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Technology

Intelligence artificielle contre infox : L’épée à double tranchant de la vérité

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L’intelligence artificielle, telle une épée de Damoclès, se dresse face à l’épidémie grandissante des infox, promettant à la fois une solution salvatrice et un défi existentiel. Dans cette lutte épique entre la vérité et la tromperie, l’intelligence artificielle émerge en tant qu’acteur clé, mais ses implications sont loin d’être univoques.

Arme redoutable contre la désinformation, l’intelligence artificielle déploie ses algorithmes sophistiqués pour traquer les mensonges et rétablir la vérité. Sa capacité à analyser d’énormes volumes de données en un instant lui confère un avantage incontestable dans la bataille pour la crédibilité de l’information. Cependant, son omnipotence soulève également des questions éthiques et existentielles qui remettent en cause notre rapport à la vérité et à la réalité.

En se positionnant en tant que gardienne de la vérité, l’intelligence artificielle soulève le spectre de la censure et de la manipulation, suscitant des inquiétudes quant à la liberté d’expression et à la diversité des opinions. Son impartialité supposée cache parfois des biais insidieux, révélant les limites de sa compréhension de la nuance et de la subjectivité humaine.

Face à cette dualité, la question demeure : l’intelligence artificielle est-elle le remède tant attendu contre les infox, ou bien une nouvelle boîte de Pandore prête à libérer de nouveaux maux sur notre société déjà fragilisée par la défiance envers la vérité ?

Dans ce tumulte d’interrogations, une certitude émerge : l’intelligence artificielle n’est pas une panacée. C’est un outil puissant dont la maîtrise exige une vigilance constante et une réflexion profonde sur notre rapport à la vérité et à la réalité.

TEDDY MFITU
Polymathe, chercheur et écrivain / Consultant senior cabinet CICPAR

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Présidence RDC : Aimé Tshiama entend donner un souffle nouveau au Collège Infrastructures, habitat et Affaires foncières

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Nouvellement nommé, par Ordonnance présidentielle, au Conseil du Chef de l’Etat sur les questions d’infrastructures, habitat et Affaires foncières en RD Congo, l’ingénieur Aimé Tshiama a fait savoir, au micro de CONGOPROFOND.NET, toute sa reconnaissance au président de la République et au Conseiller principal David Mukeba, sans oublier de mentionner qu’il s’agit d’une forte responsabilité au regard des attentes de la République.

Ainsi, le Directeur technique de la société Pan China, agence chinoise d’exécution des grands travaux, aura la responsabilité d’apporter son expertise au côté du Chef de l’Etat.

Ingenieur de construction, ayant été au fil des années à la direction technique de plusieurs projets de construction à travers la RDC ainsi que dans différentes villes en Afrique, ce nouvel élément au Collège « Infrastructures habitat et Affaires foncières », au Cabinet du Chef de l’Etat, se dit prêt d’assurer ses nouvelles fonctions en toute responsabilité, en recourant à ses capacités de travailleur acharné.  » Ce mandat est une occasion de deployer des efforts tant sur le plan intellectuel que technique, pour des résultats remarquables. C’est un grand honneur, mais aussi une lourde responsabilité. C’est une tâche peu aisée, mais une mission exaltante. C’est un défi que nous sommes chargés de relever, ensemble, dans l’intérêt supérieur de notre nation », a-t-il affirmé.

Ce Collège Infrastructures, habitat et Affaires foncières, supervisé par David Mukeba, Conseiller principal, est donc composé de cinq membres, tous ayant une forte expérience qui laisse entrevoire, pour ce département, des resultats d’avancement et d’excéllence.

Tim Katshabala/congoprofond.net

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