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Cyclisme : Didier Ndjungu réélu à la tête de la ligue du Katanga

Seul candidat à sa propre succession, Didier Ndjungu a été réélu à son poste du président de la ligue de cyclisme du Katanga, le dimanche 14 mars 2021, au cours d’une assemblée générale ordinaire et extraordinaire organisée dans la salle JBK de Likasi. Témoin de l’événement: Jean-Pierre Mbaya Ngalika, vice-président et délégué de la Fédération Congolaise de Cyclisme (FECOCY).
Didier Ndjungu a été élu à l’unanimité des voix, soit 19 sur 20 votants pour un troisième mandat à la tête de cette structure.
Après son élection, Didier Ndjungu et son comité se sont donnés comme nouvelle mission de: créer deux nouvelles ententes entre autre celle de Kalemie et de poursuivre la redynamisation de cette discipline.
Voici par ailleurs les membres du bureau de la Ligue de cyclisme du Katanga ( LICYKAT) :
Président : Didier Ndjungu Kashala élu avec 19 voix sur 20 votants ;
1er Vice-Président : Kabuya Kazadi Guillaume
19 sur 20 ;
2ème Vice-Président : Beya Muhiya Adelin 19 sur 20 (Nouveau)
3ème Vice-Président Muyemba Eyadi Kimo 19 sur 20
4ème Vice-Président : Joseph Ikoli Iyombo 12 sur 20 (Nouveau)
Secrétaire : Mac Arthur Kikuni Kiabamba (19 sur 20)
Secrétaire adjoint : Louis Richard Tanganyika Kazadi 17 sur 20 (Nouveau)
Trésorière : Nathalie Lwimbi Malundu 19 sur 20
Membres:
Pascal Musaila 17 sur 20
Kamwanga mwana Ngongo (Nouveau)
Naweji Yav Norbert (Nouveau)
Jolga Luvundisakio/CONGOPROFOND.NET
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Matadi : Les motards en colère contre les taxes imposées par la DGRKC

À Matadi, la grogne monte chez les conducteurs de motos-taxis, plus connus sous le nom de « wewa ». Ce mercredi 21 mai 2025, une manifestation spontanée a éclaté pour dénoncer la pression fiscale jugée excessive de la Direction générale des recettes du Kongo Central (DGRKC).
En cause : des taxes journalières de stationnement et de numérotation imposées à tous les motards. Chaque conducteur de moto à deux roues doit verser 1000 francs congolais par jour, tandis que ceux qui roulent sur des engins à trois pneus ou plus doivent s’acquitter de 1500 francs.
Asphyxiés par ces charges quotidiennes, les motards dénoncent une taxation qu’ils jugent abusive et inadaptée à leur réalité économique. Refusant désormais de s’y soumettre, ils ont exprimé leur ras-le-bol dans les rues de la capitale provinciale.
Mfumu Diasilua/Congoprofond.net