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FIFA : 5 remplacements autorisés dans un match (Officiel)

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Datant de ce vendredi 08 mai, un communiqué de la plus haute instance du football mondial a fait savoir que cinq remplacements seront désormais autorisés pour chaque équipe, pour les compétitions qui seront terminées d’ici 31 décembre 2020. Coronavirus force visiblement l’institution de revoir ses règlements, mais aussi les différents calendriers de certaines compétitions.

Dans un communiqué diffusé vendredi, la FIFA a annoncé que les équipes pourront procéder temporairement à cinq changements par rencontre. Cette mesure, mise en place pour « protéger la santé des joueurs et des joueuses du monde entier » concerne les compétitions qui ont déjà débuté ou qui devraient débuter prochainement mais qui seront terminées d’ici au 31 décembre 2020. La FIFA et l’IFAB (International Football Association Board) ont précisé qu’ils détermineront ultérieurement si cette option peut être prolongée jusqu’à la fin 2021 et, par conséquent, jusqu’au prochain Euro.

Les clubs sont prévenus : « Refuser le huis-clos sur terrain neutre sera plus cher que la relégation »

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Dans son communiqué, la FIFA décrit les conditions dans lesquelles pourront se faire ces cinq changements : « Pour éviter de trop perturber le cours du match, chaque équipe aura au maximum trois opportunités de procéder à des remplacements pendant le match ; en outre, ces remplacements pourront être effectués à la mi-temps. » L’instance mondiale précise aussi que « les remplacements et les opportunités de remplacements non utilisé(e)s seront reporté(e)s à la prolongation ». Peut-on lire dans ce communiqué repris par la rédaction de CongoProfond.net.

Cedrick Sadiki Mbala/CONGOPROFOND.NET


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Affaire « Mwangachuchu » : La synergie « Union fait la Force » appelle F. Tshisekedi à y réserver un œil particulier 

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La Synergie de mouvements citoyens,ONG et associations des Droits de l’homme a dénoncé les conditions inhumaines de détention du député national Édouard Mwangachuchu au cours d’une conférence de presse tenue ce lundi 20 mars à Kinshasa.

Ces organisations citoyens déplorent la violation grave des droits et libertés fondamentaux de cet élu du peuple,
le vice de procédure, la manipulation, l’instrumentalisation et la politisation dudit dossier.

A en croire, Hilaire Ngedi, coordonnateur national de ce collectif dénommé « Union fait la force », le député Édouard Mwangachuchu a été arrêté à son domicile situé dans la commune de la Gombe et déféré à la prison centrale de Makala dans la nuit du 01er mars. Le septuagénaire est interpellé pour complicité avec des groupes terroristes dans l’est de la RDC.

Suite à ces accusations, poursuit-il, plusieurs autres personnes ont été interpellées et sont portées disparues. Il s’agit, entre autres, du bâtonnier Samane Chico Joseph, Faustin Karongire (Gardien), Justin Ngiruwonsanga (Sécurité),
Jean Mukunzi (Garde), Roger
Rwabaneza Rudacogora (Surveillant D2) et Justin Nsabimana (Hygiène).

Pour le collectif, l’affaire devrait être gérée tout d’abord par les renseignements avant une précipitation sur son arrestation.  » La justice s’est basée sur des rumeurs des réseaux sociaux pour procéder à l’arrestation de l’élu du Nord-Kivu alors qu’il bénéficie de la présomption d’innocence et de ses immunités parlementaires », martèle le coordonnateur de cette structure.

Puis de s’interroger :  » Comment peut-on l’arrêter tard la nuit à 01 heure et faire une perquisition le matin à 10h36 ? Nous vivons la violation des droits de l’homme et le sabotage de l’Etat de droit prôné par le chef de l’État… »

Pour lui, Mwangachuchu est un homme honnête ayant prouvé, à travers l’histoire de sa carrière politique, les valeurs républicaines et patriotiques en nitiatiant des actions contre le M23.

Tout en pointant un doigt accusateur sur l’actuel responsable des services de renseignements du Nord-Kivu, Sylvain Sakaji Tshikomba, ce collectif demande au Chef de l’État de réserver un œil particulier à ce dossier au nom de la cohésion nationale qu’il a toujours prônée.

MD


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