L’Agence de Régulation et de Promotion des Télécommunications et des Communications (ARPTC) est au bord de la crise, alors que les agents s’élèvent pour dénoncer la gestion calamiteuse de son président, Christian Katende. Face à des pratiques jugées autocratiques et inefficaces, les employés lancent un appel urgent à un changement à la tête de l’institution.

Un Climat de Mécontentement

Depuis plusieurs mois, le mécontentement grandit au sein de l’ARPTC. Les agents soulignent des irrégularités flagrantes dans la gestion de Katende, qui entravent le bon fonctionnement de l’agence et nuisent à son image. Au cœur des préoccupations se trouve l’entrave systématique à l’intérim de Mme Lydie Omanga, vice-présidente, qui devrait assumer le rôle de présidente en l’absence de Katende, conformément à la loi.

Entrave à l’Intérim et Gestion des Dossiers

Les agents rapportent que Katende bloque l’accès de Mme Omanga à ses prérogatives, la réduisant à un rôle de réceptionniste. Chaque tentative de cette dernière pour gérer des dossiers importants, comme la célébration de la Journée internationale de la femme, est entravée par le président, qui impose des obstacles injustifiés.

Accusations de Clientélisme et de Terreur

Un climat de terreur et de favoritisme règne au sein de l’institution. Les agents dénoncent des pratiques de clientélisme, avec des représailles envers ceux qui osent critiquer la direction. Les mouvements douteux de son beau-frère, en complicité avec l’actuel DRH, soulèvent de sérieuses inquiétudes sur l’intégrité et la transparence des décisions prises.

La Presse et la Réaction des Agents

Des journaux tels que **L’ODP**, **Nouveau Congo**, et **L’Intelligent** ont déjà dénoncé la mauvaise gestion de Katende, soulignant l’urgence d’une réforme. Les lettres de Mme Lydie Omanga et le mémo des Directeurs, qui a conduit au remplacement de l’ancien DRH, témoignent des problèmes de gouvernance au sein de l’ARPTC.

Un Appel à l’Action

Les agents de l’ARPTC demandent au Président de la République de ne pas renouveler le mandat de Katende, convaincus que seule une nouvelle direction, avec Mme Lydie Omanga à sa tête, peut rétablir la confiance et redresser la situation. Ils exigent des mesures immédiates pour mettre fin à la gestion autocratique et restaurer un environnement de travail sain.

Les agents de l’ARPTC accusent Katende de plusieurs irrégularités dans sa gestion, notamment d’entraver l’intérim de Mme Lydie Omanga en l’empêchant d’accéder à ses fonctions, la réduisant à un simple rôle de réceptionniste. De plus, il est critiqué pour son incapacité à gérer des dossiers cruciaux, comme ceux relatifs à la Journée internationale de la femme. Un climat de terreur et de favoritisme règne, exacerbé par les mouvements suspects de son beau-frère en collaboration avec le DRH, ce qui soulève des questions sur l’intégrité des décisions.

Les agents dénoncent également Simon Avoki, président de la délégation syndicale, accusé d’usurpation de pouvoir et de complicité avec Katende, et rapportent que ce dernier refuse de payer les congés et de permettre aux agents proches de la retraite de partir, augmentant ainsi le mécontentement général.
Le temps est venu pour un changement significatif à l’ARPTC. Les agents appellent à une enquête sur les pratiques de gestion et à la nomination d’une direction plus compétente et à l’écoute. L’heure est à l’action, et la voix de Mme Lydie Omanga pourrait être la clé pour un avenir meilleur au sein de l’agence.

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