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Le Groupe ACP transformé et engagé en faveur du multilatéralisme

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La ministre d’État, ministre des Affaires Étrangères de la RDC, Marie Tumba Nzeza, est arrivée ce samedi 07 décembre 2019, à Nairobi au Kenya, où elle participe à la réunion conjointe des ministres et ministres des Affaires étrangères des pays ACP (Afrique Caraïbe Pacifique), qui se tient ce dimanche 8 décembre 2019.
Le Groupe des Etats d’Afrique, des Caraïbes et du
Pacifique (ACP) est une organisation instituée
par l’Accord de Georgetown le 6 juin 1975. Sont membres du Groupe ACP, les Etats d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique parties signataires de cet
Accord ou de l’Accord de Partenariat entre les ACP et
l’Union européenne officiellement dénommé «Accord de Partenariat ACP-CE» ou encore «Accord de Cotonou». Il accorde des préférences commerciales non-réciproques aux pays ACP.

Au départ, le Groupe a été créé en vue de coordonner la coopération de ses membres avec l’Union européenne. Son objectif essentiel était de négocier et de mettre en œuvre des accords de coopération avec l’Union européenne.

Au départ, le Groupe a été créé en vue de coordonner
la coopération de ses membres avec l’Union européenne. Son objectif essentiel était de négocier et de mettre en
œuvre des accords de coopération avec la
Communauté européenne.
Avec le temps, le Groupe a élargi ses champs d’activités. La coopération entre ses membres va désormais au-delà de la coopération au développement avec l’Union européenne et couvre des domaines variés
tant sur le plan commercial, économique, politique et
culturel, et ce dans des instances internationales
diverses telles que l’Organisation Mondiale du
Commerce (OMC).

Les objectifs principaux du Groupe ACP sont :
– le développement durable et leur intégration
progressive dans l’économie mondiale, ce qui implique
en priorité la lutte contre la pauvreté et pour l’établissement d’un nouvel ordre mondial plus
juste et plus équitable ;
– la coordination des activités du Groupe ACP dans le
cadre de la mise en
œuvre des Accords de partenariat
ACP-CE ;
– la consolidation de l’unité et de la solidarité entre les
Etats ACP, ainsi que la compréhension entre les
peuples.

Le Groupe ACP compte 79 Etats membres dont : 48 pays
d’Afrique sub-saharienne, 16 de Caraïbes et 15 du Pacifique.

Les pays de l’UE et de l’ACP représentent plus de la moitié de l’ensemble des pays membres de l’ONU et comptent plus de 1,5 milliard de personnes.

L’accord de partenariat de Cotonou conclu entre le Groupe ACP et l’union européenne arrive à terme le 29 février 2020. L’UE et les 79 pays du Groupe des États d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (ACP) ont entamé des négociations sur un nouvel accord de partenariat, le 28 septembre 2018 à New-York. L’ambition est de transformer le partenariat actuel en un cadre politique moderne visant à la réalisation des objectifs de développement durable.

L’enjeu de ce Sommet des Chefs d’État et de gouvernement c’est de faire adopter l’accord de Georgetown (qui est la charte du Groupe ACP) révisé, pour l’adapter aux transformations et l’évolution de la société internationale.

Tchèques Bukasa/CONGOPROFOND.NET


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Patrick Muyaya : Le gardien de la vérité au cœur des tempêtes médiatiques

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Dans le paysage tumultueux de la communication contemporaine, où les vérités sont souvent étouffées sous le poids de mensonges orchestrés par des régimes autoritaires, émerge une figure lumineuse : Patrick Muyaya Katembwe, Ministre de la Communication et des Médias de la République Démocratique du Congo.

À travers son rôle dynamique et engagé, Patrick Muyaya Katembwe ne se contente pas de représenter les voix du peuple congolais ; il se fait le défenseur acharné de la vérité, ébranlant ainsi les fondations des narratifs déformés imposés par l’armada médiatique rwandaise. Il apporte un nouveau souffle dans le débat public et défend avec maestria la position du gouvernement congolais face au Rwanda.

Sous les ors de son ministère, Patrick Muyaya a institutionnalisé le briefing-presse, une initiative audacieuse qui ne se limite pas seulement à informer, mais à contrecarrer les mensonges exploitant l’actualité pour servir des intérêts politiques. À une époque où la désinformation se propage avec une rapidité alarmante, le briefing-presse est devenu une arme stratégique servant la cause nationale.

C’est un bouclier protégeant la RDC contre les détournements de faits historiques et culturels par des narrateurs malveillants. Cette démarche pionnière de Patrick Muyaya ne se résume pas à une simple réaction ; elle témoigne d’une vision claire et d’une volonté de restaurer la dignité perdue d’un pays trop souvent réduit à des stéréotypes péjoratifs. Par ses interventions, il ne fait pas que répondre.

Le Ministre Patrick Muyaya éduque, éclaire et remet en question des récits établis qui, depuis des décennies, alimentent les tensions et les incompréhensions dans la région des Grands Lacs. Il a apporté sur le plan médiatique une approche scientifique ancrée dans l’historicité. Chaque prise de parole de Patrick Muyaya Katembwe est plus qu’une déclaration ; c’est une mise en lumière d’une réalité souvent occultée.

En convoquant des faits historiques et culturels indéniables, il oppose une réponse réfléchie aux mensonges industriels du régime de Paul Kagame. Par exemple, en rappelant les souffrances historiques infligées par les invasions chroniques rwandaises et en démontrant les conséquences dévastatrices de ces conflits sur la population congolaise, il créé un discours fondé sur l’authenticité et la véracité des événements.

Les œuvres de chercheurs, d’historiens et d’experts, souvent oubliées dans la cacophonie médiatique, trouvent leur écho dans ses propos. Comme un puits de sagesse, il puise dans le savoir collectif de son peuple pour dresser le tableau d’une RDC résiliente face aux adversités. Sa capacité à articuler ces vérités avec passion, clarté, lyrisme et précision fait vibrer les cœurs et mobilise les esprits vers une prise de conscience collective.

Dans un monde où la manipulation des faits devient monnaie courante, le combat de Patrick Muyaya est révélateur des enjeux cruciaux auxquels nous faisons face. Sur le champ de bataille de l’information, il s’érige en guerrier, armé non pas de fusils mais de vérités incontestables. Chaque briefing est une invitation à la réflexion, chaque question posée par les journalistes est une occasion de déconstruire les mythes.

Loin d’un simple jeu de mots ou d’une fugace visibilité médiatique, Patrick Muyaya s’engage dans un processus de déconstruction des mensonges. Il s’efforce de craquer le vernis de la manipulation qui, jusqu’alors, semblait indéfectible. Il devient le protagoniste d’une épopée moderne, celle de la victoire de la vérité face au mensonge, un défi lancé aux mécanismes jadis bien huilés de désinformation.

En brisant les chaînes de la manipulation médiatique et en insufflant un vent de changement qui, sans conteste, farouchement nécessaire crée un axe culturel et scientifique puissant ; Patrick Muyaya a ancré son discours dans des éléments culturels, scientifiques et historiques. Il ne fait pas qu’armer ses compatriotes ; il offre à la RDC un espace pour retrouver son identité par la valorisation de ses richesses.

Il braque la lumière sur les contributions congolaises à l’humanité. Il rappelle à tous que la RDC n’est pas qu’un territoire à consommer ou à envahir, mais un pays riche d’héritage et de savoirs. Il est impératif de reconnaître le rôle de la culture dans cette dynamique. De la musique à l’art, de la littérature aux sculptures en passant par les peintures et l’histoire, chaque aspect de la vie congolaise devient une trouvaille sur le chemin de la vérité.

Patrick Muyaya, en véhiculant ces messages, transforme les petits cailloux semés dans chaque briefing-presse en un chemin pavé vers la réconciliation et la paix. Au cœur de son action, Patrick Muyaya incarne une lueur d’espoir dans un monde où l’obscurité des mensonges règne souvent en maître. Chaque intervention, empreinte de détermination et d’intégrité, est une promesse d’un avenir où la vérité prévaudra.

Son engagement constant envers la justice et la transparence ouvre un débat nécessaire sur la manière dont la communication peut et doit être un vecteur de changement. À travers son audace, il inspire une nouvelle génération d’activistes, de journalistes et de citoyens à revendiquer leur droit à l’information. Il a remis en question l’orthodoxie des discours dominants qui ont longtemps été perçus comme imbattables.

Il s’est engagé pleinement pour une RDC où la voix de la vérité résonne plus fort que jamais. Avec Patrick Muyaya Katembwe à la barre, le voyage vers la rédemption médiatique de la RDC ne fait que commencer. L’espoir, lui, demeure inébranlable. Dans le tumulte des voix trompeuses, celui qui défend la vérité devient l’écho du peuple, ouvrant la voie à l’harmonie et à la justice. La lumière de la vérité dissipant les ombres des mensonges.

TEDDY MFITU
Polymathe, chercheur et écrivain / Consultant senior cabinet CICPAR


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