novembre au 07 décembre à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, avec la participation de 12 nations.
Le jeudi 19 septembre 2024, s’est déroulé, à Kinshasa, la cérémonie de tirage au sort des pays concernés en présence de plusieurs autorités politico-sportives de la RDC, dont le gouverneur de la ville de Kinshasa, Daniel Bumba, le Ministre des Sports et loisirs, Didier Budimbu.
S’adressant à l’assistance, le président de la Confédération africaine de handball, le béninois, Aremou Mansourou, avait remercié les autorités congolaises d’avoir sollicité l’organisation de cette compétition féminine à Kinshasa, ce, après que le désistement de Cap-Vert.
« Tout le monde sait que Kinshasa, c’est une ville hospitalière et accueillante. Aujourd’hui, elle a encore brillé par sa prise de responsabilité d’organiser cette compétition. Nous saluons et remercions le président de la République, Félix Tshisekedi, d’avoir accepté que cette compétition se déroule chez lui. Et nous sommes convaincus que la presse congolaise, qui est réputée passionnée du sport, accompagnera brillamment cette édition », avait-il dit.
Faustin Nkumbi/CONGOPROFOND.NET
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