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Projet « Ditanta » : La Fondation Focetsh restructure ses organes pour le lancement de son plan quinquennal

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Dans le cadre des préparatifs en vue du lancement du projet pilote Ditanta, initié par la Coordination nationale de la Fondation Les Compagnons d’Étienne Tshisekedi (Focetsh Asbl) en partenariat avec des acteurs brésiliens, le Conseil d’administration a procédé à une vaste réorganisation de ses structures. Cette restructuration concerne le Secrétariat exécutif national, les bureaux des coordinations provinciales ainsi que les représentations établies à l’étranger.

Nouvelle équipe du Secrétariat exécutif national

1. Mme Bibiche ILUNGA KULONDI MALU – Secrétaire exécutive nationale

2. M. Jean-Claude DIENDELEY NGONDO – Secrétaire exécutif national adjoint chargé des questions administratives, juridiques et financières

3. Mme Yvette YOWA – Secrétaire exécutive nationale adjointe en charge des questions économiques, sociales et de l’autonomisation des femmes

4. Mme Solange BASSANGA BOLUMBU – Cheffe du département administratif et financier (DAF)

5. Dr Stanys MUTAMBA – Chef du département d’études, planification et coordination des projets

6. M. Étienne Tshisekedi MUAMBA – Chef du département des partenariats et relations institutionnelles

7. M. Daniel ASELO – Chef du département technique

8. Mme Chantal MANDINA – Cheffe du département de protocole, logistique, solidarité et autonomisation des femmes et des jeunes filles

9. MM. Job MOLAKISI et Lefils MATADY – Chefs du département de communication, médias, visibilité et mobilisation des masses

10. Ir Jean MASEVO – Chef du département agricole et de prévention de la crise alimentaire

11. Ir Gaël MAKELELE – Chef du département d’urbanisme, habitat et affaires foncières

12. M. Dieudonné KATENDE – Chef du département de sécurité, relations civilo-militaires et initiation à la citoyenneté

13. M. Arsène MULOWAYI KANYINDA – Chef du département jeunesse, emploi, entrepreneuriat et numérique

14. M. Athan KABONGO – Chef du département coopération internationale, mines, gaz et énergie

15. Dr Déborah KALUMUNA – Cheffe du département santé et environnement communautaire

Responsables des bureaux provinciaux

Kongo-Central : Rév. Josué TUSAMBILA

Kwilu : Mme Euphrasie MIHALA

Kwango : M. Étienne LUFU

Kasaï (Tshikapa) : M. Pascal TSHIUNZA

Kasaï Central : M. Adolphe KANDU

Kasaï Oriental : Rév. Symphorien MUKOKA

Lomami : Hon. Marie-Claire NTANGA

Haut-Katanga : Mme Mireille TEKELA

Lualaba : Mme Noella NSAMWA

Maniema : Rév. Richard KITOKO

Tshopo : Prof. MENIKO

Ituri : Mme Hellène UZUNGA

Nord-Kivu : M. Roger KATEMBO

Sud-Kivu : Me Fernando KABALA

Kinshasa : Mme Lydie NDONA (assistante du coordonnateur chargée de l’administration de la ville)

Bureaux de représentation à l’étranger

France : Me Floribert BUKASSA (coordonnateur), M. Étienne MBALA (adjoint), Mme KANSHA Thérèse (secrétaire administrative et financière)

Belgique : M. Jean Jacques OMBA (coordonnateur), M. KINKELA (adjoint), Mme Maria BENDESHA (secrétaire administrative)

Canada : Mme Jennyfer KALOMBO (coordonnatrice), Ir Alfred TSHIBANGU (adjoint)

Angola : Rév. Domingo MBANGALA (point focal)

Congo-Brazzaville : Mme Myriam NYOTA (point focal)

Zambie : M. Michael LUNDULA (point focal)

Afrique du Sud : M. Crispin TSHIJI (point focal)

Brésil : M. Fernando KAMBULU (point focal)

États-Unis : M. Thierry LUKUMUENA (point focal)

Services à mettre en place dans le cadre du projet Ditanta

1. Construction de cages flottantes pour la pisciculture sur dix grandes rivières de dix provinces

2. Construction de dix cités socio-modernes de 200 maisons chacune

3. Renforcement des capacités des forces de l’ordre (police des frontières, sécurité privée)

4. Réhabilitation d’aéroports, ouverture de lignes aériennes et ferroviaires

5. Développement des secteurs pétrolier et minier

6. Création de l’Institut National de Protection Civile (INPC) à Kimpese, avec déploiement progressif dans les 145 territoires et 35 villes

7. Plaidoyer pour la division de Kinshasa en quatre villes et quarante communes

8. Mise en œuvre du projet écologique Bopeto bua Mboka (BBM) de collecte et recyclage de déchets

9. Réhabilitation du CEREDIP, avec équipement d’imprimerie moderne

10. Création d’une banque congolaise de réserve et d’une institution de financement éducatif et agricole

11. Création de l’Agence Brésilo-Congolaise de Développement (ABCD)

12. Organisation de conférences socioéconomiques provinciales sur les acquis de l’indépendance

13. Plaidoyer pour la création : de l’Office National de Mécanisation Agricole (ONAMA) de consulats à Rio de Janeiro, São Paulo, Thaïlande, El Salvador, Autriche, etc.

14. Mise en place de mini-parcs agro-pastoraux dans dix territoires, puis extension nationale

15. Lancement d’une société de télécommunications avec système de crypto-monnaie

16. Installation de lampadaires, lanternes, caméras de surveillance dans les grandes artères, écoles et marchés

À noter : Le projet Ditanta, conçu en novembre dernier, constitue l’initiative phare de la Focetsh pour la période 2025–2029. L’acte de nomination a été signé par le révérend coordonnateur général Jean-Jacques KANYIKI, avec la bénédiction du président du Conseil des Sages, Étienne Tshisekedi wa Tshisekedi.

Contacts de la Fondation

sec.focetsh@gmail.com

crkanyi105@gmail.com

+243 852 224 488

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Enfants soldats à l’Est de la RDC : le CEPEF alerte sur des violations graves et plaide pour une action urgente

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La Convention internationale des droits de l’enfant ainsi que la Loi portant protection de l’enfant interdisent formellement le recrutement d’enfants par les groupes et forces armés. Pourtant, dans l’Est de la République démocratique du Congo, des enfants sont encore enrôlés, de gré ou de force, par des groupes armés, souvent en raison du manque de combattants adultes.

Le 4 octobre 2012, le gouvernement congolais a adopté un Plan d’action visant à lutter contre le recrutement et l’utilisation d’enfants ainsi que contre d’autres violations graves de leurs droits. Ce plan figure dans les engagements de l’Accord-cadre d’Addis-Abeba.

Le Cercle d’études pour la protection de l’enfant et de la famille (CEPEF), une structure initiée par des chercheurs universitaires et des experts en travail social œuvrant pour la promotion des droits de l’enfant, la protection des familles et la réinsertion socio-économique des enfants et jeunes en situation de rue, dénonce aujourd’hui les violations graves dont sont victimes les enfants dans le conflit armé opposant le M23, soutenu par le Rwanda, aux forces gouvernementales.

Fort de l’arsenal juridique existant, le CEPEF plaide auprès des autorités compétentes pour l’actualisation du Plan d’action pour le retrait des enfants associés aux forces et groupes armés, ainsi que pour la mise en place de mécanismes rigoureux d’évaluation de leur âge.

Dans cette perspective, les assistants sociaux, les experts de terrain, les responsables militaires et civils des services concernés doivent se réunir — avec l’appui technique du CEPEF — afin de réfléchir à un programme de Démilitarisation, Démobilisation et Réinsertion (DDR) des enfants soldats.

La paix, dit-on, se prépare. Mais quelles seront les conséquences psychosociales pour ces enfants dont les droits ont été bafoués ? Alors que l’on évoque la fin de la guerre, il est plus que jamais urgent d’agir pour eux.

Osée MUKOKO ZANGA

 

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