Connect with us

À la Une

Élections : « Cocorico » appelle les électeurs à ne pas voter les candidats sans logo des partis sur leurs affiches

Published

on

Le mouvement citoyen « Cocorico-RDC » appelle à un vote-sanction des candidats sans logo du parti ou du regroupement politique visiblement affiché pendant la campagne électorale. Elle appelle la population congolaise électrice de barrer la route aux stratagèmes des politiciens véreux.

Dans un communiqué publié le 30 novembre dernier, ce mouvement citoyen veut que la population exige aux candidats députés nationaux et provinciaux de se faire identifier au moyen d’un logo du parti politique ou du regroupement politique dont ils sont membres.

Conséquence du vote d’un candidat sans logo

Une semaine après le début de la campagne électorale, il s’observe, en effet, que plus de 70% des candidats députés nationaux et provinciaux ont omis les logos de leurs partis ou bien des regroupements politiques dont ils sont issus.

Cet état de chose aura des conséquences énormes pour le simple fait que la loi électorale en vigueur préconise le vote du parti et non de l’individu au moyen du seuil électoral.

Par ailleurs, les grands enjeux se jouent sur l’obtention du seuil électoral de 1% au niveau national et de 3% au niveau provincial, car avant toute attribution de voix à un candidat, l’électeur congolais voterait d’abord un parti politique ou un regroupement politique et l’individu interviendrait seulement si le parti ou le regroupement politique arrive à obtenir le seuil prévu.

De surcroît, il est impérieux que la population congolaise sache identifier le parti ou le regroupement politique dont elle doit voter.

Petit Ben Bukasa/CONGOPROFOND.NET


There is no ads to display, Please add some
Click to comment

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*

code

À la Une

Kasaï Central : La 1ère école construite par des ex Kulunas présentée au général Kasongo Kabwik 

Published

on

Le premier bataillon des « Bâtisseurs » formés à Kanyama Kasese vient de construire une école dans la commune de Nganza, ville de Kananga, dans le Kasaï Central. Cette école de dix-huit salles de classes est équipée de bancs et de tables. 

A en croire les superviseurs des travaux, il reste quelques finitions à effectuer mais l’établissement peut déjà accueillir ses premier écoliers.  » Les écoles, comme celle-ci, Kananga en comptera trois. Deux autres sont en pleine construction dans le village de Kanioka et à Saint Martin dans la commune de Katoka« , a-t-on annoncé.

Il faut signaler que plusieurs autres territoires du Kasaï Central sont également touchés par cette vague de construction. Il s’agit notamment de Dibaya ( Cité Tshimbulu), Ndemba et Kazumba. Le numéro 1 du Service national, le général Kasongo Kabwik, qui a visité quelques chantiers, a fait le constat que les travaux sont en cours.

A Luisa ainsi qu’à Dibenlenge, seront lancés incessamment des établissements scolaires de ce type, œuvre du Service national.

Puis, promet-il, une école sera construite par territoire et ce à travers tout le pays .

Il convient de noter, par ailleurs, que ces ouvrages n’ont rien à voir avec le Programme de développement Local   145 territoires, même si l’un des buts poursuivis reste celui d’améliorer les conditions d’études des enfants congolais.

Fidèle à sa mission première de former des jeunes qui vont contribuer à l’indépendance alimentaire de la RDC, le Service national continue de booster la production locale de maïs.  Il a même démarré sa première campagne agricole toujours dans le Kasaï Central où la première récolte de cette denrée a été effectuée. « C’est un premier pas vers l’autosuffisance alimentaire et la réduction de la dépendance en termes de maïs du Kasaï Central vers le Katanga. Lorsqu’il y a pénurie au Katanga, le Kasaï peut venir à sa rescousse comme nous le voyons d’ailleurs ces derniers temps. Le maïs venu du Kasaï exporté vers le Katanga… », a expliqué le général.

Puis de conclure :  » Le Congo est béni partout. Nous avons un bon sol, nous avons une bonne pluviométrie. Entre la construction des écoles et la production agricole, le Service national est en train de remplir pleinement sa mission: celle d’être au service de la nation et devient de plus en plus l’un des bras séculiers de la matérialisation de la vision de chef de l’État ». 

Tchèques Bukasa/CONGOPROFOND.NET


There is no ads to display, Please add some
Continue Reading

K-WA Advertising