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Société

Maï-Ndombe : Mgr Donatien Bafuidinsoni pose la première pierre pour la construction d’un hôpital moderne à Inongo

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Monseigneur Donatien Bafuidinsoni, évêque du diocèse d’Inongo, a procédé, ce vendredi 14 octobre 2022, au lancement officiel des travaux de construction d’un hôpital à Inongo, chef-lieu de la province du Maï-Ndombe. Cette formation médicale baptisée « Notre-Dame du Bon secours ». Le coup d’envoi de démarrage de ces travaux été donné en présence des autorités politico administratives, des professionnels de la Bible du diocèse d’inongo, des religieuses, des responsables de la santé et de la population.

Cet établissement sanitaires sera érigé dans la commune de Mpolo Maurice sur un site d’une superficie totale de 3 hectares à l’espace appelé bloc Rebot.

Quatre temps forts ont dominé cette cérémonie à savoir : la bénédiction de l’espace par l’évêque, le mot du coordonnateur de la Caritas développement Inongo, le mot de l’évêque et l’intervention de l’ingénieur de l’entreprise qui va exécuter ces travaux.

Dans son mot, l’abbé Emmanuel Ndoyite, coordonnateur de la Caritas développement Inongo, a fait savoir que ces travaux seront exécutés par une entreprise spécialisée dénommée « Bureau d’études et d’expertises immobiliers ».

De son côté, Mgr Donatien Bafuidinsoni a déclaré : « Nous savons très bien l’importance d’un hôpital dans la vie d’une communauté.comme vous le savez plusieurs personnes vont se retrouver dans cet hôpital pour se faire soigné.cet établissement médical c’est ne pas l’œuvre de celui-ci ou de Celui-là.mais plutôt il sera construit d’abord pour la gloire Dieu ». 

Et d’ajouter :  » Cet ouvrage sera érigé pour l’intérêt de tout le monde. J’invite tout le monde à collaborer à cette œuvre de construction ».

Pour sa part l’ingénieur Hugor Ilanga a precisé que les travaux prendront une durée de 12 mois.

A l’en croire, les bâtiments de l’hôpital Notre-Dame du Bon secours seront constitués d’une morgue et tous ces bâtiments comporteront plusieurs services des soignants et 120 lits.

Rappelons qu’à la recherche du bien-être de la population, le diocèse d’Inongo, l’un des partenaires de l’État congolais, que dirige monseigneur Donatien Bafuidinsoni ne cesse d’orienter les réalisations en direction de la communauté. Et, ces travaux rentrent dans le cadre du projet social à impact visible financé par le gouvernement congolais.

Armand Minimio depuis Inongo/CONGOPROFOND.NET


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Politique

Ituri : 4 groupes armés locaux signent, à Aru, un protocole d’accord pour la paix et la sécurité 

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FRPI, FPIC, URDPC/CODECO et MAPI, quatre des groupes armés locaux opérant en Ituri ont signé, le jeudi 1er juin 2023, un protocole d’accord au chef-lieu du territoire d’Aru dans la province de l’Ituri. C’était en présence du commandant 32ème région militaire qui présidait les assises, la MONUSCO, les administrateurs des territoires et d’autres parties prenantes.

 

À travers cet accord, ces miliciens manifestent leur ferme détermination à cesser toutes les violences contre les civils; Laisser la libre circulation des personnes et de leurs biens; Faciliter le retour des déplacés ; Ne plus circuler avec des armes ou indices militaires; Matérialiser leur adhésion au P-DDRCS et autres.

 

Ces miliciens se sont aussi dits disponibles pour participer à la défense de la patrie conformément aux textes légaux en la matière.

 

Cependant, ces engagements doivent être mariés aux actes pour effectivement offrir une nouvelle ère à la province de l’Ituri. Estimant que la solution ne viendra que des Ituriens, le Général Major Peter Chirimwami y croit. Lui qui a eu le privilège de représenter l’autorité provinciale, le lieutenant-Général Luboya N’kashama Johnny.

 

Notons que la signature de ce protocole d’accord trouve un écho favorable chez Christophe Munyanderu. Cet activiste de la CRDH IRUMU attend, cependant, voir ces engagements être respectés sur terrain.

 

Satisfaction aussi du côté du territoire de Djugu où opère notamment la CODECO.

 

Le député provincial Mugisa Byarufu, élu du coin, insiste «qu’aussi longtemps ces miliciens sont cajolés par le gouvernement, la population ne sera pas à l’abri». Pour lui, les miliciens doivent être forcés à déposer les armes.

 

Débutés le 26 mai, ces assises se sont clôturées le 1er juin 2023.

 

Verite Johnson/ CONGOPROFOND.NET


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