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Rossy Mukendi: 1 an déjà, ses « assassins » toujours en liberté !

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Au cours d’une conférence de presse organisé ce samedi 23 février 2019, les mouvements citoyens de la République démocratique du Congo, en particulier celui que dirigeait Rossy Mukendi, demande au président Félix Tshisekedi de sanctionner les auteurs de des assassinats des activistes des mouvements citoyens, entre autres, Rossy Mukendi et Luc Nkulula.

« Célébrer la journée congolaise à la prise de conscience individuelle et collective pour promouvoir l’instauration d’un État de droit et la lutte contre les antivaleurs; exiger le devoir qu’a notre pays de faire des principes qui organisent un État de droit; que justice soit faite, et que les bourreaux de ces crimes soient sévèrement par la rigueur de la loi », telle est la substance de la déclaration lue par Arsène Mukendi, coordonnateur du collectif 2016.

Et d’ajouter:  » l’État congolais a en outre bbl’obligation d’instituer officiellement le 25 février comme journée nationale de la lutte citoyenne et de reconnaitre, à titre posthume, Rossy Mukendi ainsi que tous les autres, comme des martyrs de l’accord de Saint sylvestre et de la liberté »

Rappelons que l’activiste Rossy Mukendi a été assassiné le 25 février 2018, lors de la marche citoyenne organisé par le comité laïc de coordination pour exiger les élections et dire non à un troisième mandat pour l’ancien chef de l’État, Joseph Kabila.

Roberto Tshahe/CONGOPROFOND.NET


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RDC : Denise Nyakeru Tshisekedi encourage les femmes journalistes à dénoncer toute forme d’harcèlement sexuel en milieu professionnel*

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Pendant deux jours, soit du 20 au 21 mars 2023, les professionnels des médias ont fait un état des lieux sur la situation des femmes des médias en Afrique Francophone autour du thème: « Harcèlement sexuel dans la sphère médiatique ».

Cette rencontre était une occasion pour les femmes des médias, en particulier, et journalistes professionnels en général et celles des médias sociaux (Tik-tok, Facebook, Twitter, LinkedIn, YouTube et Instagram ) de partager sans tabous les expériences vécues en matière de harcèlement sexuel et proposer des pistes de solutions pour bannir ce fléau qui prend de l’ampleur et freine l’épanouissement de la femme dans la profession.

La Distinguée Première Dame de la RDC qui milite pour la promotion et la défense des droits des femmes a participé personnellement à ces travaux.

Prenant la parole à cette occasion, Denise NYAKERU TSHISEKEDI a exhorté les professionnels des médias à dénoncer tout acte de violence dont ils peuvent être victimes ou témoins.

 » Vous professionnels des médias avez appris à traiter l’information et à la diffuser de manière efficace, parlez du harcèlement sexuel que subit vos collègues ou que vous subissez pour que l’aide vous soit apportée. Ce n’est que par cette façon de procéder que les prédateurs sexuels seront mis hors d’état de nuire« .

La Présidente de la Fondation DNT a par la suite encouragé les professionnels des médias à prôner l’éthique et le respect de la déontologie dans la profession.

A l’issue de ces travaux, les participants ont formulé des recommandations ci-dessous :

-Sur le plan institutionnel que la RDC prenne certaines mesures pour protéger la jeune journaliste et celle qui mérite une montée en grade;

-Mettre en place une brigade anti harcèlement qui servira aux femmes et hommes victimes d’harcèlement dans le domaine des médias de pouvoir adresser leurs plaintes de manière anonyme afin de dénoncer leurs boureaux;

-Promouvoir les femmes à des postes de décision;

-Les femmes doivent encourager les autres femmes.

Ce document a été remis à la ministre de la Culture et art, représentant le gouvernement, pour la mise en application de ces résolutions.

 

Selon le Président de la Fondation Zacharie Bababaswe (FOZABA), initiateur de cette conférence, la mission de ces travaux est de:

.Donner aux femmes des médias des éléments de langage de lutte

contre le harcèlement;

•Faire de la dénonciation un devoir pour les femmes des médias;

•Faire des femmes des médias des porte-voix de la lutte;

•Fournir les informations sur la marche à suivre pour se protéger sans compromettre son avenir;

•Réduire le harcèlement dans la profession par la connaissance du

sujet.

 

Cette conférence est le fruit d’une collaboration entre la Fondation Zacharie Bababaswe et la Fondation Denise NYAKERU TSHISEKEDI

 

Tchèques Bukasa/CONGOPROFOND.NET


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