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La Haut-commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme attendue ce jeudi en RDC

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La Haut-commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, Michelle Bachelet, est attendue en République démocratique du Congo (RDC) ce jeudi 23 janvier 2020.

Elle sera en terre congolaise pour une visite officielle de cinq jours à l’invitation du gouvernement, annonce un document de cette organisation parvenu lundi à l’ACP.

La tournée congolaise de la Haut-commissaire va débuter par Bunia, dans la province de l’Ituri, au Nord-est de la RDC, le 23 janvier.
Elle ira visiter un camp des déplacés suite aux violences interethniques entre Lendu et Hema.
Sur place, elle va également échanger avec les représentants de ces deux groupes ethniques puis elle va visiter les victimes des tortures et des violences sexuelles, ainsi que des responsables locaux.

Michelle Bachelet est attendue à Kinshasa le 24 janvier où elle aura trois jours de travail avec les autorités congolaises dont les ministres des Affaires étrangères, de la Défense et de la Justice, ainsi que les ministres des Droits humains, du Genre, famille et enfant, et d’autres hauts responsables et autorités gouvernementales.

Elle s’entretiendra également avec la Commission nationale des droits de l’homme (CNDH) et avec les organisations de la société civile, ainsi qu’avec les chefs des agences des Nations Unies en RDC, la représentante spéciale du Secrétaire général en RDC, Leila Zerrougui, et d’autres hauts responsables de la Mission des Nations Unies pour la stabilisation en RDC (MONUSCO). Sa visite sera sanctionnée par une déclaration.

Il est aussi prévue, dans son agenda, une audience avec le président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.

Bishop Mfundu/CONGOPROFOND.NET

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Lubumbashi : Le Service National accusé à tort sur une concession de 23 hectares à Kabulameshi

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À Lubumbashi, dans la province du Haut-Katanga, le Service National, organe rattaché à la Présidence de la République, déploie ses activités dans une concession de 23 hectares située sur l’avenue Général Muyumba, dans le quartier Kabulameshi. Sur ce site, une maçonnerie et un atelier de fabrication de bancs sont en construction, destinés à approvisionner les établissements scolaires et universitaires de la région.

Mais ces derniers jours, des voix se sont élevées pour accuser injustement le Service national d’occupation illégale ou d’activités douteuses. Des rumeurs diffusées sur les réseaux sociaux affirment même que le Service aurait été « espionné », ou qu’il se serait approprié la concession. Des allégations fermement démenties par le conseiller juridique du propriétaire du terrain, M. Noka Watkin.

 « Cette concession appartient à M. Noka Watkin. Elle fait 23 hectares, et cela fait plus de quarante ans que nous y sommes. Ce que vous voyez aujourd’hui est le fruit d’un long travail. Rien n’existait au départ. Le Service national est ici en tant que locataire, et ses ouvriers utilisent des outils qui lui appartiennent », a-t-il expliqué.

Il insiste : « Le Service national n’a jamais été espionné. Il n’est pas en conflit de propriété. Il mène des actions utiles à la communauté tout en respectant son statut de locataire. »

Présent dans la province depuis plusieurs mois, le Service national cherche à reproduire l’expérience de Kaniama Kasese et à se rapprocher des bénéficiaires locaux. Dans cette optique, l’installation d’un atelier de production de mobilier scolaire répond à un besoin concret dans le secteur éducatif.

Face aux attaques diffamatoires, le Service national appelle à la retenue et encourage les parties en désaccord à saisir la justice pour un règlement apaisé et légal du différend. Il réaffirme sa volonté d’agir dans la transparence et le respect des droits de chacun.

Tchèques Bukasa/CONGOPROFOND.NET 

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