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» Hantavirus « , un nouveau virus cruel détecté en Chine !

Alors que la planète terre fait face à une crise sanitaire, suite à la pandémie du « Coronavirus », un nouveau virus apparaît en Chine. Il s’agit de l’ortho hantavirus communément appelé « Hantavirus ».
Cet autre virus a déjà tué un homme de la province du Yunnan, lundi 23 mars et 32 autres personnes sont également testées positives.
Il était dans un bus affrété vers la province du Shandong pour travailler lundi lorsqu’il est tombé et est décédé, selon nos confrères de Global Times.
Les experts n’ont pas tardé à souligner qu’il ne s’agit pas d’un nouveau virus. « Le Hantavirus est apparu pour la première fois en 1950 lors de la guerre américano-coréenne. Il se propage des rats/souris si les humains ingèrent leurs fluides corporels. La transmission interhumaine est rare », selon les scientifiques.
Les symptômes peuvent survenir jusqu’à huit semaines « après une exposition à de l’urine fraîche, des excréments ou de la salive de rongeurs infectés». Il peut parfois aussi provenir de piqûres de rats ou de souris infectés.
Les symptômes reflètent ceux signalés par le nouveau coronavirus. Les personnes atteintes signalent de la fièvre, des maux de tête, de la toux et un essoufflement.
Le syndrome pulmonaire à hantavirus est devenu une «maladie à déclaration obligatoire» aux États-Unis en 1995.
Aucun cas connu n’a été transmis entre personnes, selon le groupe de santé.
Il n’y a pas de traitement, de guérison ou de vaccin spécifique pour l’infection à hantavirus.
Cédric Sadiki/CONGOPROFOND.NET
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Plus d’un milliard de pertes dans la fraude minière : L’État mise sur Didier Kaku Kingwabidi pour inverser la tendance

Par arrêté interministériel en date du 16 avril 2025, Didier KAKU KINGWABIDI, Inspecteur Général des Mines, a été nommé Coordonnateur National de la Commission Nationale de Lutte contre la Fraude et la Contrebande Minière (CNLFM).
Cette désignation s’inscrit dans une volonté affirmée du gouvernement congolais de renforcer la gouvernance du secteur minier, en proie à des défis majeurs : fraude à grande échelle, contrebande systémique, et exploitation illégale parfois orchestrée par des groupes armés.
La nomination de l’actuel patron de l’Inspection Générale des Mines, reconnu pour sa rigueur et son expertise, vise à doter la CNLFM d’un leadership solide et crédible, capable de porter une réforme ambitieuse.
Ce changement à la tête de la CNLFM représente un jalon important dans la mise en œuvre de la stratégie nationale de lutte contre les pratiques illicites dans le secteur minier-un phénomène qui coûte chaque année plus d’un milliard de dollars au Trésor public. À travers ce geste fort, les autorités réaffirment leur engagement à protéger les ressources naturelles du pays et à garantir une exploitation minière profitable à l’économie nationale.
Tchèques Bukasa/CONGOPROFOND.NET