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Esther Azaa Tankou : ” Le combat pour les droits des femmes ne se fait pas dans la fête mais dans la réflexion… “

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Le 8 Mars , journée internationale des femmes, est ce jour où l’on reconnaît et l’on souligne, à l’échelle mondiale, les réalisations sociales, économiques, culturelles et politiques des femmes et des filles, et où l’on sensibilise le public au travail qui reste à faire.

La participation pleine et effective des femmes et
leur accès aux fonctions de directions dans tous les domaines de la vie favorisent le progrès pour toutes et tous. C’est le cas d’Esther Azaa TANKOU, cheffe de Division de l’information à la Commission de l’Union Africaine.

Cette Camerounaise a élu domicile à Addis-Abeba, précisément au siège de l’Union
Africaine où elle y travaille au quotidien. Elle est
en charge de l’élaboration des stratégies de
communication et la coordination des médias pour
rendre effective les activités du siège de l’Union
Africaine en vue de promouvoir celle-ci sur la scène
internationale.

” Lorsque les femmes occupent des postes, nous voyons des résultats escomptés et positifs. Mais celles-ci restent sous-représentées dans la sphère publique et les postes de décisions. Il faut souligner
que les femmes sont à la tête d’un État ou d’un gouvernement dans 22 pays et elles n’occupent que 24% des postes parlementaires nationaux”, a martelé Esther Tankou. Pour elle, la célébration du combat pour les droits des femmes ne doit pas se faire pas dans la fête mais dans la réflexion.

L’occasion de préciser également que parmi les
interventions les plus efficaces et exemplaires qui
ont été menées jusqu’à présent pour lutter contre la
pandémie de la Covid-19, certaines l’ont été par des
femmes. Et c’est pour cette raison que cette année, la journée des femmes sert de cri de ralliement à la génération Égalité qui réclame des actions
favorisant l’avènement d’un avenir à chances égales pour tous.

Tchèques Bukasa/CONGOPROFOND.NET


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Affaire “Nicolas Kazadi-Dr J.B. Matusila”: Voici le droit de réponse du cabinet du ministre des Finances à CONGOPROFOND.NET

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DROIT DE REPONSE DU MINISTERE DES FINANCES

Une série de publications devenue virale sur les réseaux sociaux, attribue à Son Excellence Monsieur le Ministre des Finances, Nicolas KAZADI, la paternité de l’arrestation le mardi 13 février, de la mise et du maintien en détention, à ce jour, du Docteur MATUSILA Jean Baptiste et sa bande.

Ces Publications contiennent des contrevérités qu’il convient de rectifier :

1. Informé d’un cas de tentative d’arnaque du bénéficiaire d’un paiement par des personnes se présentant comme ses envoyés, son Excellence Monsieur le Ministre a saisi, comme l’exige la loi, les services compétents, à l’espèce le parquet, pour mener des enquêtes en vue du démantèlement du réseau mafieux dont un des acteurs serait un certain Yannick, non autrement identifié.

2. Les enquêtes menées en vue de mettre la main sur le prénommé Yannick, vont aboutir à l’identification et à l’arrestation des personnes faisant partie d’un groupe de criminels parmi lesquels le Docteur MATUSILA MALUNGENI Jean-Baptiste.

3. C’est ainsi que, à la suite d’une série de dénonciations enregistrées, un gang composé jusque-là de 6 maffieux fût appréhendé dans les installations de l’hôtel ROTANA (non loin du rond-point Socimat) par les officiers de la Police judiciaire rattachés au Parquet de Grande Instance de Kinshasa Gombe.

4. Ces éléments assermentés se sont saisi des présumés délinquants et les ont conduits à bord d’un véhicule Toyota Ist Taxi au parquet précité, après un bref escale de quelques minutes au Ministère des Finances, par commodité d’usage.

5. Dorénavant, le dossier est instruit par la Parquet de Grande Instance de Kinshasa-Gombe sous RMP 41888/PR021/2024/MAB.

6. Sans entrer dans l’instruction pré juridictionnelle qui est, selon la Loi, secrète et inquisitoriale, le parquet a mis les présumés infracteurs sous mandat d’arrêt provisoire lequel a été confirmé en chambre du conseil du Tribunal compétent pour la mise en détention préventive de tous les suspects.

7. Le dossier étant judiciaire, son Excellence Monsieur le Ministre des Finances, n’a aucun contrôle sur la suite du dossier; néanmoins son souhait le plus ardent est que le réseau incriminé soit totalement mis hors état de nuire.

8. Toutefois, le Ministre des Finances se réserve le droit de saisir les instances judiciaires compétentes quant aux propos diffamatoires et actes attentatoires à ses droits garantis et à l’image des institutions de la République.

Fait à Kinshasa, le 25 mars 2024

La Cellule Juridique du Ministère des Finances.

 

Note de la Rédaction 

Notre média CONGOPROFOND.NET, dans le strict respect éthique de la profession, se réjouit que le ministère des Finances de la RDC ait sorti un communiqué en règle que la rédaction accepte de publier ce 26 mars 2024 in extenso.

Trois précisions, par ailleurs, nous paraissent importantes :

1. CONGOPROFOND.NET n’est pas protagoniste de l’affaire Nicolas Kazadi – Docteur JB Matusila;
2. CONGOPROFOND.NET n’est pas non plus un tribunal ni juge pour établir une quelconque responsabilité.
3. CONGOPROFOND.NET a fait son travail en toute impartialité qui a abouti, grâce au communiqué du ministère des Finances, à l’incarcéré Docteur Matusila qui ignorait complètement son plaignant et de quoi il est accusé. Ces informations lui permettant ainsi d’organiser sa défense.

La Rédaction 


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