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RDC : Guillaume Manjolo, l’expérience au service de la diplomatie

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Beaucoup l’ont découvert à travers des débats scientifiques, littéraires et politiques de haut niveau, tant sur le plan national qu’international.
Cet homme d’Etat, MANJOLO BUAKILA Pépin-Guillaume, Avocat Privatiste, Spécialiste des Droits et Libertés, Penseur et Essayiste en Philo-politique, d’une intelligence rare et raffinée est à ce jour, le nouveau Ministre d’État en charge de la Coopération Internationale, Intégration Régionale et Francophonie, un secteur dans lequel il a évolué depuis 2008 aux côtés de l’ancien ministre des Affaires Étrangères, Raymond TSHIBANDA N’TUNGAMULONGO.

Maître Pépin-Guillaume MANJOLO y a été la plaque tournante de toutes les questions relatives à l’intégration Régionale et Coopération Internationale.

Détenteur d’un troisième cycle en droit de l’université Saint louis de Bruxelles, à la suite d’une maîtrise en droit privé de l’université de Caen, le nouveau patron de la Coopération est pourvu d’une expérience professionnelle incontestable.

Collaborateur externe du célèbre cabinet White & Case, Avocat à la Cour depuis 2006 inscrit au Barreau de Kananga, Point focal à l’Intégration Régionale de 2008 à 2017, Spécialisé dans la gestion de conflits, il a présidé la commission nationale sur la prise en charge humanitaire post exactions des Kamwina Nsapu en 2017, Formateur à l’École Nationale d’Administration -ENA- en 2019, la liste est bien longue.

Penseur et Essayiste en philosophie politique, il a au compteur plusieurs ouvrages dont notamment : « Ma Nation », « Dans le ventre du désespoir », « L’Homme et La Structure », « La révolte métaphysique d’un jeune congolais (Dialogues et ajustements raisonnables) ».

Initiateur de l’Art Majeur destiné à la révolte métaphysique de la jeunesse congolaise, il a, ensemble avec l’immense philosophe Kä Mana, crée les universités culturelles.

Ce Communicateur hors pair, modèle de la jeunesse, fin diplomate à la phrase ciselée dont l’expertise a franchi les frontières de la RDC ( cfr ses passages sur France 24, Africa 24, TV5).

Chrétien pratiquant il n’a cessé de remercier Dieu et dire sa reconnaissance à son mentor et père, Raymond TSHIBANDA N’TUNGAMULONGO, qui l’avait pris sous son aile, assorti du regard bienveillant de Son Excellence le Président Honoraire Joseph KABILA KABANGE, Autorité Morale du Front Commun pour le Congo à qui il dit toute sa gratitude. Les remerciements vont également à l’endroit du Président FELIX TSHISEKEDI qui a consenti de travailler avec lui en regard de son profil uniquement.

On souligne également l’appartenance de MANJOLO BUAKILA Pépin-Guillaume à la communauté Lualua de Kabelekese, territoire de luiza. Fils de Astrid Kuluanda, diamantaire et de Manjolo Jonas, signataire de l’acte de l’indépendance à Bruxelles, ministre de la justice dans le gouvernement de l’Unité Kasaienne, haut fonctionnaire, premier administrateur de territoire de luiza, le leadership du Kasai Central est donc pleinement assuré ainsi que la relève dans le grand Kasai.

Son Excellence Monsieur le Ministre d’Etat est aussi Secrétaire Général de l’Union des Libéraux Démocrates Chrétiens « ULDC », dont l’Autorité Morale est Raymond TSHIBANDA N’TUNGAMULONGO.

Bon vent, Monsieur le Ministre d’État.

Tchèques Bukasa/CONGOPROFOND.NET

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Affaire « Mutamba » : La justice congolaise se réveille, enfin, et gifle son propre ministre !

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C’est une gifle institutionnelle, brutale et symbolique. En informant le ministre d’État en charge de la Justice, Constant Mutamba, que « la phase de l’instruction étant clôturée, sa récusation n’a plus d’effet », le Parquet général près la Cour de cassation lui signifie clairement qu’il ne peut ni ralentir, ni saboter la machine judiciaire. Même en tant que Garde des Sceaux !

Cette affaire de détournement des fonds destinés à la construction des prisons, aux allures de bras de fer entre le pouvoir judiciaire et l’un des piliers de l’Exécutif, révèle une chose essentielle : la Justice congolaise, souvent brocardée pour sa soumission au politique, ose-du moins en apparence-affirmer une once d’indépendance. Et ce n’est pas rien.

Constant Mutamba, connu pour son activisme, sa rhétorique de « rupture », et son zèle au service du régime Tshisekedi, croyait peut-être pouvoir manœuvrer dans un dossier où son nom ou son influence pourraient peser. En vain. Le ministère public lui rappelle que le temps des diversions est passé, que la procédure avance, et que la République ne saurait être prise en otage par un ministre, fût-il celui de la Justice.

Mais attention : derrière cet acte de fermeté, la méfiance reste de mise. Le système judiciaire congolais n’est pas encore guéri de ses vieux démons : instrumentalisation, règlements de comptes, et juges à la carte. La procédure en cours devra donc prouver qu’elle est animée par l’intérêt général, et non par une guerre de clans déguisée en croisade pour la vérité.

Quoi qu’il en soit, ce désaveu public infligé à Constant Mutamba entame son autorité, fragilise son image, et interroge sur la suite de sa mission au sein du gouvernement. Peut-on incarner la Justice quand on est soi-même rattrapé par elle ?

L’affaire ne fait que commencer.

Tchèques Bukasa/CONGOPROFOND.NET 

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