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Horreur à Ndjili : Un enfant de 2 ans tué par un chien !

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La tragédie a eu lieu en pleine journée le vendredi 24 février 2023 dans la commune de N’Djili, au quartier 4, sur l’avenue MUANDA n°2.

D’après les informations recueillies sur place, une famille avait fait venir ce chien depuis le quartier Bonmarché un jour avant, soit le jeudi 23 février 2023, afin de l’accoupler à une autre race dans la parcelle.

En milieu de la même journée du vendredi, une proche de la famille est venue déposer son enfant de plus ou moins 2 ans auprès de sa tante résidant dans cette parcelle afin qu’elle prenne sa garde pendant qu’elle va voir un courtier pour une visite d’une maison à louer.

La chaleur de Kinshasa au rendez-vous, la tante décide de mouiller l’enfant afin de stimuler son sommeil. Mais hélas qu’à côté, d’une cage non-fermée sort un chien qui saute sur l’enfant, puis l’égorge.

Scène surréaliste, un homme présent dans la parcelle est intervenu, aidé par la tante, pour arracher l’enfant de la gueule de ce monstre. Mais ce dernier ne veut pas lâcher prise. Il poursuit même la femme hors de la parcelle et lui arrache l’enfant une seconde fois pour achever son œuvre de destruction.

Les jeunes gens du quartier, en retard, ont observé ce massacre et se sont, à leur tour, attaquer la bête qui est tuée sur le champs à coup de pierre et autres objets contondants.

Signalons que trois autres personnes blessées lors de cet événement sont à l’instant à l’hôpital. Quant au corps de l’enfant, il a été acheminé à la morgue de la clinique chinoise au Quartier 7 Ndjili.

Eddy Kakweni/CONGOPROFOND.NET


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Marche pacifique des magistrats sans affectation (M24) dispersée par la police à Kinshasa

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Une marche des magistrats recrutés à l’occasion du concours de 2022 a été dispersée par la police le lundi 16 septembre. En effet, les organisateurs de la manifestation avaient préalablement informé les autorités de la ville, d’après un document parvenu à notre rédaction.

Soulignons que ces collectifs de magistrats ont été brutalement dispersés par la police et que d’autres ont été conduits au camp Lufungula par arrestation arbitraire.

Il convient également de noter que M. Corneil, l’un des candidats magistrats, a été tabassé à l’agonie et conduit à l’hôpital général de Kinshasa pour avoir revendiqué son droit le plus légitime.

Pour rappel, ayant satisfait à un concours organisé en 2022, ces magistrats devraient être nommés par ordonnance présidentielle en avril 2024.

Ces futurs magistrats, appelés aussi M24, évoquent la notion de deux poids, deux mesures, car leurs anciens collègues, devenus aujourd’hui magistrats, n’ont rien fait de spécial pour arriver là où ils sont aujourd’hui. Pourtant, ils ont tous passé le même concours et réussi ensemble.

Ainsi, ces magistrats M24 demandent au président de la République, en sa qualité de magistrat suprême du pays, et au Conseil supérieur de la magistrature, de prendre leur dossier en main afin d’accélérer le processus de nomination.

Elyane Mukuna/Congoprofond.net


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