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Jacques Djoli Eseng’Ekeli : Le meilleur score à l’élection du Bureau définitif de l’Assemblée nationale

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Il n’est plus à présenter. Avec maestria, il vient de présider la commission spéciale en laquelle a été dévolue la mission d’élaborer le règlement intérieur de la chambre basse du Parlement congolais. Faisant partie du ticket gagnant de l’Union Sacrée de la Nation comme candidat unique au poste de Rapporteur, il va épauler le Speaker de l’Assemblée Nationale, Vital Kamerhe, dans sa lourde tâche. Constitutionnaliste, il est un Professeur d’université de renom. Il est, depuis plus d’une décennie, le chouchou des électeurs du territoire de Boende dans la province de la Tshuapa. Ses interventions au sein de l’hémicycle ont toujours été pertinentes et édifiantes de même que dans la Commission « Défense et Sécurité » de la législature passée. Au cours de cette nuit du 22 au 23 mai 2024, il vient de réaliser le meilleur score à l’élection du Bureau définitif : élu avec 385 voix comme Rapporteur de l’Assemblée Nationale sur 405 votants.

C’est surtout le processus électoral de 2011 au cours duquel il était Vice-président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) qui l’a rendu célèbre d’autant plus que le pays tout entier était suspendu à sa simple signature. Qui ne se souvient pas de cet épisode de la proclamation des résultats provisoires de la présidentielle qui a tenu en haleine le peuple congolais ? Lui c’est Jacques Djoli Eseng’Ekeli, le leader charismatique et fondateur du jeune parti politique « Les Bâtisseurs du Congo ».

Parcours élogieux

Congolais de père et de mère, Jacques Djoli Eseng’Ekeli a vu le jour à Boende dans le Grand Equateur un certain 26 octobre 1958. Il est issu d’une grande famille de l’ethnie Mongo. Quel est son cursus académique ?

Cette sommité scientifique est une grande référence dans la Faculté de Droit de l’Université de Kinshasa. En 1984, il y a décroché son diplôme de licence avec la mention distinction en option Droit public. Aussi, a-t-il été retenu Assistant dans cette Alma Mater. Pendant dix ans, de 1986 à 1996, il va accomplir cette tâche avec brio.

Quelque temps après, Jacques Djoli atterrit dans l’Hexagone. En 1998, il obtint son diplôme détudes supérieures approfondies en Droit, dans la filière Droit, sociétés et institutions de l’Afrique francophone et pays méditerranéen. C’était à l’Université de Perpignan.

Dans le cadre de sa formation, il ne s’est pas limité à ce stade. Un an après, il décroche un diplôme d’études supérieures spécialisées en questions stratégiques et politiques de défense à l’Université de Paris XIII Villetaneuse. Cette tête bien faite va encore plus loin.

En 2003, Jacques Djoli Eseng’Ekeli devint Docteur en Droit avec la mention plus grande distinction pas n’importe où ; cest à l’Université de Paris 1 Panthéon Sorbonne.

Quant à ses activités pédagogiques, l’ascension est encore plus fulgurante et exceptionnelle : 2005, Professeur associé à l’Université de Kinshasa ; 2010 à 2015, Professeur full ; 2015 à nos jours, Professeur Ordinaire ; Professeur visiteur à l’Université Protestante au Congo (UPC), à l’Université de Mbandaka, à l’Université de Bujumbura (Burundi), à l’Académie de la théorie africaine de droit de K.U.L. de Bruxelles (Royaume de Belgique) ; Professeur du Cours d’analyse stratégique et planification à l’Académie diplomatique du ministère des Affaires Etrangères ; Directeur à la Chaire Unesco Chef de département : prévention des conflits et bonne gouvernance.

Au plan professionnel, le Professeur Jacques Djoli fut Conseiller au sein de plusieurs cabinets ministériels sous la Deuxième République, le Zaïre de Mobutu. Il avait été, tour à tour, à la Défense nationale, Affaires foncières, Vice-primature et Primature sous le Gouvernement Likulia Bolongo (Général) en 1997. Entre 2004 et 2007, il exerça les fonctions de Directeur de Cabinet adjoint, puis Directeur de Cabinet du ministre des Affaires étrangères et Coopération internationale. A l’époque, cétait Ramazani Baya d’heureuse mémoire.
En 2007, le Professeur Djoli est élu Sénateur de la Tshuapa. En 2011, Ngoy Mulunda et Jacques Djoli, respectivement Président et Vice-président de la CENI, avaient réussi à organiser les élections en seulement huit mois. Inscrit au tableau de Barreau Matete, il est avocat près la Cour d’Appel.

Passionné de la recherche

Tout scientifique digne de ce nom est le produit de la recherche. Dans ce cadre, ce digne fils du pays a embrassé plusieurs domaines. Notamment le Droit public (Ingénierie Constitutionnelle et Architecture Politico-Administrative) ; Architectures de prévention et politiques de défense et questions internationales ; Membre de la Commission Nationale de réforme de droit congolais ; Membre du Groupe de recherche et dappui aux politiques de paix (Grappax) à l’Université Saint-Louis de Bruxelles.

Par ailleurs, le Professeur Jacques Djoli est l’initiateur de plusieurs propositions de lois au Parlement. Les ouvrages, il en a écrit plusieurs : Le constitutionnalisme congolais, entre la gestion des héritages et l’intervention du futur ; Droit constitutionnel Tome I : principes structuraux ; Droit constitutionnel Tome II : l’expérience congolaise ; Droit constitutionnel Tome III : Régimes Politiques Comparés ; Droit constitutionnel Tome IV : Libertés Publiques, approche tératologique. Dautres livres sont en chantier, notamment Droit électoral congolais.
Jacques Djoli a fait partie du jury qui a récemment décerné au Président de la Président de la République, Félix Tshisekedi, le titre de Docteur honoris causa à l’Université de Kinshasa. Cest un acteur politique majeur sur qui le Congo démocratique peut compter. Sans nul doute, cet éminent Professeur dont le respect des textes juridiques a toujours été le cheval de bataille mettra, comme de coutume, son savoir au service de cette institution parlementaire pour le plus grand bien du peuple congolais.

Bravo Honorable Rapporteur !

James Mpunga Yende 

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SCONNECT PLUS : La pépite congolaise qui propulse la transformation numérique en RDC

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En à peine 3 ans, SCONNECT PLUS s’est imposée comme une référence nationale dans le domaine des technologies de l’information et des télécommunications. Fondée le 24 août 2022, cette entreprise jeune et ambitieuse, enregistrée sous le numéro CD/KNG/RCCM/22-B-02548 (IDNat : 01-F4300-N15150Q), symbolise le dynamisme de la nouvelle génération d’entrepreneurs congolais décidés à hisser la RDC au rang des économies numériques émergentes.

Derrière cette réussite, un tandem visionnaire : Moïse DIAFOUKA, fondateur passionné d’innovation, et Hugo BELANDO, Directeur Général, qui pilote avec rigueur le développement opérationnel de l’entreprise depuis le siège de Kinshasa-Gombe. Ensemble, ils ont bâti une structure solide, agile et à la pointe des technologies.

Un écosystème technologique au service des entreprises congolaises

Dans un pays où les infrastructures numériques demeurent encore en expansion, SCONNECT PLUS se démarque par son offre intégrée qui couvre l’ensemble de la chaîne de valeur technologique : « Nous ne vendons pas seulement des solutions, nous créons des connexions qui changent la manière dont les entreprises fonctionnent et se développent », explique Hugo Belando.

De la fourniture d’accès Internet sécurisé à la conception de réseaux privés performants, en passant par les systèmes de téléphonie d’entreprise, la radiofréquence et la vidéosurveillance, SCONNECT PLUS propose des solutions adaptées aux besoins de ses clients, qu’ils soient dans le secteur privé, public ou éducatif.

Cette approche holistique positionne l’entreprise comme un véritable partenaire de transformation digitale, capable d’accompagner la montée en puissance technologique des institutions congolaises.

Technologie et éducation : un engagement sociétal fort

Mais au-delà du business, SCONNECT PLUS inscrit son action dans une démarche à fort impact social, avec un accent particulier sur l’éducation et la formation des jeunes.

À travers son programme Sconnect Tech4School, l’entreprise introduit la robotique et la réalité virtuelle (VR/AR) dans les écoles congolaises. L’objectif ? Moderniser l’enseignement et stimuler la curiosité scientifique dès le plus jeune âge.

Dans la même logique, Sconnect Academy offre des formations professionnelles certifiées pour préparer les talents aux métiers du numérique, tandis que le programme Jeune & Entrepreneur accompagne les jeunes porteurs de projets à concrétiser leurs idées via des ateliers, podcasts et événements de networking.

Enfin, le Grand Salon Entrepreneurial (GSE), créé par la société, est devenu une véritable plateforme d’échanges et d’opportunités entre start-up, investisseurs et acteurs économiques du continent.

« Le numérique n’a de sens que s’il sert le développement humain. Chez SCONNECT PLUS, nous croyons que la technologie doit d’abord être un levier d’inclusion et d’émancipation », souligne Moïse Diafouka, fondateur de l’entreprise.

Une ambition continentale

En phase avec la vision du gouvernement congolais en matière de transition numérique, SCONNECT PLUS se veut un acteur clé de la souveraineté technologique africaine. L’entreprise ambitionne d’étendre ses activités dans plusieurs pays d’Afrique centrale et australe, tout en renforçant ses partenariats stratégiques avec des institutions locales et internationales.

Son slogan, « As we Share, we Grow », illustre parfaitement cette philosophie de croissance partagée et de développement collaboratif.

Contacts

🌐 Site web : www.sconnectplus.cd
📞 Siège social (Kinshasa) : +243 983 351 771
🌍 Programme Jeune & Entrepreneur (International) : +33 7 58 16 65 96

Tchèques Bukasa/CONGOPROFOND.NET 

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