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Crise à l’EUVOKIN : Christian Matata vient en sapeur-pompier !

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Interrompu depuis le 03 avril 2019 par une lettre de l’Entente urbaine de volley-ball de Kinshasa (EUVOKIN) suite à un mémo des sociétaires qui ont retiré leurs clubs et réclamé la participation de l’un des leurs à la Coupe d’Afrique des clubs au Caire, le championnat de filles vient de reprendre son bonhomme de chemin. Au coeur de cet activisme : Christian Matata.

Au cours d’une réunion tenue ce samedi 06 avril 2019 au siège national de la Fédération de volleyball du Congo (FEVOCO), le président de cet organe faîtière de la balle au filet a réuni tous les sociétaires des clubs féminins pour régler ce problème qui a suspendu le championnat, alors que celui des hommes se joue normalement.

Classé deuxième lors de la dernière coupe du Congo féminin organisé à Kananga, derrière le VC Canon qui s’est classé premier, le VC la Loi devrait en principe participer au championnat d’Afrique des clubs champions, mais cette équipe n’a pas pu effectuer le déplacement du Caire (Égypte), son nom n’ayant pas été inscrit à ce tournoi par le secrétaire général de la fédération.

Sur ce, 6 des 7 clubs affiliés a ce championnat de l’Entente Urbaine de volleyball de Kinshasa (EUVOKIN), ont annoncé dans un mémo déposé au président de la fédération, le lundi 1er avril, la décision de suspendre leur participation au championnat jusqu’à l’ obtention de la fédération, réparation des préjudices subis par le volleyball club dame La Loi, victime du détournement, par Constatin Shakob Woot, Secrétaire général de la FEVOCO, des fonds décaissés par l’État congolais pour la participation de ce club au championnat d’Afrique des clubs champions.

À l’issue de cette réunion de ce samedi, les clubs se disent prêts à reprendre le championnat après un échange fructueux avec le patron du volleyball du Congo.

« Je pense que ce qui devrait être éclairci, a été fait. Donc, je pense qu’à l’issue de cette réunion, il y a quand même des résolutions qui ont été prises et qui vont conduire bientôt à la reprise du championnat effectif », a annoncé, le président de l’EUVOKIN , Teddy Kitoko.

Et de continuer : « Nous sommes une grande famille on sait trouver des solutions. On a privilégié le côté sportif, mais rien n’a été laissé en suspens. On a tout creusé », a-t-il conclu.

Entre-temps, les clubs promettent de se réunir d’ici lundi 08 avril pour faire un message de la reprise du championnat.

Jolga Luvundisakio/CONGOPROFOND.NET


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Mort d’une étudiante à l’IBTP/Butembo :  Vive polémique sur les dérapages d’une bleusaille à l’université 

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L’étudiante Kyakikimwa Kandolani Suzanne, nouvellement inscrite en préparatoire à l’Institut de Bâtiment et des Travaux Publics (IBTP-Butembo), au Nord-Kivu, dans l’Est de la RD Congo, vient de mourir, dans la nuit du vendredi 14 à ce samedi 15 février 2025 dans une structure sanitaire suite à « une courte maladie », selon un communiqué nécrologique de la direction générale de cette institution, parvenue à la rédaction de CONGOPROFOND.NET.

Les informations recueillies auprès de son chef de promotion, de ses camarades, du comité estudiantin et de son médecin traitant, renseignent que la défunte Suzanne, naturellement de santé fragile, est morte à la suite d’une courte maladie, précise le communiqué nécrologique signé par la Directrice Générale de cette institution d’État, le professeur Riziki Lufungula Agnès.

Cette version semble corroborer avec celle du président du comité des étudiants de l’IBTP-Butembo qui témoigne des malaises que la défunte auraient connus. « Et d’ailleurs, elle suivait les soins ambulatoires dans une structure sanitaire locale. Ceux qui parlent des coups qu’elle a reçus de la part des autres étudiants, propagent des fausses rumeurs qui visent à ternir l’image de l’IBTP-Butembo », a déclaré Mayani Menga Victoire.

Une version balayée d’un revers de la main par le président de l’Association des étudiants et élèves ressortissants d’Oïcha et environs (AEROE), dont la fille était membre. Pour lui, la demoiselle aurait succombé suite aux blessures de bleusailles subies de la part des autres étudiants de cette institution.

Prince Musavuli indique que son membre était en bonne santé et elle n’a jamais été fragile. « Notre sœur aurait été tabassée à travers la pratique de bleusailles, selon les premières personnes qui ont été présentes. Nous connaissons notre sœur, nous vivons avec elle, sa santé n’a jamais été fragile comme c’est dit dans le communiqué de l’IBTP », a-t-il regretté.

Prince Musavuli condamne fermement cette mort et réclame qu’une enquête soit diligentée pour déterminer les vraies circonstances de la mort de l’étudiante Kyakimwa Kandolani Suzanne, afin que justice lui soit faite.

Il convient de noter que cette institution est mal réputée dans la contrée pour ses pratiques agressives de bleusailles, déjà interdites par le ministère de l’Enseignement supérieur et universitaire (ESU).

Pour rappel, il y a peu, l’IBTP-Butembo a réouvert ses portes après plusieurs mois de suspension des activités académiques par le ministère de tutelle. Le personnel administratif avait récusé certains membres du comité de gestion dont l’ancien Directeur général à l’époque. Il lui est reproché la mégestion.

Dalmond Ndungo/CONGOPROFOND.NET


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