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Politique

Haut-Katanga : l’UDPS/Kibassa soutient à 100% les consultations initiées par F. Tshisekedi

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La fédération Haut-Katanga de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social, parti politique cher à Kibassa Maliba( UDPS/Kibassa), se range derrière le président de la République et promet de lui apporter un indéfectible soutien à toutes ses actions.

À travers une déclaration politique lue devant la presse locale par le président fédéral, Martin KAYUKWA, ce dimanche 01 novembre 2020, l’UDPS/KIBASSA a tenu à préciser et confirmer qu’elle soutient à 100% les démarches du président TSHISEKEDI, lesquelles tendront à réunir toutes les forces vives du pays autour d’une table, afin de dégager toutes les pistes pouvant aboutir à la création de l’Union Sacrée de la Nation, et permettront la restructuration de l’action gouvernementale.

« L’UDPS KIBASSA lance un appel pathétique à tous les dignes fils et filles du pays d’être derrière le chef de l’État, et de faire échec aux ennemis du peuple qui veulent travailler exclusivement pour leurs intérêts mesquins; Toutefois, nous mettons en garde toute personne, groupe d’individus ou association, quelque soit son appartenance, qui chercherait à saboter les initiatives du chef de l’État », a lu Martin KAYUKWA.

Dans une autre déclaration lue consécutivement par le secrétaire principal de l’Inter-fédération Grand-Katanga, l’UDPS/KIBASSA exhorte le chef de l’État à plus de courage face à tous les animateurs politiques véreux et corrompus qui cherchent à l’empêcher à instaurer un État de droit fondé sur base de la démocratie profonde et réelle, par une justice indépendante, gage du progrès social du souverain primaire de qui émane tout pouvoir constitutionnel.

À lui de conclure: « l’UDPS/KIBASSA appuie la vision du chef de l’État pour l’importance qu’il donne à la nation vis-à-vis des enjeux majeurs et sensibles à l’occurrence, la question liée à la commission électorale nationale indépendante, à l’indépendance de la justice, à la paix et la sécurité nationale, à l’instauration de l’État de droit, à la territoriale et à la diplomatie pour l’élan d’un Congo nouveau. »

Pour rappel, dans une récente adresse à la nation, le chef de l’État avait promis vouloir reformer les choses pour le salut du peuple, en créant une Union sacrée de la nation, après les consultations qu’il organisera.

De plus, il sied de noter que juste après cette adresse, la toile s’est enflammée avec plusieurs analyses qui ont fusé de partout.

Gédéon ELONGA/CONGOPROFOND.NET


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Politique

Insécurité grandissante à Beni : L’opposition tacle le régime en place et exige la fin de l’état de siège

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Les forces politiques de l’opposition de la ville de Beni, réunies en assemblée extraordinaire, ont exprimé leur inquiétude face à la crise sécuritaire, constitutionnelle et sociale qui frappe la province du Nord-Kivu. Elles pointent du doigt l’avancée des rebelles du M23 et l’impact négatif de cette situation sur la stabilité de la région.

Madame Hélène Kibangu, porte-parole de l’opposition, a déclaré que le régime actuel semble minimiser la menace posée par les ADF (Allied Democratic Forces), qui massacrent, pillent et appauvrissent davantage le Grand Nord-Kivu.

Elle a également dénoncé l’inaction des autorités, laissant entendre une possible complicité du gouvernement face à cette situation dramatique.

Selon l’opposition, le M23, qui avait été repoussé hors du territoire congolais, a été réintroduit par le régime de Félix Tshisekedi, ce qui conduit à la perte de villages et groupements, et constitue désormais une menace réelle pour la ville de Goma et la province du Sud-Kivu, avec notamment la prise stratégique de Minova.

Les partis politiques de l’opposition critiquent également la volonté de Félix Tshisekedi de prolonger son mandat, évoquant des projets de balkanisation du pays déjà amorcés, notamment avec l’organisation d’élections chaotiques en 2023 et son intention de changer la Constitution.

« Nous disons non à la persistance de l’insécurité orchestrée par les terroristes ADF, M23 et MTM », ont-ils insisté.

Tout en dénonçant la gestion actuelle, les membres de l’opposition de Beni ont formulé plusieurs recommandations : le gouvernement doit œuvrer pour la pacification de l’Est de la RDC en fournissant aux forces armées les moyens nécessaires pour combattre l’ennemi.

Ils exigent également la libération sans conditions des prisonniers politiques, parmi lesquels Jean-Paul Ngaghangondi, Alain Siwako, Jean-Marc Kabunda, Mukebayi, Decat Idengo, Fiston Isambiro, et d’autres détenus politiques.

Les forces politiques de l’opposition ont également réclamé la fin de l’état de siège, qu’elles estiment largement inefficace, tout en appelant la population à soutenir les FARDC et les Wazalendo qui se battent contre les agresseurs.

Cette déclaration a été signée par cinq partis politiques : Ensemble pour la République, PPRD, ECIDE, LGD et COFEDEC, regroupés au sein de la plateforme des forces politiques de l’opposition.

Rédaction


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