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CAF-C1 : Espérance de Tunis menace de boycotter la finale retour !
Après avoir perdu la finale aller (1-3 ), le vendredi 02 novembre 2018 devant Al Ahly d’Égypte, Espérance de Tunis, menace de boycotter la finale retour, si la Confédération africaine de football (CAF) n’annule pas cette sanction de huis clos partiel infligé à son stade de Radès.
Les « Sang et Or » ont donc posé ce préalable à la CAF avant la manche retour.
Concrètement, Espérance de Tunis exige la levée du huis clos partiel qui frappe certains virages du stade de Radès. En cas de décision défavorable, les Tunisiens risquent de ne pas jouer contre Al Ahly du Caire.
Ensuite, les Sang et Or ont bon espoir de voir la CAF annuler les cartons jaunes infligés à Chamseddine Dhaouadi et Franck Kom qui ont entraîné leur suspension pour le match retour et ils espèrent également que l’attaquant adverse, Walid Azaro, sera sanctionné pour son comportement à l’aller.
Pour rappel, la CAF avait infligé plusieurs sanctions à l‘Espérance de Tunis après les incidents qui ont émaillé la demi-finale retour de la Ligue des champions contre le Primeiro de Agosto, le 23 octobre dernier.
L’instance continentale a infligé une amende de 176 millions de francs Cfa aux Sang et Or. Il s’agit de la plus grosse pénalité jamais infligée par la CAF à un club africain. Mais surtout les supporters de l’Espérance de Tunis ont été interdits d’accéder au virage.
C’est bien cette dernière sanction qui fait débat actuellement. Quoi qu’il en soit la manche aller sanctionnée par deux penaltys «contestables» accordés à Al Ahly du Caire continue de faire des vagues.
Jolga Luvundisakio/CONGOPROFOND.NET
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RDC : Felix Tshisekedi convoque la 13e Conférence des gouverneurs du 9 au 13 décembre prochains à Kikwit
Le président de la République, Félix Tshisekedi, a signé une ordonnance convoquant la prochaine Conférence des gouverneurs des provinces. Selon le communiqué lu ce mardi 11 novembre, à la télévision nationale, ces assises se tiendront à Kikwit, chef-lieu du Kwilu, du 9 au 13 décembre 2025. Cette initiative vise à renforcer le suivi de la mise en œuvre des politiques publiques et à consolider la gouvernance territoriale.
Durant ces travaux, les gouverneurs, vice-gouverneurs et membres du gouvernement central examineront plusieurs enjeux essentiels. Il s’agira notamment de la décentralisation, de la sécurité, de la mobilisation des recettes ainsi que de la relance économique dans les provinces.
Le thème choisi pour cette édition mettra l’accent sur la cohésion nationale et la synergie entre les institutions nationales et provinciales. L’objectif est de promouvoir un développement équilibré du pays à partir des réalités locales.
La Conférence des gouverneurs, prévue par la Constitution, demeure un cadre d’échange entre le Chef de l’État et les exécutifs provinciaux. Le choix de Kikwit traduit la volonté du président Tshisekedi de rapprocher davantage l’action gouvernementale des provinces et de renforcer leur implication dans la gestion du développement national.
Rédaction
